Utilisateur:Ferwynn

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Ferwyn Glidd

Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de la famille



Rang Politique
Ouvrier et marchand de fruits pour le peuple




Métier
Métier










Origines
Ville d'origine
Nation d'origine

Informations HRP
Login Minecraft
Layle07
Pseudo
Ferwynn
Prénom IRL
Étienne Fleury
Âge IRL
17 ans












Description

Ferwyn est un homme relativement petit, soit 1m65, quoi qu’il est trapu. Il est large, mais donne l’apparence d’un petit soldat parfait, le dos droit. Il pèse 70 kilos, soit 155 livres.

Il a de longs cheveux roux en bataille qu’il attache lors de son travail ainsi qu’une barbe fournie avec des trous qu’il porte fièrement. Il a une lèvre souvent fendue ainsi que plusieurs petites cicatrices sur ses sourcils et sur son nez. D’ailleurs, ce dernier est crochu, dû aux nombreuses batailles qui lui auront laissés de désagréables séquelles. Il possède un très large cou, qui permet à peine de faire la transition entre ses épaules et sa tête.

Il possède de larges épaule mais un mince ventre, musclé, qui rend ses mesures et sa carrure étrange lorsqu’il porte une chemise ou encore un vêtement serré. Il a de grosses mains et les doigts de ces derniers sont très épais, ce qui rend le travail manuel facile pour lui.

Pour ses jambes, il est aisé de dire que le gras a trouvé son bonheur dans ces dernières. Il a de fortes fesses, de fortes cuisses et des mollets d’acier. Néanmoins, l’allure et l’épaisseur de ces dernières rendent parfois la course difficile. Il a d’énormes pieds qui font passer le reste de son corps pour celui d’une souris. La course est pénible pour lui.

Choix

Métier: Ouvrier. Quand Ferwyn était plus jeune, il servait d’homme à tout faire pour ses parents. Il allait couper et chercher du bois, alors qu’une journée il devait transporter de lourds objets pour les ramener au ménage familiale. Cela aura amené Ferwyn à être costaud pour son jeune âge.

Art/Connaissance: Animation. L’argent que Ferwyn gagnait lorsqu’il habitait avec son oncle, il le faisait “honnêtement”, soit en faisant des jeux d’argents dans les tavernes de sa région. Cela lui aura appris à animer une taverne et à rendre les jeux amusants, au points que les compétiteurs en redemandait, bien qu’ils perdaient souvent.

Compléments: 1: Combat tier 1 (mains nue : Amateur). Ferwyn, fin stratège pour ce qui était des paris et des jeux de monnaies, revenait souvent chez lui avec l’argent de ses victoires. Dans les tavernes, lorsqu’il gagnait beaucoup trop, il pouvait arriver que certains ne soit pas content avec la tournure du match et en venaient au poing. Ferwyn s’est spécialisé dans le combat à mains nues, il sait utiliser des bouteilles, des chaises ou autres objets pour tourner la situation en sa faveur, le tout, dans l’improvisation.

2: Langues (Hura). Quand Ferwyn a été rejoindre son oncle à Odense, il aura vécu avec lui pendant quelques années. Iovik aura eu le temps d’apprendre à Ferwyn la langue locale, dont les rudiments de l’écriture, de la lecture, et à compter. (Ferwyn est loin d’être un expert en la matière)

Talents

Joviale

Aventurier

Amicale

Acceuillant

Compréhensif

Opportuniste

Robuste

Défauts

Colérique

Parle très mal

Lent d'esprit (Stupide)

Maladroit

Impulsif

Psycologie

Ferwyn est homme qui vit d’un seul crédo: La justice. Pour lui et pour les autres. Il avait honte de ses parents, il n’avait jamais été en accord avec leurs agissements. Lui, était un homme droit, qui faisait tout dans la justice et l’équité. Si il vous avait battu aux cartes, il vous respectait néanmoins et ne vous prenait pas de haut. Au contraire, si vous le battiez, il vous donnait votre dû avec le sourire et vous serrait la mains en guise de victoire. Si vous aviez décidé d’en finir aux poings avec lui, une fois vous avoir mit au tapis, il vous tendait la main pour vous aider à vous relever, la bagarre étant selon lui la conséquence naturelle de sa victoire aux jeux.

En dehors de ses allures de bête sauvage, il a un coeur tendre et serait prêt à vous parler de sa vie et d’en apprendre sur vous pendant des heures. On le connaissait surtout pour ses histoires rocambolesques et ses aventures tumultueuses avec les femmes, de l’époque où il courait les jupons. Avec ou sans alcool, chaque soirée avec lui était divertissante.

