Créations Vacriliska

De Wiki'speria
Révision datée du 31 août 2016 à 21:33 par Sernobel (discussion | contributions) ((Encore plus de boulot pour mon pauvre pj et moi-même :'(! compteur d'ouvrages fait ajouté))
Aller à : navigation, rechercher


Artiste
Trognedevac.png

  • Naissance : 494




Expérience :


  • 500 - 513 : Vacriliska reçoit une éducation sur les arts Qadjaride qui resta incomplète, se limitant à la danse et la maîtrise de sa voix.
  • 513- 516 : Vacriliska passe régulièrement à Saillonne et Larrelier avec son maître, ayant fait la rencontre de plusieurs Artiste dans ces villes il élargit ses connaissances artistique dans son domaine de prédilection et s'éveille à la comédie et aux arts théâtrales.
  • 516 : Vacriliska a eut un essort fulgurant dans son apprentissage une fois libre sur Esperia. Ayant accès à du matériel de qualité, une ville pleine de connaissances et des cultures très variées, il a sût se diversifier. S'éduquer sur les arts de son peuple lui fut aussi plus aisé et il a sût maîtriser son corps pour être capable d'escalades et autres pirouettes.


Livres écrits: 1
Livres en cours: 3

Compétences :


✔ Choix I :* Éducation Grille Bottes en Cuir.png

✔ Choix II : Artiste Grille Papier.png
✔ Choix III : Escalade Grille Mouton en Peluche.png

✔ Choix IV :
Espoirseparateur.png


Creations



Chants:


Hors RolePlay :

Qadjaride des Marches

Type de chanson: Paillarde, Auto-dérision.

Rythme: relativement absent, on raconte le chant avec le rythme que l'on souhaite.

Ton du chanteur: Grotesque et rauque si possible, ou simplement stupide.

Posture du chanteur: le plus souvent de l'improvisation, des postures ridicules ou une petite danse de taverne à faire avec les auditeurs.

Qualité du chant: Les paroles ont été peu réfléchis et les rimes sont parfois absente, le chant est plutôt mauvais.

Entendu pour la première fois en Esperia: Au camp Vaahva.


Je suis un qadjaride-euh-des marcheuh,

Je prie pour ma vie, ai plein de souçis,
Je suis un Qadjaride-euh des marrrcheuh,
EEeeeet voilà mon histoire!

Je suis né daaans une-euh charrue, tout au fond d’un maraiiiis,
Personne fût sûr que j’y survive; les chats d’eau voulaient ma chair!
Coup d’bol, ma gueule les effrayaient, et j’sentais bin’mauvais,
Ma mère m’rait confondu avec un étron, en voyant ma gueule de bouffon!

Je suis un qadjaride-euh-des marcheuh,
Je prie pour ma vie, ai plein de maladies,
Je suis un Qadjaride-euh des marrrche-euh,
EEeeeet voilà mon histoire!

J’ai vite dût apprendre à courir, pour sauver mon p’tit cuuul-euh,
bandits et bêtes y étaient légion, et aimaient à lorgner d’ssus!
pas de place pour les fêtes, on se battait pour notre viiie-euh,
on aurait pût nous dire nordique, Si y’avait eût d’la neige et moins, de fauves!

Je suis un qadjaride-euh-des marcheuh,
Je prie pour ma vie, un pro pour la fuite,
Je suis un Qadjaride-euh des marrrche-euh,
EEeeeet voilà mon histoire!

à force de chasse, danses et d’réussite, je me sentait bien à l’aiseuh,
mais un beau jour tout-ce confort, m’apporta bin des souçis!
Une bande de mercenaires poilu, sûrement des caroggiaaans,
Réussirent’a, me mettre des chaines, j’étais une marchandise de pre-mier choix!

J’étaaais un qadjaride-euh-des marcheuh,
J’ai plus vraiment d’vie, et pas mal de souçis,
J’étaaaais un Qadjaride-euh des marrrche-euh,
EEeeeet voilà la suite de l'histoire !

Des marches chuis passé dans L’Aon, allant jusqu'à Saillooone!
Là-bas les femmes sont bien en chaire, et j’vous parle pas de leurs hommes !
J'ai passé mes nuits dans l’ergastule, à chialer comme une chieeenne,
Mais un jour on vint m'acheter, pour remuer mon derche dans, des-thermes !

Jeeeee suis un Qadjaride-euh esclaaaave !
Ma vie s'arrête ici, j’vous parle pas d’mes ennuie,
J’étaaaais un Qadjaride-euh des marrrche-euh,
EEeeeet voilà la suite de l'histoire !

