Utilisateur:Erïa

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     Érïa Aoife (Prononcer Iffa)
Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de




Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Nekya
Pseudo
Eria
Prénom IRL
Audrey
Âge IRL
20












Description

  • Mesurant 1m67, elle a la peau métisser, brune. Les long cheveux noir un peu décoiffer, elle a les yeux vert. Elle ne possède par ailleurs aucune cicatrice.

Choix

  • Chasseur/Pécheur : D'origine Canatan, elle a beaucoup accrocher au tradition de sa nation et au métier de son père, chasseur. Désirant marcher dans ses pas, elle a chercher à savoir le maximum qu'elle pouvait.
  • Éducation : Ayant la chance d'avoir une mère tailleuse du bois sachant lire, elle aimait souvent entendre des histoires de sa part. Elle a finit par apprendre à lire et a écrire grâce à elle.
  • Connaissance [Survie en milieu sauvage] : Après avoir passer beaucoup de temps à chassé avec son père et avoir écouté ses histoires et conseille dès son plus jeune âge, elle a assimiler plusieurs technique pour survivre en milieu sauvage.

Talents

  • Endurante : La vie Canatan et la chasse la forger pour avoir plus de vigueur.

Défauts

  • Superstitieuse : Adorant écouter les histoire et conte de sa nation, de sa famille ou ceux dans les livres, elle en est venu a en croire certain, elle a plus de facilité à croire ce qui attire la malchance et les histoire extravagante concernant l’irréelle.
  • Trouillarde : De sa superstition, elle a souvent cru au monstre et autre créature horrible innommable qui hantaient les caverne, les lieux sombre et le dessous de son lit. Elle en a garder une certaine frousse et on peu lui faire facilement peur, et la nuit est l'une des choses les plus oppressante pour elle.
  • Rancunière : Grandir avec un grand frère peut nécessité de savoir rendre les coups quand une dispute entre frère et sœur apparaît. C'est un trait qui s'est développer vite chez Érïa.
  • Phobie des lapins : ça a toujours été plus fort qu'elle, quand un lapin sort du buisson pour s'enfuir à toute vitesse, ça l'a toujours effrayer sur le coup. Dût à une attaque sournoise d'un lapin qui lui tomba sur la tête en étant plus petite et lui laissa un traumatisme envers cette espèce à dent longue.

Intérêts culturels et goûts

  • Musique et tir à l'arc : Ayant grandit au Canatan, elle y a développer un intérêt pour les tradition de sa nation, spécialement pour la musique et le tir à l'arc.
  • Chant : De nature plutôt peureuse, le chant est son moyen pour se rassurer quand elle est effrayer, se sentait seule, qu'il y avait un problème tracassant qui la préoccupait beaucoup ou encore pour se changer les idées.
  • Lire et l'imagination : Grâce à sa mère, elle pût apprendre à lire et écrire de manière plus convenable, elle en a tirer une passion pour l'imaginaire et les livres.
  • L'océan et les astres : L'inconnue est une des choses qui la toujours à la fois fasciner et terrifier. Mais parmi tous ce qui pouvait attirer sa curiosité, l'océan et les astres était ce qui l'attirait le plus. N'ayant jamais pu voir l'océan et se reposant souvent le soir en regardant les étoiles, elle se demandait souvent jusqu'où ça s'étendait et quel mystère on pourrait découvrir dans ses lieu encore si énigmatique.

Histoire

RolePlay :


Le vent souffle doucement, les herbes dansante se tournent, repousser, tandis que les feuilles des arbres remuent lentement au rythme du souffle qui les agites.

Un léger frottement se fait entendre, tandis que les herbes s’écartent ou s'écrasent sous la venue d'un humanoïde au forme féminine.

A ces côté, un homme de bonne stature, se déplacent plus aisément, s'approche auprès de la fille. Le crâne exceptionnellement chauve et la moustache touffue de couleur noire, la peau légèrement métissée, il possède un arc de bonne qualité, un carquois attacher dans le dos par des lanière de cuir entourant son torse, passant au dessus de ses vêtements. Il s'abaisse pour se retrouver à la hauteur du personnage qui l'accompagne.

Une fille, visiblement, passant doucement à l'étape de l'adolescence. Elle a les cheveux attacher en queue de cheval, de couleur noir, la peau un peu plus clair que l'homme à ses côté mais tout de même un peu foncé, les yeux vert, elle tient ce qui semble être un arc en bois de fortune bien fragile, relier par un fil maladroitement, attacher sur les deux bord du bout de bois qui a servi à la fabrication de l'arme, étrangement, elle ne possédait pas de carquois. Elle leva les yeux pour regarder l'homme qui vient lui chambouler sa coiffure qui était déjà chaotique.

-Je te l'ai déjà dit, mais je suis fier que tu décide de suivre la voie de ton père! Prononça l'homme, d'une voix grave et enthousiaste. On est chasseur depuis des générations dans la famille Aoife! Quand tu seras plus grande, et si tu désire toujours suivre cette voie, peut-être que notre arc familiale finira entre tes mains.

L'homme était sincère dans ses paroles, il se redressa, regardant autour quand un craquement d'une branche se fit entendre.

-Ne bouge plus! Dit-il à voix basse.

L'enfant sursaute, finalement, il essaya de se transformer en ce qui l'entourait, un arbre, peine échouer car elle n'arrivait pas à se tenir en place et semblait bien trop trépignée d'impatience, à peine dix seconde après ça tentative de rester immobile.

