Utilisateur:Firo
Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.
Sommaire
Description Physique
1m82, 72 kg. Jeune homme de 21 ans, cheveux brun jusqu'aux épaules, yeux bleu clairs, bras un peu musclés. Une cicatrice à la main droite. Pas beaucoup de jugeote, de bon conseil, religieux du dimanche, fidèle à ses maîtres. N'a aucun ami, a du mal avec les filles/femmes. Parents Lig Occolidien mais élevé à Urroggia.
- Relations
Amour
Maëglyn Lisaida Underson-Calmacyl: Tu es ma petite princesse chasseresse, et je ne laisserais aucune tempête, aucune catastrophe nous séparer. Tu es à moi, je suis à toi, et ceci pour l'éternité
Amitié
Anya: Dame Anya a toujorus fait beaucoup pour moi... De ma tenue à mon emploi, elle m'a toujours été d'une grande aide. J'aimerais l'aider mais j'y arrive pas...
Nina Gwehl Araïos: "Mae l'appelle la dame dindon... vu tout ce qu'elle a fait pour ma chérie alors je peux le dire, merci dindon!"
Alice Underson Calmacyl Araïos:"Dans le fond je lui ai pas beaucoup parlé... mais Alicce est vraiment une chouette femme, après je connais pas trop ses talents de cuisinière... mais je pense que je les découvrirais bien assez tôt"
Aptitudes
Maître de maison: Cuisine depuis son plus jeune âge, est doué dans tous les domaines qui touchent de près ou de loin à la cuisine sauf dans la pâtisserie. Sait passer le balais.
Talents
De bon conseil, fidèle, une certaine idiotie qui le rend drôle
Défauts
Assez puéril pour son âge, mauvaise culture générale, mauvaise mémoire des noms/prénoms (de personnes comme de villes), peur de toute forme de violence
Intérêts culturels et goûts
Aime beaucoup la musique (mais ne sait pas en jouer) et la cuisine. Aime aussi beaucoup sa femme (:3)
Histoire
L’arrivée en Esperia, partie 1.
Firo se rendit au marché hebdomadaire pour faire le plein d’aliments, un banquet se tiendrait ce soir chez son maître, le riche marchand d’orfèvrerie : Alberto Gandor. Il prévoyait de cuisiner pour l’occasion des amuses bouches diverses à base de ce qu’il cuisine le mieux : le poisson. Les idées de recettes se bousculaient dans sa tête tandis qu’il se rendait à une échoppe tenue par un pêcheur qu’il connaissait bien. Firo arrive devant l’échoppe assez pressé :
- Bonjour Juliano, j’ai une grosse commande à passer !
- B’jour Firo, dis-moi tout, de quoi t’as besoin petiot ?
- Alors j’aurais besoin de sept loups, quatre beaux saumons, deux kilos de sardines… dit-il précipitamment.
- Du calme, du calme voyons ! Pourquoi une commande aussi conséquente ? c’ Gandor reçoit le roi d’Esperia ou quoi ? dit-il sur un ton moqueur.
- Non juste un banquet. Le pêcheur semblait l’ignorer, il était occupé à préparer le poisson. Après quelques minutes de patience, il revint avec la commande.
- Eh voilà petiot, du frais de c’ matin !
- Merci Juliano, au revoir.
Firo partit aussi pressé que quand il était venu, il avait avec lui deux autres domestiques qui l’aidaient à porter la conséquente commande qui découlait de ce banquet ; des légumes, diverses plantes, du poisson, du miel… on aurait pu croire qu’il avait écumé tout le marché ! Il se mit au pas de courses pour rentrer à la résidence de son maître, le soleil était mi levé, et déjà le jeune cuisinier de dix-sept ans semblait manquer de temps. Mais quelque chose d'autre taraudait l'esprit de Frio, Alberto lui avait dit qu'une cuisinière légèrement plus vieille que lui viendrait l'aider pour les desserts; à la base Firo trouvait cela intentionné de la part de son maître qui connaissait ses faiblesses en pâtisserie, ce qui le gênait d'avantage par contre c'était le fait qu'un étranger, qui plus est une femme, vienne dans sa cuisine. Il n'avait jamais eu une très haute estime des femmes: petit, les femmes (esclaves) qui s'occupaient de lui -sa mère étant morte et son père aux galères- ne l'avaient jamais traité avec beaucoup de gentillesse; ce simple fait a fait descendre l'image des femmes au plus bas dans son esprit. Perdu dans ses pensées, il revint à lui quand il aperçut la villa des Gandor, il dit signe aux deux autres esclaves accélérait le pas et arriva rapidement dans les cuisines.
