Utilisateur:Concertym

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Tym

Informations RP
Nom
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Métier
Métier










Informations HRP
Login Minecraft
Concertym
Pseudo
Tym


Âge IRL
18 Ans



Informations Diverses
Hacher du zombie, c'est ma passion.



Histoire

Avant Esperia

Depuis mon enfance, les minerais sont ma grande passion. J'ai tenu ma première pioche à l'âge de 6ans. Evidemment il s'agissait d'une petite pioche en bois fabriquée par mon père. Mais celle ci me permettait déjà de partir en expédition avec mon paternel, et de lui frayer un chemin dans les grottes les plus profonde de notre monde. Jusqu'à mes 9ans, la vie suivait son cour, j'apprît beaucoup sur le métier de mineur, reconnaître telle ou telle pierre, et même tailler cette pierre. Un exercice difficile, qui demande la plupart du temps des outils en diamants extrêmement fin au extrémité.
Vient ensuite un enchaînement de catastrophes. Tout d'abord la mort de mon père lorsque j'avais 10ans... Une mort humble dans l'exercice de son art, enseveli sous plusieurs tonnes de pierre. Ma mère et moi n'avons jamais retrouvé le corps pour lui faire une sépulture, et cela ma beaucoup marqué.
Ensuite, ma mère décida de me donner un apprentissage. Elle ne croyait pas vraiment que j'était doué pour être mineur, et puis il faut dire que depuis l'accident, elle eu un peu peur pour moi.
Nous nous sommes donc dirigé vers la ville la plus sage. Une ville ou il faisait froid. Une ville ou j'étudiais la lecture et l'écriture. A côté, je continuais de miner, un peu.
A 25ans, alors que tout allais à peu prêt bien pour moi, la guerre fît rage dans nos contrés glaciale. Je du me résigner à faire partie de la première division armé du Palais. Cela ne voulais pas dire grand chose pour moi. Tout simplement que quand nous étions attaqués, il fallait se défendre, et surtout, gagner. Notre armée était forte, sans être exceptionnelle. La plupart du temps, nous gagnions, mais parfois, la ville était prise, et les jours passaient sans que personnes ne puissent faire quelques choses.
Je fît se métier de soldat, jusqu'à 38ans. Oui vous avez bien lu, cela fait plus de 13ans de combat, de coups d'épées, d'armure à porter et j'en passe. D'ailleurs, les mouvements appris à l'école militaire resterons marqué à jamais. Mais l'envie de porter armes et armures est passé. Les horreurs de la guerre hantaient mes nuits.
Un jour, des hommes sont arrivés avec des seaux de lave, des centaines d'hommes tous munis d'un gros seaux de lave épais qu'ils tenaient dans leur mains vêtues de gants d'acier. Ils ont tout fait brûler. Maison, rue, monuments, tout fût détruit, nous avions même pas le temps de nous armer, la bataille était perdu d'avance.
Je vis alors un groupe de personnes hors de la ville en feu. Je m'introduisais alors discrètement, dans l'espoir de ne pas ma faire remarquer et pourquoi pas, avoir un peu d'eau. Il parlait tous de partir, loin de cette guerre, loin de cette haine et de bâtir une ville plus simple, plus harmonieuse. Je me souviens encore avoir pensé très fort "Jamais ils n'y arriverons". Mais ce jour la je n'avais vraiment rien à perdre et je décidais donc de partir avec eux, laissant derrière moi beaucoup de choses. Le matériel n'a pas survécu, mes souvenirs eux, resterons intact. J’espérais secrètement que leur projet voit le jour pour retourner à une vie plus paisible, ou miner redeviendrais un véritable plaisir, ou je ne serait plus obligé de me battre, et pourquoi pas, ouvrir un magasin de minerais, pour illustrer ma passion.

Le quartier

Sur la route, je me dit qu'oublier tout ce périple était une bonne chose. Des gens importants, qui avaient apparemment trouvés un lieu ou les terres était naturellement riche, décidèrent de monter un petit camp pour collecter des ressources. Une immense liste de ressources. Comme je voulais m'intégrer je mît beaucoup de coeur à l'ouvrage, les minerais principalement. Un jour, un homme a dit qu'il fallait partir, que nous étions prêt. Nous nous sommes donc mit en route vers Esperia, c'était comme ce que ça s’appelait. Sur le trajet de notre future, j'ai rencontré une famille, les Tarkhane. Ils étaient gentils, je me suis lié d'amitié avec le fils, un garçon sympathique, qui avait de grand projet. (suite à venir la flemme)

Journal

Des petites histoires sur la vie à esperia. A venir très bientot.