Utilisateur:Aarfal : Différence entre versions
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| − | Aarfal à toujours été un amateur de l'art... Enfin, de sa vision de l'art. Un objet pratique de la vie de tous les jours, devenu esthétique, suscitera à coup sûr son l'intérêt. La variété. Aarfal à toujours adoré la variété, que ce soit dans n'importe quoi. Par exemple, goûter à un nouveau met ne sera jamais de refus. | + | Aarfal à toujours été un amateur de l'art... Enfin, de sa vision de l'art. Un objet pratique de la vie de tous les jours, devenu esthétique, suscitera à coup sûr son l'intérêt. La variété. Aarfal à toujours adoré la variété, que ce soit dans n'importe quoi. Par exemple, goûter à un nouveau met ne sera jamais de refus. À Esperia, Aarfal à goûté à sa première bière; il adore, mais il s'est aussi rendu compte que cela provoque des effets négatifs très rapidement sur lui. |
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Version du 28 décembre 2014 à 03:37
Sommaire
Description
Avec son air souvent inexpressif, ce jeune homme n'a pas l'air d'avoir des émotions. Malgré cette impression, cet air provient de son manque de confiance auprès des habitants du nouveau continent et de sa réserve concernant son passé, mais derrière ce voile se cache des tonnes d'émotions refoulées. Pour le moment, il est méfiant, mais quiconque percera sa méfiance verra naître une tout autre attitude chez lui. Ses deux bracelets sertis de lapis reflètent un bleu pur au contact des rayons de soleil. Il porte fièrement son bandeau blanc, visiblement salit et usé par de nombreuses expéditions et des contacts avec de la terre. Sa veste de cuir travaillée minutieusement donne l'impression d'avoir été créée avec une finesse surprenante. Contrairement au reste de ses vêtements, la veste avait l'air dispendieuse et raffinée, quoique un peu sale, elle était tout de même d'une grande qualité. Ses pantalons gris, normaux, sont sales, comme le reste de son accoutrement. Il a une musculature plutôt solide, mais pas imposante. Ses yeux sont d'une teinte de bleu assez rare, bleu océan.
Aptitudes
Agilité : Ses escalades régulières et ses traques dans la forêt lui ont apprit comment se déplacer gracieusement et furtivement.
Survie : Chasser en forêt l'a rapidement endurci et a développé un fort instinct de survie.
Chasse : Aarfal chasse depuis ses 9 ans, son père lui a également apprit les rudiments de la chasse, avant de se faire arracher de son foyer, il vivait de la chasse.
Combat : Arc : Normal | Dague/Couteau : Amateur
Talents
-Depuis toujours, Aarfal adore utiliser ses mains, il est très manuel. Sa dextérité à participé à le rendre très efficace avec un arc, à la chasse.
Qualités
Généreux - Jamais il ne refusera d'aider un ami.
Minutieux - Il fait très attention aux moindres petits détails lorsqu'il travaille.
Débrouillard - Son orgueil mal placé lui a apprit à se débrouiller seul.
Ingénieux - Aarfal et son père ont toujours su se débrouiller en forêt pour confectionner des pièges divers à partir de presque rien.
Tenace - Presque rien ne le fera abandonner, il ira au bout de tout.
Juste - Son sens de justice le rappelant à l'ordre, Aarfal à horreur des injustices. Il est rare qu'Aarfal s'en prenne à quelqu'un sans très bonne raison.
Défauts
Obstiné - La plupart du temps, ses idées sont, pour lui, les meilleures. Pour quelqu'un en qui il n'a pas confiance, il est très difficile de le faire changer d'avis.
Orgueilleux - Son orgueil est omniprésent dans sa vie, les gens le côtoyant ont toujours tôt fait de s'en rendre compte.
Introverti - Depuis son enlèvement, Aarfal fait rarement part de ses idées aux gens l'entourant. Cependant, il n'est pas timide tel quel. Cet état changera peut-être au fil du temps.
Impulsif - Aussitôt qu'une idée lui passe par la tête, il est rare qu'Aarfal prenne le temps de la considérer pleinement avant de se mettre à l'action.
Arrogant - La politesse n'a jamais été son fort, toutefois, il est capable d'être poli. Sans le savoir, il utilisera des mots et un ton arrogants, même si telle n'était pas son intention.
