Utilisateur:Yokor
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RolePlay :
Sommaire
Description
Description physique : Mesurant 1m75, Yokor est plutôt imposant, durant sa jeunesse il était plutôt menu mais le combat et son métier le rendit musclé. Ses yeux et ses cheveux sont en harmonie, bruns.
Description morale : Il est ordonné et aime le travail bien fait, il fait dans les règles et respecte les personnes qui ont une certaine valeur à ses yeux. Il défend sa patrie et ses compatriotes. sympathique avec ses amis et sociable.
Aptitudes
-Calcul
Qualité
-Patient
-Attentif
-calme
-Patriote
Défauts
-Il sait lire mais avec du mal mais il sait écrire mais a une écriture qui n'est pas soignée
Intérêts culturels et goûts
Cercle Familiale
Malbjorn ,L’éleveur , Le Malb' c'est un ami et ma famille en même temps j'aime bien l'aider.
Daviel,Le Tribun De la famille même de son jeune âge , il est mature. je le respect lui et ses décisions
Saltan,Le Bon gars t'es un ami
Hisato ,Tu m'as l'air fiable et je t'aime bien t'es comme un ami
Eradan ,tu étais toujours là lors de mon esclavage , je te considère comme un grand frère , mais j'aime mieux t’appeler mon ami.
Evzen , T'es Drôle toi je t'aime bien l'ami
Intéressantes
Flore , une Charmante femme aux dires intéressants , j'aimerai en savoir plus sur elle.
Amis
Cain , t'es mon meilleur ami, mais dommage que l'on ne se voit plus très souvent j'aimerai plus te parler.
Philip tu ne fais plus parti de la famille mais tu reste un ami.
Jacek , l'Ethyliste , Tu me semble être un bon gars
Melkyor , tu t'es éloigné mais tu reviens petit a petit mais tu es toujours mon ami
Giulia , je pensais t'aimer mais je crois que nous ne sommes pas fait pour être en semble mais tu reste une amie
Connaissances
Histoire
Yokor est né dans les faubourgs d’Huratelon, il vivait avec ses parents, fils unique, son père était un verrier chevronné. Sa famille n’était pas très aisée, loin de là, mais bon comme disait son père « On fait avec ce que l’on a, et on s’en porte bien ! ». Le jeune Yokor était fasciné par les métiers de l’artisanat, il aimait beaucoup voyager d’ateliers en ateliers pour voir ce qui s’y trame. Mais ce qu’il aimait par-dessus tout, c’est la forge de son grand-père. Le « vieux Gromild », c’est ainsi que toute la populace l’appelait, il se faisait bien vieux, mais toujours debout pour porter le lourd marteau. Il faisait la fierté de la famille, ce n’était pas le meilleur des forgerons mais sa gentillesse faisait de lui une vedette. Il n’était pas très grand, et était devenu bien portant, il avait toutes sortes de brûlures sur ses bras, dû à son travail dans la forge. Yokor l’appréciait beaucoup, comme tout le monde, et il lui rendait donc visite aussi souvent qu’il pouvait, bien sûr, à son âge il ne pouvait qu’observer, mais ça lui suffisait largement pour y rester longtemps et contempler la couleur du métal en fusion, écouter le son pourtant assourdissant du martèlement régulier sur l’enclume et apprendre les différents matériaux nécessaires. Son père était fier, fier de voir que son fils va visiblement suivre la profession de son grand-père. La forge n’était pas très grande et pas si vieille que ça mais bon, le vieux Gromild en était fier. Yokor l’aidait comme il pouvait, en portant quelques petites commandes par exemple, ou en lui apportant ses outils à portée du jeune Yokor ou tout simplement tirer la chaise jusqu’au vieil homme pour qu’il puisse s’y reposer. Evidemment, il ne pouvait faire fonctionner la forge tout seul, c’est pourquoi un jeune homme d’une vingtaine d’années ayant appris tout cet art auprès de Gromild, l’aidait. Yokor l’aimait bien lui aussi, il lui donnait des cours de combat, enfin, pour son âge, avec une petite épée en bois, ses mouvements étaient bien