Utilisatrice:Krystal

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Krystal

Informations RP
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Famille



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Métier
Métier










Informations HRP
Login Minecraft
Super_Hila
Prénom IRL
Hila
Âge IRL
15 ans





Caractéristiques

Information

Age: 17 ans

Lieu de naissance: La Montagne(Montagnarde)

Taille: 1,70m

Poids: 50Kg

Description

Caractère

Malgré les économies de ma famille, je dois faire attention à ce que je dépense. J’ai un très grand cœur, mais je suis très difficile à démystifier. Je n'accorde pas ma confiance à n'importe qui (à voir dans le RP), mais une fois mes défenses percées à jour, je suis une personne qui se soucient des autres et qui peut faire preuve de compassion. Mon seul problème c’est que je suis très impulsive. Je déteste ressasser des événements de mon passé.

Physique

J’ai un visage qui témoigne que je n’ai manqué de rien étant gamine, malgré quelques petites cicatrices acquise durant des périodes de chasse assez ardue. Pour la plupart des jeunes femmes je suis très grande, soit 170 cm, j’ai les cheveux bruns en batailles, le plus souvent attaché en une longue natte dans mon dos et j’ai les yeux bleus azurs

Talents

Malgré de longue journée passé à marchander avec mon père et ses clients, j’ai pu tout de même acquérir une excellente maitrise d’un arc à flèche, pendant de longue escapade nocturne parfois même pendant les jours ou mon père partait marchander dans les autres villes. Je sais cependant manier une canne à pêche, je n'en suis peut-être âs experte, mais c'est déjà ça d'acquis...

Défauts

Histoire

Avant Esperia

Pendant une chaude journée de mai, j’étais toujours dans les bois à la recherche de petit gibier, malgré le fait que l’aube avait déjà point à l’horizon il y avait quelques heures. D’habitude je ne m’autorisais jamais le luxe de rester dans les bois quand il y avait déjà du soleil. J’étais donc accroupie, sur un rocher tapis de moisissure verte, lichen, à penser à ce que je pourrais bien faire avec mon père lors de son marchandage habituel avec les gens les plus louches de la ville, quand j’entendis à travers les bois des cris déchirant. Je me levai donc prestement et partis à la course en direction des cris. Je venais d’arriver devant la source des cris quand je réalisai que j’étais devant ma petite maison, si durement gagné par mon père. Je me précipitai à l’intérieur pour y trouver ma mère et ma petite sœur de 13 ans en pleurs. Frénétiquement je cherchai mon père du regard. Quand ma sœur leva un bras et pointa la porte arrière de la maison, j’accouru prête à tout sauf à ce que je vu ce matin-là. Mon père était assis sur une chaise cham branlante. Il était mort. Je m’appuyai contre le mur pour reprendre mon souffle et mes esprits je ne comprenais pas pourquoi on l’avait assassiné. Plus tard dans la journée, j’ouvris l’échoppe où nous vendions de la viande bon marché pour les moins riches, parfois même nous faisions du troc contre des marchandises dont nous avions éperdument besoin. J’allai dans le fond de l’échoppe pour y vider les deux lapins que j’avais tué au matin, puis j’accrochai les deux carcasses sur des crochets pour qu’ils soient à la vue de tous. Dans la soirée, je m’apprêtais à fermer quand deux hommes assez étranges, plus que d’habitude, s’approchèrent et me lancèrent quand ils furent assez proches pour que je sois seule à entendre : « Combien pour ton corps ma mignonne? » J’affichai aussitôt un air déconcerté, puis je leur crachai à la figure : « Trop cher pour que l’un de vous deux, messieurs, puisse l’acheter. » Sur ce je fermai l’échoppe et je retournai chez moi.