Direct - Si quelque chose ne lui plaît pas, il ne se gênera pas pour le dire. Pour s'exprimer, il est rare qu'il passe par quatre chemins avant de venir au sujet.
Intérêts culturels et goûts
Aarfal à toujours été un amateur de l'art... Enfin, de sa vision de l'art. Un objet pratique de la vie de tous les jours, devenu esthétique, suscitera à coup sûr son l'intérêt. La variété. Aarfal à toujours adoré la variété, que ce soit dans n'importe quoi. Par exemple, goûter à un nouveau met ne sera jamais de refus. À Esperia, Aarfal à goûté à sa première bière; il adore, mais il s'est aussi rendu compte que cela provoque des effets négatifs très rapidement sur lui.
Histoire
Aujourd'hui, on a repéré d'énormes traces d'Ours un peu partout dans le village. Comme le suggère la tradition des chasseurs de mon village, je devais prouver ma valeur. Je suis parti avec mon père à la chasse de cet animal aux grandes traces pour prouver ma valeur et me faire finalement reconnaître en tant que chasseur. nous suivirent les traces, sans aucun problème, pendant exactement 4 jours. À chaque nuit, ce fut la même chose, nous établissions notre campement et épuisèrent une portion des provisions, puis dormirent. À chaque fois. Je devais tout de même admettre que la chance était avec nous depuis le début, nous ne furent jamais attaqué. Les traces nous ont conduites jusqu'à une caverne aux plaques de schistes. Il pleuvait déjà depuis deux jours, quelle fut notre joie lorsque que nous découvrîmes que notre traque menait à sa fin. Nous rentrâmes lentement dans la grottes, en faisant attention de ne pas faire de bruits. La pluie faisait couler des légers coulis d'eau opaline se reflétant sur le schiste. Un grondement sourd attira notre attention. Se retournant, nous découvrîmes alors que l'ours se trouvait derrière nous, à l'entrée de la grotte. Il était énorme. On aurait pu dire que quelqu’un s'occupait de lisser et lustrer son poil, il était gracieux, beau. Par réflexe, je bandait aussitôt mon arc, avec une dextérité semblable à celle d'un chasseur ayant des dizaines d'années d'expérience, tel que m'avait appris mon père. Lentement, l'ours s'approchait, lentement, mon père préparais son couteau, sentant que l'ours ne tarderait pas à s'attaquer à nous, et lentement, je me préparais à infliger la mort grâce à cette flèche qui serais fatale et confirmera mes prouesses aux yeux des villageois. L'adrénaline empli mon corps, s'était la vigueur de la chasse, celle qui m'était donnée à chaque fois que j'étais sur le point de tuer une bête, celle qui annonçait que ma chasse n'avait pas été vaine... En un instant, la flèche glissa doucement sur mes doigts et fut projetée en un élan meurtrier. La flèche sifflant, elle se ficha en plein dans le bassin de la magnifique bête, qui était en train de rugir. Puis une deuxième flèche siffla, et se planta dans son épaule. Je regarda mon père, qui accourait déjà me féliciter. C'était fini. J'était maintenant un chasseur, et personne ne pouvait prétendre le contraire. Encore sous le choc, j'aida mon père à glisser la carcasse de l'ours sur son dos, et nous entamèrent le voyage du retour vers la mer, vers le bercail. Encore jubilant de ma victoire, après la grande chasse qui était mon rite de passage, je marchais, côte-à-côte avec mon père, l'ours sur le dos. Nous étions à la quatrième journée de marche, nous étions donc sur le point d'arriver au village côtier, qui était ma maison. <<Donc... tu crois que nous pourrons avoir quoi en échange de sa viande?