Utilisateur:Dionis ermessind

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang








Métier
Métier










Origines
Ville d'origine
Région d'origine

Informations HRP
Login Minecraft
Kisuko
Pseudo
Dionis Ermessind





Description

Portrait de Dionis


Traits physiques :

Mesurant respectivement une taille d'un 1m62 pour un poids de 88 kilos, le Caroggian est doté d'une carrure plutôt respectable. Le travail lui aura principalement permis de dessiner ses muscles au fil de ses années, lui donnant une apparence plutôt robuste. Venant d'une famille issue de la bourgeoisie, l'homme ne souffre d'aucun manque d'alimentation tout en prêtant attention à son hygiène, jusqu'à la mise en esclavage de sa personne. Il n'adopte aucune posture de marche particulière, sauf peut-être lorsqu'il travaille. Dionis ne dégage aucune hostilité et est même plutôt avenant. Il a un visage rond avec des cheveux courts châtains sans coiffure particulière. Ses yeux enfoncés noisette ornent le haut de son visage et brillent d'une certaine vivacité pour continuer sur un nez allongé et une bouche plus large qu'étroite.

Une "aura" de confiance se dégage habituellement du jeune homme, de par son apparence et de son contact facile. Toujours souriant, c'est le genre de personne à saluer ses voisins, s'approcher des autres pour autant que ca lui est permis, ... Sa posture et son expression faciale changent toutefois lors de certaines situations ou événements "importants" pour le personnage.

Possesions du personnage

Dionis ne possède aucun bien matériel pour l'instant, que ce soit des objets ou encore des propriétés.

Relations

Personnages d'ailleurs

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Personnages sur Esperia

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La femme aux cheveux de Jais : J'arrive pas à croire, à...concevoir que tu sois ici, en tant qu'esclave, sur Esperia.. Le moindre que je puise penser, c'est que tu es loin de m'avoir oublié... Je n'oublierais jamais cette histoire avec toi près du Signaro. Jamais je ne te laisserais mourrir.

La femme aux yeux verts pomme : Tu m'as servi de guide touristique et t'as l'air assez soumise face à la noblesse. Surement à cause du fait que tu sois esclave..

Le grand homme de Rivelame : Lanson, le grand intendant de Rivelame. Tu m'emmerdes avec mon nom et tu viens me parler d'humour ? Je saurais me souvenir de ta...générosité à mon égard. Tu affiches un caractère distant avec moi, prenant la peine et juste ce qu'il faut pour me remettre dans le droit chemin quand il le faut. Que cherches-tu à prouver ?

L'aubergiste du centre : T'as l'air d'un bon gars. Accueillant, jovial (même pour un esclave, sisi). Un bon tavernier quoi.

La sorcière : Si un jour j'arrive à retirer ses chaines et à prendre ma liberté, je ferais de ta vie un enfer. Jamais je ne serais satisfait !

L'homme barbu aux trois nattes : Même si tu semble me dominer sur le combat, je te retrouverais pour l'humiliation que tu m'as fait subir, je te ferais lecher toute la place d'Esperia !!

La femme aux poings : Je t'infligerais dix fois la douleur que qu'à ressentie Ombeline par ta faute ! Avec vous, aucune règle n'entre en compte, je compte bien en profiter, sitôt que je serais liberé !

Le comparse verrier : Pourquoi t'es venu te foutre dans cet galère ? Je te pensais malin, et pas aussi stupide comme tu as pu le démontrer ! Tu veux mourrir ?

Le vioc à la canne : T'as pris ca comme une pièce de théâtre, vieux crouton ? Je te briserais les genoux, tu verras si ca sera toujours aussi divertissant comme spectacle !

L'vioc sympa : En y repensant, t'es la seule personne qui m'a consideré autrement qu'un esclave, en tant que citoyen libre. Tu as ma gratitude profonde.

L'dirigeante : J'te vois presque jamais, j'sais que t'es occupé... On va voir ta position sur les esclaves après ce qui s'est passé..

La blonde qui mine : Tu n'as rien fait pour arrêter cela. Tu aurais pu agir, mais tu t'es contenté de me regarder, de nous regarder. De laisser l'barbu et l'Lanson m'humilier aux yeux de tous...Tu est restée passive.. Reste. Loin de moi. Ne m'adresse pas la parole. Ne m'approche pas.

Histoire

Chronologie

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6 juin 517 : Arrivée de Dionis sur Esperia

La vie sur Esperia

Arrivée sur Esperia

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Je suis arrivé à Esperia en l'an 517. Mes maîtres sont la chancelière, le grand intendant, Justin et l'intendant de Rivelame, Efkan. J'ai retrouvé Ombeline dans des circonstances plutôt étranges... On m'a d'abord mené à un atelier avec un autre compagnon de misfortune, Aymon. L'atelier du Verre Chantant se situait à Rivelame, on m'a placé à cet endroit afin que je puise exercer mon métier de verrier en tant qu'esclave.

Ombeline m'a accueilli avec un magnifique coup de poing. Peu de temps après, j'ai également subi les foudres de l'intendant de Rivelame pour m'être foutu de son nom. Faut dire qu'il l'avait cherché.. J'ai donc commencé mon métier de verrier et honoré les premières commandes qu'on m'a donné.

C'est à l'issue de l'une de celles-cis que j'ai rencontré dame Belinni et son entourage. Celle-ci m'a avoué qu'Ombeline...attendait un enfant. Un enfant ! Je n'arrivais pas à le croire. Je voulais lui en parler, mais j'étais pris par le travail. Lorsque les nouvelles livraisons de sable étaient arrivées à notre boutique, j'ai voulu remercier Tiina pour ses bons services. C'est là que j'oublierais jamais ces personnes. De ma vie. Un homme, un noble barbu, bedonnant, m'a accosté et m'a "pris" en faute en prétextant que je draguais Tiina. La belle affaire ! La blonde ne m'intéressait pour le moins du monde.. Je me sentais attaché à Nilde d'une manière ou d'une autre, responsable de ses chaines, de ses malheurs...

J'ai essayé de raisonner le noble, mais lui, ainsi qu'une femme sombre aux allures de sorcière ont expressément tenté de me pousser à la faute au travers d'une langue de vipère et de provocations par le geste. J'ai pas tenu. Je voulais que cet homme sache que sans mes chaines, je lui aurais déjà refait ses dents. Mal m'en a pris. Après lui avoir craché sur le sol, il m'a cueilli sur le menton avec un coup de poing. Je n'ai pas pu l'éviter, il était trop rapide.. Ils m'ont humilié publiquement, détruisant ma personne, mon identité, tout ce qui restait avec mon statut d'esclave.. J'étais dans un bel état. j'avais le visage en miettes, couvert d'hématomes sur la moitié de la superficie, tentant vainement de garder mon équilibre à la manière d'une personne saoul..

Ombeline m'a retrouvé après et.. Non. Ce passage est trop douloureux. Je n'ose en parler, ni même l'écrire aujourd'hui. La seule chose qui importe, c'est l'état d'Ombeline. Elle..elle avait l'impression d'être déjà sur la tombe sur son lit au dispensaire. L'enfant...n'est plus. Je n'arrive toujours pas à donner suite à mes idées. J'ai une tristesse et des regrets sans fin qui me rongent jusquà mon âme. Je n'ai plus rien. Juste des personnages qui instillent en moi une haine profonde et des envies...Qu'Arbitrio me garde ! ..Des envies de meurtre à la simple pensée des quelques personnes responsables de tout ceci. Je veux qu'elles connaissent une éternelle agonie, une douleur telle qu'ils me supplieront d'y mettre fin. Je suis au chevet d'Ombeline maintenant. Je ne sais quoi faire. J'ai peur de ne pas agir dans son intérêt le lendemain. Ombeline est mortifiée, abattue, par une seule partie d'elle n'est intacte. Quand bien même nous sommes des esclaves, ce traitement est inhumain. Je les hais. La haine est même un euphémisme, ce mot est trop faible, insignifiant. Il ne peut pas définir l'étendue négative que je ressent à l'égard du barbu, de la sorcière et de la femme sombre.