Le travail était assez simple, de la danse contre d’la bouffe,
J'étais même plutôt bin loti, aussi luxueux qu'un gueux Capitalin !
Mais j'étais jeune et mon gland gonflait, mes bas étaient une brousse,
Et un soir, où le vin, fût bon, j'ai couché ‘vec le fils d’la te, nancière !

Jeeeee suis un très mauvais esclaaaaveuuh !
Le peni au vif, je vous fourre mes soucis,
J’étaaaais un Qadjaride-euh des marrrche-euh,
EEeeeet voilà la suite de l'histoire !

La tenancière, peu convaincu, par les défenses d'un qadja charmeur,
S’empara d'une grosse cisaille, et me fit attacher au mur !
Ce jour là point de Danses pour moi, mais j'ai tressaillé de peur!
On me castra tel un chien véreux, et dût vivre sans pouvoir être dur !

J’étaaais un p’tit gars fougueux et amoureux,
Je n’suis plus qu'un chien avec les boules en moins. À jamais, condamné à l'impuissance et la servituuude...

EEeeeet voilà la suite vous la saurez pas!


Hors RolePlay :

Le chant du Malvago

Type de chanson: Triste, stressante, d'ambiance.

Rythme: changeant, l'histoire est aussi un récit et le ton varie à certains moments.

Ton du chanteur: peu importe, elle doit être claire, calme, être audible dans toute une pièce et respecter le récit.

Posture du chanteur: peut déambuler dans le lieu, passant près des auditeurs en prenant des mimiques froides, ou simplement improviser.

Qualité du chant: Le chant a été plutôt bien pensé, les rimes n'ont rien de spéciale et les paroles sont soignées, c'est un chant de qualité moyenne.

Entendu pour la première fois en Esperia: ///

cling, clang, l’entends-tu ?
L’entends-tu qui tire ses chaînes?
cling clang, l’entends-tu ?
C’est l’esclave de déveine.

Plic ploc, une larme,
L’entends-tu qui souille le sol?
Plic ploc, rouges larmes,
Son sang coule, elle devient folle.

Elle tente de fuir mais est lié à son destin,
Elle prie le Puissant mais n’aura point réponse,
Point de morale ou d’amour propre pour cette catin,
Elle ne trouve de sorties que dans l’alcool, l’ivresse.

Schlick, schlack, le vois-tu?
Le fouet s’abat dans ses chairs!
Schlick, schlack, la vois-tu?
Elle crie à l’aide, pleine de chimères!

Ouh, ouh, des sanglots..
Les ressent-tu qui souillent ton air?
Ouh, ouh, douces complaintes,
passant sur ton coeur austère…

Elle n'a plus rien d'humain.. L’a t’elle d'ailleurs jamais été ?
L'on ne revêt pas de fers pour rien, pas d'exception pour les putains.
Un esclave est un être voulant pardonner ses pêchées.
Sa seul récompense sera un quignon de pain…
Et mon poing…
Et mon poing…

Bim bam, le sent-tu ?
Mon poing qui détruit te gueule ?
Bim bam, le Sent-tu ?
Tes os craquent, et tu es seule !

Tient, tient, du silence ?
A-t-elle compris la leçon ?
Tient tient, lourd silence..
Ce fût sa dernière leçon…

Elle a fini par fuir, rejoignant le Passeur…
libérée de son devoir, elle est heureuse, plus de peurs
… Pourtant je sent la tristesse m’envahir, observant son corps sans vie…
Car cette petite pute, après tout, m’avait coûté un certain prix…




Esclaves, si votre condition vous semble... emplie de douleurs…
que vous n’y tenez plus, souhaitez mourir avec vos rancoeurs..
faites, vous n’êtes que des meubles, inefficace, ne faisant que du bruit.
épargnez mes oreilles, fuyez aussi. et sombrez dans l’oublie.


Danses:


Hors RolePlay :

La valse Adaarionne

Type de danse: Valse

Accompagné d'un chant ou musique?: c'est optionnel

Seul, accompagné, groupé..: Une valse à deux personnes.

Qualité de la danse: La danse est encore en pleine préparation.

testée pour la première fois en Esperia: Quartier ouest, Jardin Aeris Hikari

Personne ayant inspiré la danse: Helina Androix

description de la danse en WIP

Hors RolePlay :

///Danse annulée///

Type de danse: ///

Accompagné d'un chant ou musique ?: tambours

Seul, accompagné, groupé..: Une danse seul

Qualité de la danse: ///

testée pour la première fois en Esperia: La Grande Place

Poésies, pièces et saynètes:


Hors RolePlay :

Sans titre

Type de Poésie: Lyrique.

Structure du texte: L'auteur s'est amusé au niveau des syllabes de ses vers, les passant de 10 syllabes à 9 à chaque phrases, on peut noter une présence de plusieurs rimes pauvres et quelques riches, la poésie est composée de huit quatrains, l'on note la présence de tout types de rimes, embrassées, croisées et plates. Peu de métaphores ont étés utilisées et celles présentes ne relève pas de la réflexion profonde. L'auteur n'a pas prit le risque de faire des Acrostiches.

Qualité du texte: Le texte a été bien travaillé et étudié par l'auteur, qu'il considéré comme étant de bonne qualité.

Entendu pour la première fois en Esperia: Quartier Ouest

Le bonjour à vous, jeune Damoiselle,
Aux lèvres de miel et Scarlatin,
Labile est la démarche, ce matin,
Du corps léger que vous portez, frêle.

Mais surtout, ne vous inquiétez pas,
Venez vous accoter à mon bras !
Allons nous faire porter par les vents,
Armés de nos humeurs, Sémillant !

Un rire aussi clair que la pure rive,
Des airs bien fougueuse et des mots denses,
Vous tâter la perfection, Je pense..
Seul défaut ? des envies compulsive,

L'esprit rivalise avec le savant;
Soumet vos belles réflexions,
Tu sais défaire tout tes opposants,
Pensées brûlante en ignition.

Mais qu'est-ce qu'une vraie perfection,
Si le corps, source de biens désirs,
Ne s'accordait à vos réflexions ?
Rumine mais nerveux est mon rire,

Car tu sais embellir tes apparences,
Rend désirable via prestance,
Tes formes et allures que je tâte,
voulant baiser ta peau écarlate.

bien qu'en déplaise au grand Arbitrio,
Ton corps est ce qu'il fît de plus beau,
Il voulut l'équilibre dans ce monde...
et rata, te rendant bien faconde.

Quel joie, Quel bonheur de te côtoyer !
Je ne peux m'en cacher, suis charmé,
rejoins le rang de tes chiens et suis tienne
Mais fort d'esprit, Je ferais de même..

Je vous aime.

Hors RolePlay :

Poésie viscérale à mon rival.

Type de Poésie: Lyrique.

Structure du texte: L'auteur n'a fait que des décasyllabes (vers de dix syllabes), elle présente plusieurs rimes riches et la composition fait qu'elle peut être chantée au besoin, la poésie est composée de sept quatrains, l'on note la présence de 2 rimes croisées (abab) et 5 plates(aabb). aucune métaphore n'a été faite. L'auteur a fait un énorme acrostiche qui compose tout le long de la poésie. L'auteur s'y désigne à la troisième personne du singulier, l'homme auquel il s'adresse semble être son rival.

Qualité du texte: Le texte a été bien travaillé et un peu de technique fût fait de la part de l'auteur, quoique fait dans un élan de rage et dédié à une personne qu'il n'apprécie pas, Il considère cette oeuvre comme seul réceptacle de sa rage et n'y a pas donné une quelconque qualité.

Entendu pour la première fois en Esperia: ///

Vos dites tout ses mots industrieux

Ou alors, simplement tendancieux
Un si grand tour de force aux mot sanguins
Simple, vous l'admirez, il parle bien !

Mais tout n'est point si simple, je le craint..
Écoutez ces remous bien des fois maint
Rageur, râleur, vos traits le font bien rire,
Impitoyable est ce rival, Messire.

Tenez-vous vraiment tant'à l'affronter?
Et cette victoire est-elle assuré?
Zest est la situation, je crains..
Le voilà, tient, votre moment d'entrain !

Ah.. voilà, votre muse en est flattée,
Mainte fois... elle en avait tant parlé,
Oh.. ses gestes sont doux et affutés
Rien que d'y penser, tu te sent blessé

Terrible est cette colère, Messire,
Subitement, qui s'attaque à tes chairs,
Un grand adversaire, il faut qu'il abdique !
Racine en lui la peur, qu'il ai moins d'airs!

Urgent, étudie sa gibbosité
Ne laisse aucuns détails te dépasser
Bat le fer avec toute ses pensées
Usez votre esprit, défie ses idées!

Car trop s'estimer vient à vous brûler,
Hâte l'idiotie qui rend hagard;
Espérant vous apprendre redouter,

Rare est victoire si point n'a de gloire

Hors RolePlay :

Lothaire, l'allitère alité

Type de Poésie: Lyrique.

Structure du texte: vers de dix syllabes, plusieurs rimes, l'auteur n'a pas vraiment travaillé la description de sa poésie qu'il a faite sur un coup de tête.

Qualité du texte: Le texte a été fait en une journée, la qualité est à juger par le lecteur.

Entendu pour la première fois en Esperia: ///

Et enfin, l'homme mortel s'alenti,

Impuissant face à sa propre faiblesse,
Cherchant à tromper ennui et survie,
Il fût priant jusqu'à ce que vie cesse.

Sa vie n'a plus de sens et il a peur,
il nuit aux bons gens, attendant son heure,
aveugle de chimères si grotesques..
Il me rappelle une allure iconique!

Celle du moine gueux et bien pensant;
Vous savez, qui se pensant absolu
Impose avis et idées saugrenues
Si sûr d'être modèle de vertu!

Que vois-je, qui est-ce, sur ces murailles?
Lapide et menace les arbitrés,
Crache sur qui prie d'autres entités?
Un fou, je le crois, quelqu'un de fieffé.

Ne vous laissez avoir par ses idées,
L'homme est rusé mais il n'est point aisé,
Ne vous accordez point à ses pensées..
L'homme est seul, s'ennuie, et fausse est sa foi.

Nul besoin d'attaquer, le provoquer,
Il n'attends que ça, sommes son salut!
rendez-lui ses pierres, ignorez faits,
La peine et les toiles ornent sa bure.

Laissez-le pourrir dans tout ses mensonges,
car nous sommes "criminels sans honneurs"
faisons-lui raison, ignorons ses songes,
Car comme son coeur n'avons point chaleur.

Et enfin, l'homme mortel s'alenti,
Impuissant face à sa propre faiblesse,
Cherchant à tromper ennui et survie,

Il fût priant jusqu'à ce que vie cesse.

Hors RolePlay :

titratrouver

Type de Poésie: Satirique/didactique

Structure du texte: L'auteur n'a fait que des alexandrins (vers de douze syllabes), elle n'as que des rimes plates et plusieurs riches. Plusieurs métaphores furent faite. Pas d'acrostiches. L'auteur semble y parler d'un groupe entier et ne s'y designe pas.

Qualité du texte: Le texte est pauvre et parfois familier, fait sans recherches et pour exposer une idée et constat, Il considère l'oeuvre de qualité moyenne.

Entendu pour la première fois en Esperia: ///

À ceux noble de sang accoisant simples geux,

Aux Esclaves d'abot qui pour eux remuent queues,
Aux humbles paysans empêchant la famine,
Et à tout autre bons marchands méritant rime,

Sachez bien que la vie n'est qu'un grand échiquier,
Chacuns a rôle à jouer pour société,
La reine a pleins droit, les fous qui sont déviants..
L'on a point devoir de vouloir pouvoir bon sang !
Je ne dis pas qu'il ne faut être ambitieux,
Le monde s'est fait sur rêves de désireux,
Voulant créer parmi les homme un équilibre,
Que chacun ai sa place et puisse bien y vivre.

Mais Esperia, malgré possibilités,
Errone les pensées des hommes arbitrés,
Il est beau d'avoir accès à des connaissances,
En homme de lettres je soutiens ces sciences,
Mais d'autres habitants réfléchissent sans pense.

Le noble écoute lamentations d'esclaves,
Le paysan nourrit tête et ses champs larves,
L'on se destine à destin qui vous attends moindre,
Et dans tout les cas trouvons moyen de se plaindre.

L'on veut faire comme l'autre, car mieux payé,
L'on veux avoir un bon titre, être respecté,
Mais avez-vous déjà réellement bossé ?
Pensez le respect venir qu'en étant titré ?
Si tel est mieux payé c'est qu'il la mérité,
Ou la vie est malchance et il faut l'accepter,
Avant de viser à atteindre les sommets,
Contentez-vous d'humble vie, restez satisfait.

L'on ne perçoit sa richesse qu'en appauvri,
Notre vie n'est parfaite, nous sommes fourmis,
Tous un rôle, participant à la cité,
Améliore vie d'autre, vie d'usité,
Que l'on soit noble, gueux ou simple blé d'épi,
Formons union que les bêtes nous envient,
Mais mal-arbitré se plaint, jamais ne sourit,
L'unique est bien déçu mais devant nous, il rit.

Car il sait l'humain capable de connerie,
Mais il l'a fait capable d'agir en gentil,
Et je vous prie d'adhérer ma philosophie;
Il nous donna le bon sens et de beaux outils,
nous limitant à ceux nous étant destiné,
Cessons nous éparpiller, restons ordonnés,
Cela est la voie de celui bon-arbitré.

Et au rang social devez vous conformer.

Charades, essaies et énigmes:

Mon premier couvre parfois les arbres et pierres,

mon second et un insecte blanc souvent présent sur des hérissons,

Mon tout est une bestiole très embêtante! qui suis-je?

Mon premier te relie à ton corps,

mon deuxième est le fait de donner la mort,
mon troisième est une céréale,
mon quatrième t'entoure en chaque instants,

Mon tout est une personne patiente et minutieuse, qui suis-je?