>> Dis-je à mon père avec plein d'espoir. Nous n'avions pas échangé un seul mot depuis la mort de la bête. << Nous n'en sommes pas déjà là, préoccupe toi de ta victoire, et vis dans le moment. >> M'avait-il répondu. Mon père me répondait souvent avec des réponses énigmatiques de ce genre, même si je n'aimais pas ça, ce n'était pas une raison pour ne pas l'aimer, lui. En continuant de marcher, j'aperçu au loin des longues colonnes de fumée noire provenant de la direction de mon village. Normalement, un seul grand feu est allumé à la fois, et uniquement à la place centrale. De plus, c'était uniquement la nuit. Me tournant vers mon père, je réalise que lui aussi, avait vu la fumé émanant du village. Lâchant la bête, mon père et moi coururent jusqu'au village pour voir ce qui se passait. Arrivé au village, nous pouvions voir des gens calcinés, des maisons en ruines et l'air chaud reflétait une lueur rougeâtre sur ma peau. La moitié des villageois étaient à genoux devant une dizaine de Sigurites. Nous apercevant, ils coururent vers nous puis nous saisirent. Me débattant, ils m'attachèrent solidement avec mon père à un poteau d'une échoppe, comme avec les autres villageois. Nous pouvions comprendre certains des mots que les pilleurs échangeaient, mais pas assez pour comprendre leurs phrases. Néanmoins, j'ai cru comprendre, par dessus le bruit des flammes ravageant mon enfance, qu'ils parlaient de capturer des villageois. Paniquant, je cherchais un moyen de me libérer, tant dis que mon père semblait s'avoir résigné à mourir. Cherchant des yeux ma mère, j'aperçus une femme se faire traîner de force par une brute épaisse. C'était elle. Il la déposa à mes cotés et disparu au coins d'une autre maison en ruine. J'essayait de lui raconter ma victoire sur la bête, comme aurait fait un enfant avec sa découverte. Une idée me passa soudainement à l'esprit, comme si je venait de me réveiller ; aujourd'hui, j'atteignait mes 16 ans. Après la conversation entre les bandits qui aurait semblé durer une éternité, une de ces brutes commença à marcher vers nous avec une hache semblable à celle d'un bourreau. il empoigna ma mère, deux hommes et 3 autres femmes, les attachèrent ailleurs et les éliminèrent un à la fois. L'homme ayant compris que la femme sur le point de se faire exécuter était ma mère, il me regarda et cria << Voila ce qui arrive aux plus faibles! >> Et il s'en suivit d'un rire sadique, presque démoniaque. Mes yeux se remplissaient d'eau ; c'était trop pour moi. Mon village détruit et ma mère tuée devant moi. Je lui fit un dernier signe d'au revoir, déglutit, puis détourna mon regard pour ne pas voir ces atrocités. En pleurs, les Sigurites m'attachèrent avec le reste des villageois, maintenant réduits aux titres de prisonniers. Moi, qui me croyait désormais chasseur, n'était maintenant plus qu'un esclaves prisonnier de brutes dénudés de compassions. On m'amena a une ville à bord d'une charrette, avec les autres prisonniers, puis, rendu à un port, nous furent transportés dans un bateau nous menant à un endroit dont j'ai cru entendre le nom ; Fort Lointain.
Journal
9 Décembre 514
Aujourd'hui, j'ai enfin accompli mon rite de passage, je pourrai enfin me faire reconnaître en tant que chasseur. Moi et mon père entamons le chemin du retour dès maintenant.
13 Décembre 514
Cette journée fût la pire de ma vie. En rentrant au village, j'y ai découvert un groupe de pilleurs Sigurites mettant le feu à mon village natal. J'y ai aussi vu ma mère mourir. À partir de ce moment, je m'apprêtais à vivre une toute nouvelle vie. Sans doute une vie de misère, mais c'est quand même une vie. Toutefois, je ne me doutais pas que mon enlèvement et ma réduction au titre d'esclave me mènerait par la suite vers le Nouveau Monde, à Fort Lointain.
16 Décembre 514
Nous sommes enfin arrivés à destination. Après Fort Lointain, un autre bateau nous a conduits à Esperia. J'y ai été acheté, en tant qu'esclave, pour 50 pièces d'or. À partir de ce moment, j'ai vraiment compris l’ampleur de la situation, l’ampleur de ma liberté qui m'a été arrachée. J'appartenais désormais à la reine d'Esperia, Illina.
27 Décembre 514
Cette journée est, j'imagine, une journée historique et marquante pour les Esperiens. C'est cette journée que Illina, mon maître et aussi la reine d'Esperia a abdiquée à son poste de Reine d'Esperia. Le trône est désormais vacant et la panique semble avoir atteint les gens partout à Esperia.