Cela fait presqu’une semaine que mon père est décédé. Je crois dur comme fer que c’est à cause de ce qui est arrivé la veille de sa mort. Je me rappelle clairement que deux hommes étaient entrés dans l’échoppe et que mon père m’avait demandé de garder l’avant pendant qu’il s’entretenait avec les messieurs. Je l’entendis à plusieurs reprises crier, mais comme il n’était pas un homme à blasphémer aucun juron ne sortit de sa bouche. Je crois bien que tout cela à un lien, mais je n’ai aucune idée de quelle manière. Cette après-midi ce tien un mémorial en l’honneur de mon père, pour sur je n'y serai pas je vais laisser ma mère y aller avec ma soeur. Je ne suis vraiment pas d'humeur à aller parler de qui était mon père.Je vais probablement, aller à la taverne à la place, regarder des lourdeaux se tomber dessus et se frapper pour des conneries. Une fois à la taverne, je commandai un verre d'hydromel et j'attendis que les trois heures d'éloges funèbres soient terminées. Je remarquai du coin de l'oeil que deux hommes entrèrent dans la taverne au moment même où je terminais mon verre. Je me levai et m'en allai quand l'un d'eux me plaqua contre le mur près de la porte, celui qui n'était pas écrasé sur ma poitrine dit: « COmme on se retrouve, belle demoiselle... » Je ne pus répondre à cette remarque, il fut encore bien beau si j'arrivais à inspirer de temps en temps. Je tentai de repousser le lourdeau appuyé contre moi, quand le deuxième me pris par l'avant bras et me susura: « Viens on va parler. » Par obligation je le suivi au comptoir. Je dû parler longuement avec ces deux hommes, il était très tard quand je demandai à prendre congé de ces messieurs. Je rentrai chez moi à pieds, loin de me douter que cette soirée-là, puisqu’il était bien tard quand je me rendis compte de l’heure, aurait été pour moi la dernière en ville et que le petit déjeuner que j’ai pris ce matin avec ma famille serait le dernier. Parce que sans m’en apercevoir j’étais suivie. Quand je m’en rendis compte il était trop tard tout était déjà fait, la machine était lancée. Un des hommes m’assomma par derrière avec je ne sais trop quel objet et l’autre se plaça devant moi ce qui lui assurait que la dernière image que j’aurais serait celle de son visage, un visage dont le pu s'écoulait par des blessures non traitées, dont il manquait un oeil, le droit, et dont on pouvait sentir l'haleine de chair en putréfaction à des kilomètre à la ronde. Et avant que je n’aie pu fermer les yeux et perdre connaissance, les deux hommes me dirent : « Finalement ton corps n’aura pas été trop cher, puisque tu nous appartiens désormais. » Sur ces paroles je m'endormie avec un affreux mal de crâne...


Lorsque je fus réveillée par un faisceau de lumière aveuglant, je pris conscience que je n’étais plus chez moi et que c’était pour de bon. Je tentai de me lever et je remarquai que j’avais les pieds et poings liés, je pris donc le temps de regarder autour de moi, j’y vis des centaines de personnes assise dans la même position inconfortable. Je tendis l’oreille pour voir et tout ce que j’entendais furent des gémissements et des pleurs saccadé. Je me retournai du mieux que je le pus et je tentai de parler à la femme qui se tenait à côté de moi. -Chère dame, que faisons-nous ici? J’ai une famille à retrouver, ils doivent s’inquiéter pour moi. Elle me regarda, avec un regard affreux avant de me cracher au visage : -Mais vois-tu pas que ta famille, t’en a plus désormais! T’es rien qu’une bonne à rien d’esclave à présent! Prestement, je compris pourquoi mon père avait été assassiné. C’était par ma faute, les hommes voulaient probablement m’acheter à bas prix et mon père avait refusé et maintenant qu’il était mort les hommes avaient pu m’enlever en toute tranquillité. Je tentai une approche plus sympathique, malgré le fait que je déteste parler, avec un petit garçon d’à peine 10 ans qui pleurnichait. Je tendis les bras, malgré mes entraves aux poignets pour l’en envelopper. Aussitôt il leva la tête en criant : « Maman! C’est toi! » Et son sourire revint, mais quand il me vit à la place de sa mère chérie son sourire disparu. Un peu déçu je lui répondis : -Désolé, mon trésor je ne suis pas ta mère, mais pourrais-tu me dire où ils comptent nous emmener? Il secoua la tête et se remit à pleurer. Je n’avais pas vraiment avancé dans mes recherches en tout cas… Je tentai tant bien que mal de m’endormir un peu jusqu’à ce que j’y renonce définitivement pour manque de place et de confort. Le lendemain matin, un des hommes qui m’avait agressé annonça que Ledgris viendrait nous chercher dans moins d’une heure pour partir à Esperia. J’en étais tout à fait déconcerté. Esperia, mais c’est loin, c’est le nouveau monde, je crois… Je me mis à trembler de terreur à l’annonce de cette nouvelle. Un peu plus tard dans la journée, deux gardes et Ledgris, l’homme dont on nous avait parlé tout à l’heure, se pointèrent avec les genres de lances –Je ne peux pas dire que je suis doué dans ce qui attraient aux armes corps à corps- ils aidèrent certaines personnes à se relever et les poussaient dans le dos pour qu’ils avancent plus vite. En fin d’après-midi, nous étions tous montés dans le dirigeable de Ledgris de gré ou de force pour certains et nous étions prêts à partir.

