Utilisateur:Wairn
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°Wairn Foreld
Description
Très grand et plutôt robuste, Wairn est plutôt un Nordique typique, il a les yeux bleus clair de sa mère, l’épaisse chevelure blonde que portait son père ainsi qu’une barbe touffue. La peau plutôt claire, usée par la chaleur était habillée d’une tunique de cuir et de fourrure, suffisamment épaisse pour lutter contre la morsure du froid de Nivrose et pas trop épais pour ne pas trop souffrir de la chaleur d’enfer qui sort de la forge en activité. Il avait aussi une besace en bandoulière, permettant de porter quelques minerais ou des outils dont il avait constamment besoin. Peu aguerri en combat, son imposante carrure lui permet quand même de se débrouiller à mains nues.
Compétences
Force : Issue des origines Nordiques, la force est une qualité naturelle.
Minéralogie : Fils de mineur, Wairn a appris à reconnaitre tous les minéraux a force de voir son père en ramener.
Outillage : La maitrise du marteau et des outils de forgeage est indispensable.
Endurance : A force d'entrainement, il est capable de tenir l’effort et la chaleur des heures durant.
Orfèvrerie : Il travaille les minerais avec minutie et précision pour forger des métaux de qualité.
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Qualités
- Amical : Wairn a toujours bien aimé se faire de nombreux amis.
- Minutieux : Il arrive à se concentrer pour atteindre un haut niveau de précision dans son domaine.
- Vertueux : Faire le bien lui plait, et il le fait souvent.
- Loyal : Il ne laisse jamais les faibles sans défense et tient à l’honneur, il fuit le moins possible.
- Curieux: Wairn s'interesse beaucoup aux affaires des autres et aime tout savoir.
Défauts
- Manipulateur : Les méthodes pour utiliser les autres ne lui sont pas étrangères…
- Alcoolique : Un peu d’hydromel de temps en temps…
- Violent : Wairn n’arrive pas toujours à contrôler sa colère, notamment quand il boit.
- Bavard : Quand il parle, difficile de l’arrêter pendant parfois plusieurs heures.
- Conservatiste : Aime l’ordre établi et les traditions mais pas les différences de classes (à part pour les esclaves)
- Distrait: Il est souvent dans la lune et se perd parfois dans ses pensées au milieu d'une conversation.
Intérêts culturels et goûts
Wairn ne s'interesse pas beaucoup a l'art, mais aime bien lire parfois, meme s'il a du mal... Il mange de tout mais préfère la viande, même s'il en mange rarement. Il apprécie une bonne chope de bière entre amis ou une bouteille de Rhum comme il garde toujours sur lui...
Amis
Uth Franchebrise : C'est l'employeur de Wairn, il lui a permis d'execer son métier de forgeron et de gagner ses premiers Espers. Le forgeron tient beaucoup a Uth, ils discutent assez souvent. Ils aiment bien se retrouver a la taverne pour boire.
Quirby : Femme de Uth, Wairn a naturellement côtoyé Quirby. Elle est sympathique, mais l'homme ne comprend pas le fait qu'elle n'aime pas trop l'alcool. Il aime bien la taquiner un peu, malgré le fait qu'elle semble ne pas toujours apprecier. Depuis quelques temps, elle semble un peu distante, et Wairn ne lui parle plus vraiment depuis sa séparation avec Uth.
Leoplodine Eleonore Elisabeth Linden Dewhell : Amie depuis longtemps, Wairn l'aime bien et elle compte pour lui. Il trouve ses travaux et son poste honorables, même s'il la voit assez peu depuis quelques temps.
Morts ou disparus
- Lunarion : Venant lui aussi du même bateau d'esclaves que Wairn, il a souvent passé du temps avec Lunarion, même s'il trouvait l'homme est assez étrange. Il a disparu un beau jour, sans que Wairn n'en sache rien, et l'a pratiquement oublié maintenant.