Dans la rue, si vous le croisez, il vous considérera comme un ami. Les seuls ennemis qu’il a sont ceux qui en veulent à sa vie. C’est un homme de pardon et d’amour. Ses conquêtes amoureuses sont nombreuses: c’est une homme de fête. Il organisait souvent des amuseries dans les rues et les tavernes de sa ville. Ces soirées étaient souvent imbibés d’alcool et finissaient souvent par la laboration d’une jolie demoiselle qui aura tombé sous ses charmes d’homme confiant.

Néanmoins c’est un homme solitaire, la plupart du temps. Le seul véritable ami qu’il aura eu aura été son oncle Iovik, avec qui il entretient une relation saine et ses compagnons de fêtes, qui étaient saouls la majorité du temps.

C’est un homme impulsif, dans ses actions. Si il voit un pauvre homme sans défense se faire attaquer dans la rue, il accourt à son secours, car ce n’est pas juste, le combat n’est pas équitable. Il le fera sans hésiter. Il servira de béquille à la personne dans le besoin. Il va s’assurer que le combat soit juste, pour les deux bords. Ce qui veut dire que si son opposant ne possède pas d’arme, il ne vas pas en utiliser non plus. Si son adversaire est faiblard, il va retenir ses coups.

Dans ses pensées, il a parfois de la misère à réfléchir adéquatement. Il soupçonne qu’il a un retard cérébral dû aux nombreux coups qu’il a reçu. Pour les problèmes complexes, il possède des lacunes et des lenteurs. Il faut parfois lui expliquer une situation plusieurs fois pour qu’il en comprenne le but véritable. Également, il a des trous de mémoires, il arrive à peine à se souvenir de sa vie avant d’être partis rejoindre son oncle, Iovik. Ce dernier lui a donc appris à écrire, et il tient un petit journal qui résume ses journées brièvement en plus de contenir les minces souvenirs qu’il lui reste de son enfance. Il tient un compte précis de l’argent qu’il possède, au cas où quelqu’un abuserait de ses finances.

Histoire

Chonologie: 499: Naissance de Ferwyn. Ses parents sont des voleurs et réussissent à donner à Ferwyn une vie relativement agréable. Il est née dans une petit cabane, non-loin de la taverne que ses parents visitent souvent. Après avoir donné naissance à Ferwyn, son père, Angléon, est retourné fêter dans la taverne et laissait sa femme aux soins des autorités médical du coin.

499 à 504: La petite enfance de Ferwyn n’aura pas été très mouvementée. en effet, il ne parlait pas beaucoup à ses parents et ces derniers n’étaient pas très présent non plus. En effet, ils partaient tard le soir et revenaient au petit mâtin, là où ils dormaient pendant tout l’avant midi. Par la suite, ils allaient boire dans une petite taverne du coin pendant plusieurs heures avant de revenir à la maison quelque moments, le temps qu’ils se préparent pour partir “travailler”. Ce petit manège se répétait tout le temps.

Ferwyn n’avait pas grands chose pour se divertir en intérieur. Il s’imaginait parfois des courses entre les fourmis qui se trouvaient au sol ou encore, il écrasait ces dernières. Se lassant rapidement de l’intérieur, il désobéissait à ses parents et sortait grimper dans l’arbre qui était à côté de chez-eux. Il regardait le monde de haut et se disait qu’il partirait le visiter un jour.

Quant à la nourriture, il était nourris quand ses parents y pensaient. Sans cela, il passait plusieurs heures à se demander le goût qu’avaient ces fourmis, qu’il écrasait sans bonne raison, affamé.

504 à 509: Ferwyn, devenant de plus en plus grand, vit se faire demander, quelque fois, de venir travailler avec ses parents tard le soir. Son travail consistait à les suivres, tenir un grands sac ouvert pendant que ses parents mettait de l’or ou de l’argent prit sur des passants ou encore des objets précieux, après qu’ils aient rentrés dans une maison.

Lorsque ce n’était pas pour ces soirées de cambriolage, c’était des demandes pour aller couper du bois ou encore chercher des vivres au marché du coin. On lui donnait quelques pièces et il devait revenir au ménage avec le plus d’aliments et de vivres qu’il pouvait. il a donc appris à négocier, lui donnant certaines capacités de marchandage. Également, à force de transporter des sacs emplit de patates et de couper d’épaisses bûches, son physique se développait et son quotidien devint de plus en plus facile.