Soudainement une créature, toute brune de fourrure, s'extirpait d'un buisson, s'élançant avec, une agressivité sans pareille, sur les feuilles qui gênait sa fuite en les piétinant à chaque bond, la fille, en voyant cet affreux spectacle, poussa un petit cri aigu en sursautant à nouveau.

L'homme n'attendit pas pour réagir. Il attrapa une flèche dans son carquois qu'il encocha avant de bander l'arc, la fille à ses côté le copia, tremblante, à l'exception qu'elle n'avait pas de flèche et que son arc montra sa fragilité, bien vite, en se brisant en deux une fois tendu.

L'homme laissa s'en aller la flèche quand sa fille vint le gêner en se collant à sa jambe, visiblement elle avait peur, elle poussa un gémissement plaintif, tandis qu'une étrange odeur piquante commençait à se faire sentir. La flèche siffla tandis qu'elle s'approchait, dévier de sa trajectoire initiale, l'animal, alerté par le gémissement changea de cap, ne voyant pas que la flèche avait décidée aussi de partir par là.

RolePlay :


Dans une simple maison, les murs faits de pierre et le toit de paille, une douce odeur de viande cuisant se faisait sentir. Autour d'une table en bois se trouvait deux hommes, le chasseur y était, observant le deuxième, plus petit, de ses yeux brun.

Les cheveux noirs, de taille relativement courte, partageant la même couleur de l'iris que l'homme, il semblait soucieux.

-C'est vraiment dommage que tu ne souhaite pas suivre les traces de nos ancêtres, mon fils. Prononça l'homme âgé sous un ton de confession.

-Ce n'est pas ce qu'il me plait, papa. Admit le fils.

-Que veux-tu faire, alors? Demanda le père, haussant le sourcil droit.

-Je ne sais pas... Répondit l'enfant. Je ne sais pas...

L'adulte soupira, se redressant sur le dossier de son siège en bois, balayant la pièce du regard. La famille n'était pas riche, c'était un fait. A vrai dire, l'unique objet de valeur qu'ils possédaient vraiment était l'arc familiale, utilisé par le père à la chasse et possible legs future à la fille qui désirait suivre les traces de ses ancêtres chasseur. Le regard de l'homme se posa sur les reliques de la chasse qu'il avait donné avec elle avant de rentré, leur trophée en main. C'était l'arc qu'elle avait fabriquée. Quelque choses de bien fragile, elle avait juste trouvée un bois qui lui semblait long. Elle avait attachée une corde, en reliant les deux bout. L'objet menaçait déjà de se brisé avant la chasse, mais il faut croire que la pression des cordes tirant le bois en arrière eût raison de lui, le bâton s'était briser en deux. Cela avait peiné l'enfant, mais la vue de sa première proie avec son père l'avait vite fait oubliée ce détail, l'emplissant rapidement de nouveau d’enthousiasme, qui, se transforma vite en gêne quand elle se rappela d'un autre détail.

C'était un bien maigre repas qu'ils allaient s'offrir ce soir. La bête n'était en fait qu'un simple lapin, mais sous le coup de l'adrénaline, la fille avait cru que c'était un monstre de la forêt qu'elle avait pu lire dans les livres, une créature faisant sa taille et le double de son épaisseur, féroce combattant au croc pointue, et à vrai dire, elle n'avait pas oser révélé qu'elle s'était relâchée suite à la peur mais elle se fit démasquée à l'odeur et à son embarras apparent, elle était bien trop mauvaise comédienne. Elle dût partir se changée et se lavée rapidement une fois rentrée.

Lors du chemin de retour, elle s'était mise à chanter. Elle le faisait quand elle se sentait seule, qu'elle avait peur ou bien qu'il y avait un problème qui la préoccupait. Il lui arrivait aussi de chanter pour le plaisir mais c'était bien plus rare. L'homme le savait très bien. Quand elle faisait ça c'était généralement pour se rassurer ou bien se détendre. C'était sa façon à elle, et en soit ça l'avait trahit car l'homme avait des soupçon que l'odeur ne provenait pas du dernier "cadeau" de la créature à sa mort. Point commun de tout être quand leur corps meurt et relâche toute tension.

L'odeur devenait plus forte, il était certain que le plat allait bientôt être terminer. L'homme pensa à sa femme. Si lui, il était chasseur, sa femme, elle, excellait plus dans le travaille du bois. Elle avait tenter d'enseigner sa passion à ses enfants mais cela les avaient moins pris que la chasse, ils apprirent les bases, mais n'en prêtent pas plus d'attention que ça à la chose, ils les oublièrent vite avec l'âge.

Le repas ne tarda pas à arrivé, une femme accompagnait la fille. Les cheveux brun marrons et les yeux vert, la peau beige, elle transportait le plat, souriante et vint le poser sur la table avant de s'installée.

-Ah, voici le monstre! Dit l'homme, un brin taquin envers sa fille qui s’empourpra de honte en se souvenant de la scène.

-C'est l'heure de la prière. Prononça d'une voix calme la femme.

La fille prit place, observant sa famille un moment avant de joindre les gestes à la parole de sa mère. C'était un repas maigre qu'ils allaient manger, aujourd'hui, mais rien ne valait la gratification de l'avoir attrapée avec son père. Elle était heureuse malgré tout.