L'arrivée en Esperia, partie 2.
Arrivant au pas de courses dans les cuisines, Firo se mit presque immédiatement à sa tâche. Secondé par deux autres esclaves chargés de l’assisté dans ses travaux quotidiens, il entama la préparation du repas. Il avait beau avoir acheté beaucoup d’ingrédients, Firo ne savait pas vraiment quoi faire, un incalculable nombre d’idées de recettes lui passaient par la tête.
Après cinq minutes de réflexions il s’attela à sa tâche avec tout en tête. Il se mit dans un premier temps à écailler les poissons pendant que ses assistants coupaient les légumes en dés, pour les faire cuire dans une marmite et ensuite les dressés avec le reste des aliments. Firo –bien que disposant de plus de huit heures devant lui- ne pouvait s’empêcher d’être inquiet, le banquet devrait permettre à son maître d’obtenir un contrat des plus importants ; et il avait beau être traité comme un esclave par son maître, (c’était logique, vu qu’il était esclave depuis sa naissance) il ne pouvait s’empêcher de lui rester fidèle en toute circonstance, comme si le principe de soulèvement lui était étranger. Le jeune homme était consciencieux dans son travail de manière générale, après avoir écaillé, dé-salé et découpé le poisson (en l’occurrence un des quatre saumons), il prit un filet et le découpât en fine lanières. Il prévoyait de faire des tranches de pains légèrement grillés (en les passant au-dessus d’un feu), puis d’y disposer le saumon avec des lamelles de concombres et une sauce à base de fromage blanc ; une amuse-bouche parfaite selon lui. Près d’une heure après que tout le monde se soit mis au travail arrivât une jeune femme de presque vingt-trois ans entra dans la cuisine, elle avait apparemment pour ordre de préparer les desserts. Firo surprit de cette intrusion aussi rapide, il lui posât des question puis la fit mettre sèchement au travail. Il n’avait jamais eu beaucoup de talents quand il s’agissait de parler à la gente féminine, ce qui faisait de lui un jeune homme assez rustre.
Le travail battait son plein, Firo et ses assistants avaient confectionner plus de la moitié du repas vers 14 heures (ils ne s'étaient pas arrêtés pour manger); la jeune femme, qui se dénommait apparemment Marina, travaillait en silence. C'était une jeune femme de taille moyenne et un peu ronde, relativement calme, elle ne faisait pas plus de bruit qu'une souris. Firo, bien que plongé dans ses recettes, donnait des coup d’œils rapides au travail de Marina, il se trouvait qu'elle confectionnait une sorte de très grand gâteaux à plusieurs couches nappé de miel; si le caractère de Firo était moins misogyne il lui aurait demandait la recettes de cette pâtisserie d'apparence succulente, mais il se contentait juste de simple "oui" ou encore "ça va, pas trop mal...".
Après une journée de dur labeur dans la cuisine, Firo sortit finalement et se fit attrapé par deux gardes qui l’emmenèrent de force dans les appartement privé d’Alberto Gandor.
L'arrivée en Esperia, partie 3.
Après avoir été conduit violemment dans les appartements privés de son maître, Firo restait dans une incompréhension quasi-totale, pourquoi son maître l’avait fait venir ayant conscience de son importante travail ? Alberto Gandor se tenait juste derrière la porte, l’air grand et sévère ; Firo en entrant pria intérieurement Arbitrio pour que sa punition ne soit pas extrême, et surtout pour qu’on le mette au courant de ce qu’il avait fait de mal. Quand il arrivât devant son maître Firo mit un genoux à terre de manière assez solennelle :
- M… Maîtres Gandor, vous m’avez fait de…demander ? dit-il la voix tremblante. Alberto avait l’air remonté et l’attrapa par le col de sa tunique miteuse.
- Comment as-tu osé approché de ma fille mécréant ?! cria-t-il d’une voix sévère, comment as-tu pu séduire ma fille, misérable chien ! il le jeta violemment au sol
Firo ne comprenait pas, il n’avait rien fait et voulait des explications, mais il se doutait que de faire l’ignorant n’arrangerait pas les choses. Mais il tenta tout de même sa chance.
- Maître je ne sais pas de quoi vous parlez, je n’ai pas approché Julia, je n’ai jamais pu que la regarder.
- Mensonges, foutaises ! Cesse de raconter des couleuvres et admets ce que tu as fait, Cortesao m’a tout raconté !
