Oppikaupunki
La Cité du Savoir (appelée Oppikaupunki en adaarion) est le centre de la communauté érudite de Golvandaar. C’est le principal centre d’érudition du continent.
Sommaire
Histoire
Oppikaupunki fut fondée en 207 sous l’impulsion du Sovitelija Astaarzon le studieux. A l’origine, il ne s’agissait que d’une nouvelle aile du grand monastère de Golvandaar chargée de faciliter l’enseignement de grands esprits plutôt que de les envoyer étudier dans les Synodes de l’Empire Central. Il fondit également en 215 le quartier de l’Oppikaupunki ou quartier des érudits et en confia la gestion à la nouvelle communauté érudite de Golvandaar.
Oppikaupunki connut un certain succès au sein de la Nation adaarionne mais demeurait largement dans l’ombre des Synodes à l’étranger. La situation commença à changer au cours du quatrième siècle. Au début du siècle, l’Empire Central connaissait une période de troubles politiques sans précédent. Le déclin impérial se fit notamment ressentir au sein des Synodes. A cette époque, la nation adaarionne était en opposition croissante face aux empereurs et Golvandaar devint un lieu de refuge pour les érudits. Ceux-ci s’installèrent dans le quartier des érudits et s’intègrèrent au sein de la communauté érudite de Golvandaar. En 329, Oppikaupunki vit l’arrivée de l’essentiel des précieuses collections des Synodes lors de la Fuite du savoir organisée par Caïn Beloeil.
Après la proclamation du Royaume Central en 332, les érudits réfugiés restèrent largement à Golvandaar et la dissolution officielle des Synodes dans les années qui suivirent fit d’Oppikaupunki le seul centre intellectuel du continent pendant les grandes transformations que connut le continent après la dissolution de l’Empire Central.
Dans les siècles qui suivirent, Oppikaupunki continua à prospérer, s’ouvrant même aux non-monachistes après la conclusion du Concordat de Roskilde. Même si elle est désormais concurrencée par d’autres centres intellectuels, notamment par les écoles privées caroggiannes et les nouvelles universités capitaline, la cité du savoir reste le principal lieu d’érudition du continent.
Réputation
La Cité du Savoir est connue comme la plus ancienne institution érudite encore en activité et la plus importante du continent. Bien que d’autres lieux de savoirs soient nés ailleurs sur le continent, la Cité conserve son statut de centre du savoir continental. Un diplôme issu de cette institution ouvre ainsi de nombreuses portes là où l’on respecte le savoir.
Cursus
La Cité du Savoir offre comme études de base les neuf arts arbitrés qui sont un mélange de différents groupes réputés pouvoir faire d’un individu un personnage lettré et bien-éduqué. Ces études ne sont cependant qu’une partie des possibilités
La Cité du Savoir permet d’étudier de façon approfondie (soit à la suite, soit indépendamment des neufs arts) les sujets suivants:
- La théologie.
- Les langues.
- L’astronomie.
- L’alchimie.
- La philosophie (généralement combinées avec la théologie).
- L’histoire.
- La médecine.
- Le droit.
- L’histoire naturelle (note aux joueurs: terme recouvrant les matières de la biologie et de la minéralogie).
- Les mathématiques.
- La physique.
- L’ingénierie.
- L’architecture.
- La géographie et la cartographie.
Voir aussi la page généraliste de l’éducation.
Pré Requis d’entrée
Pour pouvoir étudier au sein de la Cité du Savoir, les prérequis sont les suivants:
- Être adulte.
- Savoir lire, écrire et compter sans erreurs.
- Maîtriser au moins le capitalin ou l’adaarion.
- Être arbitré et n’être sous le coup ni d’un anathème, ni d’une apostasie. Les non-monachistes doivent passer un entretien avec un moine mais sont admis depuis le Concordat de Roskilde. Certaines exceptions ou cas particuliers sont parfois tolérés, le plus souvent pour des raisons de hautes politiques ou avec la garantie de personnages influents au sein de la communauté érudite ou religieuse. Les iconodoules sont exclus.
- Être capable de payer les droits d’inscription (très coûteux) ou être financé par une institution ou un bienfaiteur reconnus comme étant capables de le faire légalement.
Infrastructure
La Cité du Savoir possède un important complexe:
- Les bâtiments de l’Oppikaupunki au sein du domaine du Monastère de Golvandaar.
- Le quartier de l’Oppikaupunki.
- Les ateliers des ingénieurs au sein du quartier du district des ingénieurs de Golvandaar.
- Les bibliothèques de Castel-roc.
- Les hôtels d’étude dans les villes de Roskilde, Laaksot et Maailmanovi.
Fonctionnement interne et composition
Personnel
Les enseignants et chercheurs de l’université sont tous des membres de la communauté érudite de Golvandaar, une institution entre la corporation adaarionne et la guilde.
L’entretien et l’intendance de l’Oppikaupunki sont fournis par le grand monastère de Golvandaar sous la forme d’esclaves, de moines et de serviteurs laïques.
Financement
La Cité du Savoir est une institution riche et prospère. Elle possède plusieurs sources de financement:
- Le financement direct organisé par le Monastère Adaarion et la Nation adaarionne, notamment via le Monopole de l’Or.
- Une contribution du Royaume Central, de la Grande Huratelon et de la République marchande de Caroggia afin de garantir la sécurité et le bon traitement des étudiants originaires de ces états.
- Le paiement des droits d’inscriptions des étudiants.
- La vente et location d’ouvrages entreposés dans les bibliothèques de la Cité.
- Les taxes des marchands vivant dans l’Oppikaupunki.
- Le droit de séjour des érudits non-membres de la Communauté érudite.
- Les donations privées.
- Les revenus de sommes investies dans des banques adaarionnes et caroggiannes.
- Des revenus exceptionnels en échange de service particuliers comme des missions scientifiques
Étudiants
Les étudiants sont logés à leurs frais au sein du quartier de l’Oppikaupunki.
Folklore
Le folklore d’Oppikaupunki réside principalement dans l’ambiance bigarrée et les “cliques” du quartier de l’Oppikaupunki.
Alumnis célèbres
Liste
Ces listes ne sont pas exhaustives et devront à terme être générées automatiquement.
Étudiants
Personnel
- Matleena Lammas, professeur d’histoire.
- Valentine Bauguengent, rehtori et grande érudite en médecine et histoire naturelle.