Onëhida
| Informations | |
| Nom | Onëhida Ska Nakvati |
|---|---|
| Sexe |  |
| Naissance | 339 |
| Décès | Inconnue |
| Famille | |
| Famille de naissance | Ska Nakvati |
| Père | Orvar Ska Nakvati |
| Mère | Iren Sta Astreife |
| Fonction & Croyance | |
| Rang | Jarl |
| Religion | Culte des Déesses des Sept Mers |
| Origines | |
| Ville d'origine | Krelm |
| Région d'origine | Vahnamaa |
| Nation d'origine | Tribus Vaahvas |
Onëhida est le dernier des trois fils d’Orvar Ska Nakvati, le héros de la Reconquête des Maahvitts et de la prise de Septentrion. Il est célèbre pour avoir renoncé à la tradition équestre du Vahnamaa pour préférer s’engager dans une quête mystique aux confins du Kinemaar, à l’extrême orient des Maahvitts et prétendument par delà la mer de la Raakavann. Son histoire suscite bon nombre de légendes.
Biographie
Onëhida naît en 339 à Krelm. Lorsque son père Orvar décide de reprendre sa vie de nomade auprès de sa tribu équestre, il le suit alors qu’il n’est qu’un enfant et quitte la tribu de sa mère, les Astreife. S’il est encore très jeune quand Orvar meurt en 349, il demeure sans conteste le fils qu’il a directement côtoyé le plus longtemps et le plus assidûment devant Yorvik et Asbjörn. Dès enfant, il est initié à l’équitation et fait savoir son désir d’arpenter les Maahvitts pour y célébrer chacune des Sept mers.
Onëhida demeure pendant dix années de plus auprès de la tribu de son père mais il ne revendique pas son titre d’Indrammet au profit des anciens. Il effectue les voyages nomades traditionnels, sillonne le Vahnamaa et séjourne régulièrement à Krelm. La date exacte du commencement de son voyage n’est pas connue avec certitude, on l’estime aux environs de 358. Il part alors en direction de l’est avec comme idée de franchir le Kinemaar.
Héritage
L’histoire de Onëhida et les légendes qui l’entourent sont si célèbres qu’on le considère comme un des explorateurs les plus prestigieux des Maahvitts, parfois au même titre que Godrick le Grand. Pourtant, nul ne peut dire ce qu’il est devenu sans fabuler, et la plupart des histoires concernant son voyage sont de pures inventions destinées à divertir les enfants et à délivrer une morale religieuse propre au Culte des Sept.