sûr médiocres, mais bon, il se voyait déjà combattant ! Dès qu’il ait atteint ses 11 ans, il commençait à travailler plus sérieusement à la forge, et aidait de plus en plus le vieux Gromild qui en avait bien besoin. La famille savait pertinemment que le grand père n’allait plus pouvoir travailler longtemps, et lui aussi en était conscient. C’est pourquoi il organisa alors un petit repas de famille. Le vieux Gromild se leva pendant le festin et leur annonça qu’il ne se sentait plus capable de s’occuper de la forge, mais qu’il allait jusqu’à ce qu’il pouvait le faire, apprendre le métier au jeune garçon, Yokor. Il fut bien déterminé à apprendre le métier aussi bien qu’il le peut pour faire honneur à son grand-père. L’apprenti, se nommant Thornil commençait aussi à rendre l’entrainement au combat plus sérieux. Jusqu’à ses 16 ans, le vieux Gromild le guidait, lui apprenait, lui montrait les techniques de cet art. Malheureusement, le vieux Gromild ne pouvait même plus retourner à la forge, bien trop faible… L’apprenti, qui avait bien grandit lui aussi perpétua alors le travail du grand père, et lui apprend alors à son tour le métier tout en l’entrainant au combat. Il était bien déterminé, et ça lui apportait un bon maniement de l’épée. Arrivé à ses 24 ans, Yokor savait enfin bien manier le marteau de la forge ainsi que l’épée, son père était très fier de lui. Malheureusement le jour tristement attendu arriva, le grand-père était décédé. Toute la famille était en deuil, Yokor ne se rabaissait point, il avait compris que cela ne servait à rien de pleurer sa mort indéfiniment, beaucoup l’ont compris. Il décidait de faire connaitre la forge de son grand-père en allant chaque mercredi et samedi au marché du faubourg, il y avait beaucoup de monde et il s’y déroulait des ventes d’esclaves, c’était bien festif, et il aimait s’y rendre, petit à petit la forge se faisait un peu mieux connaitre, la qualité n’était pas incroyable, mais bien assez pour la populace locale. Il a même réussit à être le fournisseur de chaines pour esclaves pour plusieurs esclavagistes, étant donné qu’ils pullulaient dans la ville. Ça lui faisait une rentrée d’argent en plus, il en était bien content. Du côté de l’entrainement, il apprenait vite, Thornil en était même plutôt impressionné, ils arrivaient à faire des duels équitables, son arme favorite était l’épée à une main, légère, rapide, il en était bien content. Il a aussi appris à utiliser la lance, il ne la maniait pas aussi bien que l’épée, mais il en était fier aussi.
Une journée au marché du faubourg
Un mercredi matin, Yokor se rendit au marché avec sa charrette remplie d’outils divers et variés et autres babioles confectionnées par ses soins et ceux de Thornil ainsi que plusieurs planches. Quand il arrivait, il avait son petit emplacement qui lui était réservé, comme tout autre artisan. Comme à son habitude, il attrape les planches qui étaient faites pour se démonter et se remonter rapidement en tant que table pour exposer sa marchandise. Tout se faisait dans la bonne humeur, en sifflotant un air qu’il improvisait. Ce jour-là il n’y avait pas un magnifique soleil, loin de là, mais au moins il n’y avait pas de vents froids, donc c’était bien agréable. Tôt le matin, on ne voyait que les grands-mères qui venaient tôt pour ne pas avoir à faire avec la foule qui arrive quand les esclavagistes débarquent. Quand ils arrivent, c’est là que tout commence, on entend des joueurs de luths, toutes les discussions, les esclavagistes hurler leur marchandise, c’était bien festif. Yokor s’y plaisait bien, il y avait du monde, rencontrait des gens, discutait, étant sociable il était comme un poisson dans l’eau. Bien sûr, un marché comme celui-ci attire les convoitises, et il n’est pas rare que les