Parfois, aussi, il devait aller dans la ville voisine pour parler à leur “contact”, afin qu’il leurs donne leur “recettes” des dernières semaines. Ferwyn ne comprenait pas tout, mais obéissait, pensant que c’était un jeu. Leur contact étaient des écumeurs, qui donnaient les revenus hebdomadaire aux parents de Ferwyn. Ce dernier revenait alors avec une bourse à la maison. À partir de cet âge, Ferwyn commençait à gagner sa part du lot.

Aller en ville n’était plus une tâche et un défi, c’était un passe-temps. Il s’arrêtait parfois pour parler avec certains passants, ils passaient plusieurs minutes à parler de la météo ou encore des dernières rumeurs du coin. Il était très sociable Il revient, tard le soir, avec plein de vivres, des bûches ou encore de la pierre, un travail honnête selon lui, contrairement aux yeux ébahis de ses parents, qui lui octroyait une bonne tape sur le dos, suivi d’un: “bien joué, Ferwyn”. Ils n’allaient pas cracher sur de l’or gratuit. Il se taillait tranquillement une solide réputation d’ouvrier à tout faire et cherchait le moindre travail afin de se divertir.

Les travaux manuels n’étant plus une difficulté pour lui, ce qui restait était la discussion, l’échange et les jeu avec ses compères de chantiers. Il revenait de plus en plus tard, mais de plus en plus riche, au grand désarroi de ses parents.

510: Ferwyn allait au marché, comme tout le jours et fit la rencontre d’un artisan iconodoule, qui se promenait. Intrigué par l’habit particulier de l’homme, il commença à discuter avec lui. Ce dernier a éveillé sa curiosité, lorsqu’il commençait à parler du culte des images. Yoan, l’artisan, invitait alors Ferwyn chez lui, là où ils passaient la journée à discuter des préceptes religieux des différents talismans et magenetas. Yoan lui en fabriqua même un à lui seul, à l’effigie de son mageneta préféré: Bans.

Le quotidien de Ferwyn changeait légèrement depuis. Il se levait le matin, allait en ville ou allait couper du bois, faisait les tâches qu’on lui avait assignée, allait travailler en tant que ouvrier et, à la fin de sa journée, allait chez Yoan pour prier ou encore discuter. Il restait parfois coucher chez Yoan.

Également, il voyait le monde d’un autre oeil. Littéralement comme fictivement. Lorsqu’il était sur le sommet de l’arbre qu’il grimpait avec de plus en plus d’aisance, il regardait encore ce monde, mais le voyait plus sale qu’avant. Il voulait maintenant l’explorer pour mieu le nettoyer de ses injustices.

Parfois, lorsque ses parents buvaient à outrance, ils mentionnaient un ancien frère de son père Andréon: un frère qui se serait éduqué et vivrait une vie de principe. Cet homme lui fit germer quelques espoirs d’aventures et d’autres idéaux.

513: Ferwyn, à 14 ans, fait un serment envers Bans, la divinité représentant la justice. Ce fut un petit rituel en compagnie de Yoan, qui ne pouvait être plus fier de son nouvel adepte.

Le quotidien de Ferwyn changeait maintenant. Il n’aidait plus ses parents avec les vols ou les crimes, il les dénonçait. Il faisait son travail d’ouvrier pendant les heures convenu, et, par la suite, se promenait dans les rues pour voir si quelqu’un vivait une injustice. Il se voyait comme un héro, comme un justicier.

Parfois il voyait des personnes vivant des injustices, des agressions, et il fonçait pour aider le plus faible des deux. À cet époque, il n’a jamais gagné de combats, mais il n’en a jamais fuit non plus.

514: Le quotidien et l’avenir de Ferwyn semble prometteur. Un bon revenu, de bonnes relations et une cause qui l’anime. Mais ce n’est pas comme cela que ses parents voient la situation. Leur fils, la chair de leur chair, a plus de succès qu'eux.

Ils commencent donc à taxer Ferwyn, pour qu’il leur donne une part de leur revenus. Ce dernier refuse, et il finit par accepter après une bonne dose de coups. Ce petit manège continua pendant de nombreux mois.

Ferwyn met alors en place un plan à long terme, il veut partir.

515: Ferwyn met son plan à exécution. Il se paye une place comme passager clandestins et matelot dans une embarcation en direction de la Grande Huratelon, là où les rumeurs disent que son oncle se trouve. Il dort sur le sol, dans la cale en compagnie des rats et des fourmis, mais préfère cette vie à celle aux côtés de ses parents.

