Utilisateur:Frankstreid
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Frankstreid Reikhart
Frankstreid est un homme de 39 ans, il mesure 1 mètre 84 pour 76kg. Avec son activité quotidienne à la forge de la caserne, il sût garder une forme physique tout à fait respectable. Ce même travail lui valût d'ailleurs des épaisses mains caleuses et rugueuses, forgées par des nombreuses heures à manier le marteau, les pinces et le fourneau. Au niveau du faciès, la première chose que l'on peut voir se situe au niveau de son oeil droit, on ne pourra voir qu'un bandeau de cuir mat servant de cache-oeil la plupart du temps, mais à de rares moments on peut apercevoir un oeil blanc laiteux, fixant un même point dans le vide en face de lui. Si l'on s'attarde on remarque un nez à l'arrête fine, à la pointe plutôt épaisse se terminant en crochet léger, donnant sur une imposante moustache grisonnante dont il semble prendre grand soin. Moustache complétée par un bouc taillé maladroitement. Les traits de ses joues en permanence rasées sont droits, tirés et agrémentés de quelques rides. En remontant on croisera son autre oeil, d'un vert automne légèrement terne, surmonté de sourcils épais. Frank ne se coiffe pas, durant longtemps il rasa ses cheveux pour surmonter l'intense chaleur de la forge.
Frankstreid n'est pas énormément différent de la masse Hura, il est bon vivant, il apprécie bien manger et bien boire en bonne compagnie, son bonheur est fait avec une chope de bière blonde mousseuse et quelques beignets à l'oignon accompagnés de quelques navets aux vinaigres assis sur une chaise sur les murailles d'Anelbruck en compagnie des camarades de la garde, en regardant les champs en contrebas et en parlant du bon vieux temps au service dans la milice. Mais ce qui le différencie d'un Hura lambda, c'est l'affection qu'il porte à son métier, le considérant comme le seul et unique cadeau que son père a pu lui faire durant son enfance, il chérit les techniques et les oeuvres qu'il a pu tirer de l’enseignement de son père. Il garde avec lui depuis ses 14 ans une très grosse bague en fer, très lourde, sa première création en compagnie de son tuteur. Rien ne rend Frank plus heureux que la satisfaction d'avoir pu terminer un travail, et de l'avoir bien fait. L'homme ne recherche pas la puissance, il ne recherche pas à être immensément riche, ni bien vu de la société, il reste avant tout un simple artisan, vivant de bonne volonté et des étincelles du métal frappé sur son enclume. Néanmoins il reste quelqu'un de très renfermé aux autres cultures, et aura toujours de grandes difficultés à passer outre les préjugés et généralités que son esprit aura fait. Il est également très réticent au progrès et aux changements, en particulier dans son domaine la forge.