- Vidkun : Vidkun est le frère de Uth. C'était un ami du forgeron, avant qu'il ne reparte dans l'Ancien Monde, attristant Wairn.
- Scholwitz: Ancien maître de Wairn, il le trouvait sympathique et bienveillant. Il l'appréciait et enviait son statut même s'il ne le voyait pas souvent et ne le connaissait qu'assez peu.
- Osokiri :Etant dans le même bateau a leur arrivé, le forgeron a tout de suite lié une amitié avec le combatant. Osokiri était dans la garde avant qu'il ne décède brutalement d'une exécution en période difficile, enrageant Wairn de cette perte difficile.
- Melk Wolyn: Ami depuis quelques temps, Wairn a souvent essayé de l'aider, souvent sans succès. A la mort du jeune homme, le forgeron fût très triste et le visita à son lit de mort.
Famille
Alexandrius Proparte: Le patriarche et le co-fondateur de la famille Awolius avec Wairn, il l'apprécie et compte pour lui. Ami de taverne depuis longtemps, ils se retrouvent souvent pour y boire.
William Archer: Co-fondateur de la famille Awolius également, il est garde est Wairn le trouve sympathique.
Auréleac: Ami également, il est dans la famille depuis ses origines et Wairn apprécie sa sympathie et sa gentillesse.
Ennemis
Pamydia: Ancien esclave du forgeron, et apprenti, Wairn ne peut plus le voir depuis l'affront de l'homme envers sa famille. S'il le croise un jour, il aimerait lui faire ressentir sa vengeance au milieu du visage.
Histoire
I- Enfance marquée
Né en l’an 484 en Thermidor, de parents purs Nordiques, le jeune Wairn a eu une enfance tranquille à Krelm. Dès son plus jeune age, son père, mineur de profession, lui montrait les trouvailles qu’il ramenait des profondes mines, minerais en tout genre, gemmes, charbon de qualité… Celui-ci voulait former son fils au métier, et cela commençait bien. Sa mère en revanche, issue de famille plutôt aisé était soignante, et souhaitait pour son second fils un métier peu risqué et qui pourrait utiliser la rapide intelligence qu’avais développé Wairn. Mais préférant observer les fiers chevaliers lors du rassemblement des clans à la lecture, il n’appris que peu à lire, écrire et compter mais savais quand même se débrouiller grâce à l’acharnement de sa mère. On pouvait voir dans les yeux de l’enfant les étoiles briller par millier lors de la saison de Nivrose, l’enfant observa toutes les armures, toutes les armes de la grande épée d’un Héros connus de toute la région au petit poignard d’un simple garde, forgé avec une minutie extraordinaire pour Wairn. Il décida alors de devenirs Chevalier pour servir fièrement son clan, mais sa mère s’y opposa fortement. Son père le convainc alors de suivre sa voie par les trésors et cristaux qu’il rapportait souvent des profondeurs, entre divers métaux de qualité et beaucoup de charbon. Un beau matin, peu après les 14ans de Wairn, alors que la mère de ce dernier essayait, sans réel succès à l’intéresser a la lecture et à la science, celui-ci regardait d’un œil vide le doux soleil qui brillait dehors et lui réchauffait le visage. Il pensait à son père, qui minait tranquillement et rêvait de se voir lui aussi, plus tard, chercher à ses côtés le précieux métal… C’est alors qu’une énorme détonation se fit entendre. L’enfant regarda sa mère d’un mouvement vif, se réveillant par la même occasion. Cette dernière avait une expression de terreur extrême. Le jeune enfant murmura : « -Maman, c’est quoi ce bruit ?? » Sans même faire attention à son fils, la femme se précipita a la porte de la maison et sortit en envoyant valser la porte. Le garçon la suivit et ils virent un énorme nuage de fumée noirâtre venant de la sortie des mines. La femme hurla d’effroi et courut en direction des mines, le garçon sur les talons. Arrivant sur les lieux, on sentait une forte odeur de brûle et de gaz, la mère de Wairn fut attrapée par un ami pour lui éviter de voir l’accident. En effet, la foule commençait à se masse autour de la vieille mine, des moines essayent de contenir l’incendie qui se déclarait et on évacuait des dizaines de corps carbonises, impossible à reconnaître. L’enfant se faufila à travers la foule tétanisée par le morbide spectacle pour arriver au bord du gouffre. La fumée lui piquait les yeux et lui brûlait la gorge mais ce n’étais pas pour cela que de chaudes larmes roulaient sur ces petites joues. En effet, il venait de comprendre, dans ce trou d ou il avait tant de fois vu sortir son père, épuise par la tâche et fier de son travail, dans ce trou maintenant hanté par la fumée, c’est là que son père avait vu la lumière pour la dernière fois. Son père, fier mineur du Nord et grand héros pour le jeune enfant venait de mourir dans les profondeurs. Wairn retrouva sa mère chez lui dans la soirée. Ils mangeairent en silence et allèrent se coucher. Quelque jours plus tard, ils recevaient une lettre de condoléance rapidement griffonnée annonçant la raison du massacre dans la mine, il y avait soit disant eu un « accident imprévu ». A partir de ce jour, Wairn oublia a jamais l’envie de devenir mineur ou même de pénétrer dans une mine, il en devint même presque claustrophobe. L’enfant grandit, et garda toujours le gout pour le métal, et devint au fil du temps forgeron, d’abord apprenti grâce à un cousin, puis il obtint sa propre forge, qu’il appela la Forge de Platine, minerai préféré de son père défunt.
II- Forge de Platine
Comme chaque matin depuis maintenant assez longtemps, Wairn se réveilla avant le lever du soleil. Il commença par se laver rapidement le visage, et mis sa tunique et pris sa besace. Il quitta la demeure familiale pour se rendre à la Forge de Platine. Son associé y était déjà, occupé à rallumer le feu de la forge. Une partie de la mâtiné de nombreux mineurs venaient vendre leur fer et charbon des mines à la sortie de la ville. Une fois le minerai trié et racheté a bon prix en fonction de sa qualité, le forgeron commença le travail de fonte. La four était bien chaud et le minerai de fer fondait facilement. La saison de Nivrose approchait, bientôt les chevaliers rentreraient à Krelm et il avait de nombreuses commandes de fer de la part des armuriers pour réparer et fabriquer armes et amures. Il devait normalement recevoir une livraison de quelques minerais d’or pour un ami armurier qui avait commande de la part d’un noble. Une fois le fer fondu, il dut réalimenter la forge en charbon, puis laisser les jeunes lingots refroidir. Encore célibataire, Wairn n’avais pas le temps de chercher une femme, consacrant tout son temps libre à travailler pour payer les soins de sa mère malade. Après un rapide repas pris dans l’auberge à proximité, il retourna a la forge et commença à préparer les charrettes livrer le fer et s’occupa des premiers clients. Quelques ingénieurs étaient venus acheter de nouveaux wagons pour les mines, ainsi qu’une livraison de rails pour agrandir le réseau minier. En fin de journée, Wairn trouva sur le comptoir une lettre fermée, qui lui étais adressé. Certainement une commande d’un client…
III- Enlèvement