517: Ferwyn arrive à la Grande Huratelon. Il va de taverne en taverne pour trouver des informations sur son oncle. Avec la petite fortune qu’il s’était fait en étant ouvrier sur terre et sur navire, il put se trouver logis dans des granges un peu partout où chez l’habitant, heureux d'accueillir les voyageurs d’autre part. Toujours, Ferwyn se garda de parler de ses origines, connaissant l’opinion des Huras à ce propos.

Il récolte des informations, il découvre certains croquis des oeuvres de son oncle en chemin, personnage s’étant fait un certain nom dans ce pays. Il se rapproche de plus en plus de son objectif. De fil en aiguille, il retrace le parcours de Iovik dans certaines tavernes et son chemin l’amène à Odense, où les passants et les colporteurs parle d’un certain Iovik Glidd, architecte renommé de la ville qui porterait le même nom que lui.

Une fois à Odense, Ferwyn retrouve le cabinet d’architecte de son oncle. Les retrouvailles, voir rencontre, furent un peu ambigu pour le prodige. Après discussion et argumentation, Iovik acceptait de prendre sous son toit Ferwyn, ce dernier l’ayant convaincu qu’il ne serait pas un fardeau et qu’il apporterait son propre revenu au ménage.

Rapidement, il se trouvait un boulot d’ouvrier, travaillant sur les plans que son oncle concevait. Dans ses temps libres, Ferwyn passait un peu de temps dans les tavernes, où il commençait à faire des jeux d’argents.

519: La vie de Ferwyn est florissante. Il possède une relation saine avec son oncle, qui lui aura appris à lire et à écrire au minimum, en plus de lui avoir appris à parler de manière fluide la langue Hura.

Ferwyn, en dehors de son travail d’ouvrier au service de Iovik, passe quelques heures par jours dans les tavernes, où il se découvre un certain talent dans l’animation et l’organisation de jeux d’argents, auxquels il participait ardemment.

Une part de l’argent qu’il recevait de la compagnie de son oncle, il la mettait de côté et l’autre part allait dans les jeux d’argents, desquels Ferwyn ressortait souvent gagnant. Il obtenait la réputation de “grand joueur” et savait attiser le regard des jeunes demoiselles. Ce fût une période de grande conquête pour le jeune homme.

Dans cette période, il se détachait un peu de la religion, mais gardait un fort attachement à Bans. Il portait encore la talisman à son cou et ne reculait devant rien pour faire régner du mieu qu’il pouvait la justice dans son quotidien d’ouvrier et de joueur. Il était un parieur honnête et jouait sans jamais tricher et acceptait la défaite quand elle le frappait.

En parlant de coup, Ferwyn devint un fin bagarreur. En effet, lors de ses escapades nocturnes dans les bars de la ville, il attisait souvent les regards noirs de ses adversaires qui en finissait souvent au poings lorsqu’ils perdaient pour la cinquième fois en une soirée. Ferwyn aura donc appris à user de son environnement pour gagner un combat. Il usait de bouteilles, de chaises et parfois même des chandeliers pour gagner une bagarre. Lorsqu’il était dans un endroit avec plusieurs objets à sa disposition, il avait l’avantage.

Malgré cette aisance au combat dans un environnement intérieur, il est relativement prit au dépourvu lorsqu’il n’a aucuns objets à sa portée. Il connaît quelques tactiques de combats, tels que reculer au bon moment et quand ne pas attaquer, mais n’est pas très habile de ses poings pour attaquer. Sa carrure de brute a comme utilité de lui servir de bouclier en quelque sorte, car il n’a pas le visage, ni l’allure d’un homme faible.

Quant à sa relation avec son oncle, c’était une joie. Il se sentait accepté par lui et ils avaient de longues et captivantes discussions concernant le monde, la religion et leur vies. Lorsqu’il retournait chez lui, il était heureux car il pouvait discuter avec un bon ami et avoir une conversation intelligente.

Pour la première fois, il avait vraiment l’impression d’avoir une famille.

Un bon soir, lorsqu’il gagnait contre un barbu dans une taverne aux cartes comme aux poings, il se fit appréhender dans une ruelle, sur le chemin du retour. Ferwyn essayait de calmer la situation en proposant de redonner ce qu’il avait perdu mais le grand homme ne voulut rien savoir. Ferwyn, désavantagé par l’environnement, se fit mettre au tapis en ni une ni deux. Il ouvrit les yeux et était en une cage, sur ce qui semblait être un bateau, en direction d’une terre inconnu, supposant qu’il avait été enlevé.

520: Arrivée à Esperia.


Récit libre: