Famille dans le culte d’Arbitrio
La famille étant l'un des éléments fondamentaux de la société humaine, le culte d'Arbitrio se positionne sur le sujet.
Sommaire
Doctrine religieuse et réalité
La famille étant l'un des contextes les plus personnels possibles, la situation familiale est principalement modelée par les personnalités de ses membres et le contexte. La religion fait partie de ce contexte et influe sur la façon dont fonctionne une famille. La doctrine religieuse ne peut ainsi totalement définir les rapports familiaux que si ses membres adultes sont totalement soumis à la tradition religieuse.
Familles esperiennes et “famille”
La doctrine religieuse d'une famille s'adresse à une famille de sang au sens traditionnel du terme. Les familles esperiennes ne sont donc pas envisagées sur ce modèle même si la religion peut les influencer s’ils identifient leur famille ainsi.
Monachisme
Le monachisme considère la famille comme sacrée et comme l'ensemble humain le plus fondamental. A leur sens, tout doit être fait pour que la famille soit préservée et l'Adaar ne peut être accompli sans familles. La querelle au sein d'une famille est considérée comme l'un des plus grands dangers pour un croyant.
Le monachisme considère que chaque individu a le rôle sacré de contribuer au bien-être, au bon-arbitrage et à la cohésion de sa famille. L'amour, l'affection, la compassion et l'empathie doivent guider chaque action au sein de la famille et la famille est communément responsable de leur foi, notamment au travers de l'activité religieuse de l'autel familial.
Modèle familial
Le monachisme considère que chacun doit contribuer au sein de la famille et que celle-ci n'est pas juste le produit de la génération antérieure. Les adultes ont ainsi responsabilité d'éduquer et guider les enfants mais ne doivent pas les écraser ou les traiter comme des esclaves.
Esclaves et animaux de compagnie
Les esclaves et animaux de compagnie appartenant directement à la famille sont généralement considérés comme en faisant partie mais tout en restant distincts. Ils doivent contribuer et peuvent recevoir affection et attention mais jamais au détriment des véritables membres de la famille.
Phalangisme
Le phalangisme voit principalement la famille comme une micro-société avec sa propre hiérarchie. Au sommet se trouve le couple des parents dont l’un des deux se voit confier l’autorité morale de la famille à travers un artefact d’ascendance. Ensuite viennent les grands-parents âgés, puis les frères et sœurs des parents encore célibataires et enfin les enfants. Les parents doivent guider la famille vers la justesse et la vertu, la protéger ainsi que pourvoir à ses besoins. Les grands-parents, quant à eux, sont considérés comme ayant accompli leur rôle et ayant transmis leur savoir au couple parental. Ils peuvent continuer à offrir de la sagesse et du savoir. Tous ont cependant au sein de la famille le devoir vital de les soulager des douleurs de l'âge et d'œuvrer à leur confort. Les frères et sœurs célibataires et vivant avec leur famille ont un rôle jugé honorable d'aides. Ainsi, ils sont supposés aider à la protection de la famille, contribuer à leur richesse et la servir. Les enfants, quant à eux, doivent être en totale obéissance et apprentissage de leurs aînés.
Esclaves et animaux de compagnie
Les esclaves et animaux de compagnie ont un rôle de service et d'obéissance mais peuvent être considérés comme faisant partie de la famille. Leur rôle dépend entièrement de la définition donnée par le couple parental. Ainsi, un esclave peut avoir autorité sur les enfants ou leur être soumis selon les choix du moment du couple parental.