Même sur le dirigeable, tout le monde pleurnichait, pour si ou pour cela. Je n’en pouvais tout simplement plus, j’aurais préféré qu’on m’abatte tout de suite que d’avoir à endurer, ces mous du ventre. Moi contrairement aux autres, malgré la faim, la peur et le désespoir, je ne laissai aller aucune larme visible, bien sûr que j’avais le cœur brisé de devoir quitter ma famille sans même leur dire au revoir ou encore qu’elles aies toutes deux pu se remettre de la perte de père, mais on ne m’a pas laissé ce petit luxe. Je laissai, donc de côté mes émotions pour laisser paraître la femme endurcie que je suis. Plusieurs fois pendant la traversée, j’entendis des gardes qui passaient près de moi murmurer : « Tu crois qu’elle va pleurer un jour? » ou encore « Elle fera une magnifique esclave! Tu sais? ». Par contre je ne revis pas Ledgris de toute la traversée excepté au moment de l’embarcation. Plusieurs jours avaient passés et je n’avais toujours rien avalé, excepté de l’eau de temps à autre que l’on nous envoyait au visage pour nous garder éveillés. Peut-être croyez-vous que nous étions sous le soleil à nous faire griller, bien détrompez-vous! Nous étions attachés aux chevilles et aux poignets dans plusieurs cages communes, dans une salle sous les salles où ils conservaient la nourriture, nous baignions dans les excréments de ceux qui étaient à nos côtés et plusieurs d’entre nous sont morts de maladies dues à cette insalubrité. Par contre, je tins le coup, pour ma sœur, Rubis, et pour ma mère. Pendant toute la traversée, je priai mon dieu, Arbitrio, pour qu’Il me sorte d’ici saine et sauve. Non, Il ne me fit pas sortir littéralement pour que je retrouve ma famille, mais Il m’aida à sortir indemne de ce voyage d’enfer. Le voyage en tout, dura à peu près un mois, je crois, disons que je ne comptais pas vraiment les jours. Mais quand les gardes crièrent à travers une porte épaisse, puisqu’ils n’osaient même plus mettre les pieds dans toutes ces crottes, que nous étions au-dessus du lieu d’atterrissage, j’implorai le ciel pour m’avoir aidé à survivre et du même fait j’adressai quelques mots pour ma famille et je pris une grande inspiration. Dès que les gardes ouvrirent la porte et celle de la cage pour nous aider à sortir je courus à l’extérieur, malgré les entraves que j'avais aux poignets j'avais réussi à défaire les cordes qui me liaient les chevilles et j’inspirai, cette fois l’air ne sentait pas la décomposition, nous volions au-dessus d’une magnifique forêt. Quand je m’évadai, les gardes ne tentèrent même pas de m’empêcher de sortir. L’un d’eux même cria aux autres : « Laissez-la, elle ne s’enfuira pas! Elle a fait trop d’effort pour survivre jusqu’ici! » Et il avait raison, je n’avais pas fait tout ça pour me faire transpercer par une lance une fois arrivée…

Premier Jour

Lors de son arrivée, elle a été vendue comme Esclave à Marcus Loinvoyant.