Cette lettre étais faite d’une feuille froissée et un peu déchirée. Elle proposait une grosse commande de fer pour forger des armes dans une armurerie d’un petit village, il devait se rendre cette nuit à la sortie de la ville pour conclure l’affaire. Cela semblait étrange, ce n’étais pas une demande officielle d’un village ou d’un chevalier, mais la grosse somme d’argent promise fit ravaler au forgeron ses inquiétudes. A la fin de la journée, il rentra alors chez lui pour manger un repas, se laver un peu et sortit de la ville avant que les portes ne se ferment. Arrivé sur les lieux de rendez-vous, trois hommes encapuchonnés l’attendaient. La petite clairière était très sombre et seuls quelques rayons de lune permettaient de voir les hommes. Ils avaient une longe cape qui les recouvraient complètement. L’un d’eux s’avança vers moi et me parla sans montrer son visage : « -Vous êtes bien Wairn le forgeron ? dit-il. -C’est bien moi, je suis venu comme vous me l’avez demandé. -Nous avons besoin de beaucoup de fer pour forger des armes. Nous aurions besoin d’environ deux mille lingots. Vous serez payé en or pur. -Dans quel but avez-vous besoin de tant d’armes ? Répondu le forgeron. -Mêlez –vous de vos oignons, stupide forgeron, cela ne vous regarde pas. Le pays a besoin d’un nouveau dirigeant… -Vous voulez mener une rébellion et prendre le pouvoir ? C’est hors de question, je sers ma patrie et n’aiderais jamais des raclures dans votre genre ! -Vous refusez donc ? Bien. C’est courageux. Mais futile. » Au même moment, Wairn entendit un bruissement de buisson derrière lui et il reçut un coup dans le dos qui le fit s’écrouler par terre. Un des brigands qui venait de sortir des buissons demanda au premier homme : « -Qu’est-ce qu’on fait de lui maintenant ? On le tue ? -Non, il pourrait nous rapporter quelques pièces… » Sur ces mots, le forgeron essaya de se relever difficilement pour s’enfuir, mais il reçut un coup sur la tête et s’évanouit. Noir. Quand il entrouvrit les yeux, il ne voyait rien dans la pénombre. Un violent mal de tête lui broyait le crane. Habitué à la pénombre, il sentit une forte odeur de pourriture et vit des ombres bouger légèrement près de lui. Une vive lumière brillait sur sa gauche. Sans réfléchir, il se leva d’un coup et essaya de courir pour fuir. Rapidement rattrapé par la réalité, il fut pris d’une violente nausée et d’étourdissements monstrueux, perdant totalement l’équilibre et se prit une poutre apparue comme par magie et s’évanouit. Noir. De nouveau un violent mal de tête l’empêchait de réfléchir normalement et quand il entrouvrit les yeux, il avait un bandage sur le front qui l’empêchait de voir. Il sentait la sensation, si courante, du métal froid sur ses poignets. Mais ce métal était grossier et irrégulier, loin de ses habituels outils et lingots fondus. Essayant de bouger, il avait poignets et chevilles enchainés. Il entendit une voix éteinte lui chuchoter : « -Ne bouge pas, tu es faible. Ton spectacle du dernier cycle a impressionné tout le monde, mais tu t’es méchamment amoché en te prenant la poutre. -Ou sommes-nous ? Je veux rentrer à Krelm ! -Haha… Tu n’es pas près de revoir ta patrie. -Taisez-vous vieil homme ! Je suis citoyen Nordique et j’ai des droits ! Mais où sommes-nous donc ? -Oh non plus ici… Nous sommes sur un bateau pour Esperia, la terre de l’espoir, ou nous allons être vendus en tant qu’esclave. Bienvenue dans le nouveau monde gamin ! » Sur ces mots, le mal de tête de Wairn le repris, les nausées l’emportèrent sur le peu de conscience qu’il lui restait et il s’évanouit. Noir.
Chronologie
- 06 Février 513: Arrivée a Esperia et vente pour 10eO à Scholwitz
- 06 Février 513: Emploi à la La Forge Du Destin par Uth Franchebrise comme Forgeron.
- 18 Février 513: Affranchissement.
- Fin Février 513: Découverte de l'Acier avec Uth Franchebrise.
- Mars 513: Travaille désormais a l'Armurie d'Antan, y aurait crée l'une de ses meilleures œuvres Le briseur de coeurs.
- 27 Mars 513: A acheté la maison d'emplacement AH11 à Adobe et y habite.