voleurs passent par là. Ce jour-ci, la cible était une jeune fille d’une vingtaine d’années, vêtue d’un voile recouvrant ses cheveux, et d’une robe usée. Elle tenait dans ses mains une petite bourse qu’elle essayait de cacher. Mais le voleur, lui l’avait bien vu, malheureusement pour lui un autre regard se portait sur la scène, celui de Yokor, il s’avançait lentement, en direction de l’action, étant presque sûr que le voleur allait passer à l’action, il attrapa une petite boule de métal bien lourde servant à un jeu du coin, la cachant dans son dos. Le voleur se jeta sur la femme et n’eut pas de mal à prendre la bourse et part en courant, manque de pot pour lui, il passe juste à côté de Yokor. Dès qu’il était à côté de lui, il lui donna un rapide coup sur le crâne. Ce fut rapide, il s’est couché au sol, tout le monde s’est arrêté de parler autour de lui pendant un instant, puis tout est redevenu normal. Yokor regardait l’homme au sol, sans trop avoir compris ce qu’il s’était passé, hausse les épaules et va voir la jeune femme. Elle le remercia, il pensait peut être en tirer une aventure avec elle, mais il a préféré abandonner, elle était extrêmement laide. Alors qu’il regagnait ses marchandises, un garde l’intercepta, le regarda, et le remercia. Un autre garde arriva et prirent le voleur par les bras, le trainant on ne sait où. En fin de journée, il remballe, souriant de sa journée mouvementée. Il repart en direction de la forge pour y poser les invendus et poser l’argent.
Un départ bien mérité
Agé alors de ses 29 ans, comme à son habitude, une ou deux fois par semaine il se rendait dans une taverne avec Thornil. Ils prirent une table et commandèrent comme souvent un modry chacun avec une kohlente. Ils discutaient de tout et de rien. Dans la taverne, une ambiance bien à elle y régnait, il y avait beaucoup de bruit, des gens saouls, et surtout, ce qui faisait la distraction, c’était ce disque dessiné avec du sable sur le sol, où se déroulait des combats de lutte telonne. Yokor n’était pas très bon à ce sport, et n’y participait qu’à de très rares occasions. Mais après avoir descendu plusieurs bouteilles de modry, Yokor montrait son côté charmeur plus que jamais, encouragé par Thornil qui lui aussi n’était plus très net, il se rendit vers une serveuse plutôt jolie, et commence à lui faire des avances. Il fut stoppé net par un homme qui lui attrapa rapidement l’épaule le forcant à se tourner. Il le regarda et lui proposa avec beaucoup de vulgarité un combat, Yokor n’avait semblerait-il pas compris que cet homme avait l’air d’être le compagnon de la serveuse, enfin bon, il trouvait ça marrant, bouteille à la main, le suivit jusqu’au disque de sable. Ils se mirent en place, terminant sa bière, il la jette on ne sait où et atterrit d’ailleurs sur la tête de quelqu’un. Au bout de quelques secondes après que le combat ait débuté, Yokor, complètement saoul se retrouve au sol, assommé. Thronil tout aussi saoul, décida de venger son ami mais se fait rejeter encore plus violement. Ils furent trainés en dehors de la taverne, Yokor se réveilla quelques heures après, il se lève, et aperçoit la serveuse qui semblait rentrer chez elle, pas encore tout net, il décida de retenter sa chance en courant vers elle avec une démarche débile, elle prit peur et cria, son compagnon qui avait mis au sol Yokor arriva et n’a pas eu de mal à lui coller plusieurs coups. Il était complètement sonné, avec de belles blessures. Quand il se réveilla il se trouva trainé par deux hommes imposants avec comme personne qui les suivait, le lutteur de la taverne, il lui expliqua qu’il allait l’emmener chez un esclavagiste. Yokor n’a pu rester conscient que quelques minutes, on ne sait même pas si il avait compris ne serais ce qu’un seul mot de l’homme.