Ce nom éclaircit les pensées de Firo, Cortesao était l’ainé de la fratrie Gandor, son père lui apportait une attention toute particulière et le croyait sur tous les plans ; ce qui faisait d’Alberto Gandor une cible facile pour son fils. Et c’est justement cette confiance aveugle qu’avait utilisait Cortesao contre Firo. Le jeune Gandor n’avait jamais apprécié l’esclave, petit il était le sujet de ses moqueries, puis avec l’âge il était souvent réprimander pour des choses qu’il n’avait pas faites. Et ce fut l’ultime coup que Cortesao porta à Firo par le biais de ce mensonge, car Cortesao savait que Julia –sa sœur- avait également une certaine attention de son père quand il s’agissait des hommes qu’elle voyait.
Firo tenta de protester pendant près d’un quart d’heure, en vain… Au bout d’un moment Alberto se calma et dit :
- Ecoute Firo, je vais te laisser une dernière chance, si le dîner de ce soir est réussi, je te vendrais à un esclavagiste qui partira pour Esperia, dans le cas contraire je te ferais exécuté. Firo, bien que peu éduqué était assez intelligent et savait qu’il n’aurait pas de meilleures offres, il accepta donc et attendit anxieux le lendemain matin. Le lendemain matin à la première heure, deux gardes se présentèrent dans la cuisine –où Firo s’était endormi-, derrière eux, il y avait Alberto et un autre homme. Le maître s’avança sans réelle expression sur le visage.
- Firo, le repas d’hier soir était délicieux. Ses mots paraissaient soulagés Firo à un point inimaginable. Voici un esclavagiste qui part après-demain pour Esperia, maintenant c’est lui ton nouveaux maî…
Sans avoir le temps de finir sa phrase les deux gardes (visiblement au service de l’esclavagiste) s’emparèrent de Firo, le menottèrent et l’emmenèrent. Firo ne put rien dire, il regarda juste nostalgiquement la villa qui s’éloignait de la calèche qui le transportait, en pensant à toutes son enfances passée dans ce lieux, ce lieux qui l’a vu grandir, perfectionner ses talents… Cette douce prison où il était maltraité mais où il se sentait chez lui. Mainteant Firo n’avait plus qu’une chose en tête, ce qui allait l’attendre sur Esperia. Cela ne manquait pas de l’inquiéter au plus haut point. Finalement arrivé au port, on le mit dans une cellules avec d’autres esclaves, Firo ne pouvait plus qu’attendre que son destin.
Débarquement à Esperia, la fuite par l’inattention.
Embarqué dans le bateau, Firo dormit une bonne partie du trajet; durant ses rares réveils, il ne faisait que rêvasser en pensant à son ancienne "prison". Trois jours plus tard, quand le bateau arriva à bon port, Firo dormait mais étrangement personne ne le réveilla (il avait réussi à se faire assez discret pour que même les esclavagistes ne puissent le remarquer). Il se réveilla précipitamment, alors qu'une mouche lui était entré dans la bouche, et ne vit plus personne. Il sortit du bateau en vitesse mais ne trouva personne. Firo commençait à s'affoler, il chercha longtemps puis réussi à trouver la place central. Là-bas il fut arrêté par une vieille dame qui le croyait en fuite. Il fut par la suite donné aux Skÿrn, à Scipio plus exactement
Un enfermement injustifié
Le lendemain de son arrivée au continent, Firo se promenait dehors quand il vit un homme, un certains Faënor (bâtard). Après une discussion au cours de laquelle Firo lui expliqua qui était ses maîtres, l'homme l'emmena dans une forêt. Ils traversèrent cette étendue forestière jusqu'à arriver à une sorte de forteresse détruite, Firo fut assez intrigué. Quand il s'avança à la porte de la forteresse, l'homme lui dit d'entrer, bêtement, Firo obéit. Dès qu'il fut à l'intérieur, on ordonna de refermer les portes. Firo demanda à sortir mais on lui interdit, c'est alors qu'il sut où il était: c'était le bagne.
La vie à Esperia
Après sa libération du camp, les choses sont allées très vite pour Firo, de son premier travail chez les Beaunogurr, sa rencontre avec Maëglyn... Tout est allé très vite pour lui.
Nous nous retrouvons donc aujourd'hui: Firo a maintenant un chez lui, une belle femme qui porte son enfant, un emploi stable à la Taverne du Lac... et une perte de mémoire, une jambe francturée et un gros coup sur la tête.