Créations Vacriliska

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Inventeur
Trognedevac.png

  • Naissance : 494




Expérience :


  • 500 - 513 : Vacriliska reçoit une éducation sur les arts Qadjaride qui resta incomplète, se limitant à la danse et la maîtrise de sa voix.
  • 513- 516 : Vacriliska passe régulièrement à Saillonne et Larrelier avec son maître, ayant fait la rencontre de plusieurs Artiste dans ces villes il élargit ses connaissances artistique dans son domaine de prédilection et s'éveille à la comédie et aux arts théâtrales.


Compétences :


✔ Choix I : Artiste (Danses et chants) Grille Bottes en Cuir.png

✔ Choix II : art (loisir) Comédie Grille Papier.png
✔ Choix III : Connaissances: Imitations des cris d'animaux communs Grille Mouton en Peluche.png

✔ Choix IV :
Espoirseparateur.png


Creations



Chants:


Hors RolePlay :

Qadjaride des Marches

Type de chanson: Paillarde, Auto-dérision.

Rythme: relativement absent, on raconte le chant avec le rythme que l'on souhaite.

Ton du chanteur: Grotesque et rauque si possible, ou simplement stupide.

Posture du chanteur: le plus souvent de l'improvisation, des postures ridicules ou une petite danse de taverne à faire avec les auditeurs.

Qualité du chant: Les paroles ont été peu réfléchis et les rimes sont parfois absente, le chant est plutôt mauvais.

Entendu pour la première fois en Esperia: Au camp Vaahva.


Je suis un qadjaride-euh-des marcheuh,

Je prie pour ma vie, ai plein de souçis,
Je suis un Qadjaride-euh des marrrcheuh,
EEeeeet voilà mon histoire!

Je suis né daaans une-euh charrue, tout au fond d’un maraiiiis,
Personne fût sûr que j’y survive; les chats d’eau voulaient ma chair!
Coup d’bol, ma gueule les effrayaient, et j’sentais bin’mauvais,
Ma mère m’rait confondu avec un étron, en voyant ma gueule de bouffon!

Je suis un qadjaride-euh-des marcheuh,
Je prie pour ma vie, ai plein de maladies,
Je suis un Qadjaride-euh des marrrche-euh,
EEeeeet voilà mon histoire!

J’ai vite dût apprendre à courir, pour sauver mon p’tit cuuul-euh,
bandits et bêtes y étaient légion, et aimaient à lorgner d’ssus!
pas de place pour les fêtes, on se battait pour notre viiie-euh,
on aurait pût nous dire nordique, Si y’avait eût d’la neige et moins, de fauves!

Je suis un qadjaride-euh-des marcheuh,
Je prie pour ma vie, un pro pour la fuite,
Je suis un Qadjaride-euh des marrrche-euh,
EEeeeet voilà mon histoire!

à force de chasse, danses et d’réussite, je me sentait bien à l’aiseuh,
mais un beau jour tout-ce confort, m’apporta bin des souçis!
Une bande de mercenaires poilu, sûrement des caroggiaaans,
Réussirent’a, me mettre des chaines, j’étais une marchandise de pre-mier choix!

J’étaaais un qadjaride-euh-des marcheuh,
J’ai plus vraiment d’vie, et pas mal de souçis,
J’étaaaais un Qadjaride-euh des marrrche-euh,
EEeeeet voilà la suite de l'histoire !

Des marches chuis passé dans L’Aon, allant jusqu'à Saillooone!
Là-bas les femmes sont bien en chaire, et j’vous parle pas de leurs hommes !
J'ai passé mes nuits dans l’ergastule, à chialer comme une chieeenne,
Mais un jour on vint m'acheter, pour remuer mon derche dans, des-thermes !

Jeeeee suis un Qadjaride-euh esclaaaave !
Ma vie s'arrête ici, j’vous parle pas d’mes ennuie,
J’étaaaais un Qadjaride-euh des marrrche-euh,
EEeeeet voilà la suite de l'histoire !

Le travail était assez simple, de la danse contre d’la bouffe,
J'étais même plutôt bin loti, aussi luxueux qu'un gueux Capitalin !
Mais j'étais jeune et mon gland gonflait, mes bas étaient une brousse,
Et un soir, où le vin, fût bon, j'ai couché ‘vec le fils d’la te, nancière !

Jeeeee suis un très mauvais esclaaaaveuuh !
Le peni au vif, je vous fourre mes soucis,
J’étaaaais un Qadjaride-euh des marrrche-euh,
EEeeeet voilà la suite de l'histoire !

La tenancière, peu convaincu, par les défenses d'un qadja charmeur,
S’empara d'une grosse cisaille, et me fit attacher au mur !
Ce jour là point de Danses pour moi, mais j'ai tressaillé de peur!
On me castra tel un chien véreux, et dût vivre sans pouvoir être dur !

J’étaaais un p’tit gars fougueux et amoureux,
Je n’suis plus qu'un chien avec les boules en moins. À jamais, condamné à l'impuissance et la servituuude...

EEeeeet voilà la suite vous la saurez pas!


Hors RolePlay :

Le chant du Malvago

Type de chanson: Triste, stressante, d'ambiance.

Rythme: changeant, l'histoire est aussi un récit et le ton varie à certains moments.

Ton du chanteur: peu importe, elle doit être claire, calme, être audible dans toute une pièce et respecter le récit.

Posture du chanteur: peut déambuler dans le lieu, passant près des auditeurs en prenant des mimiques froides, ou simplement improviser.

Qualité du chant: Le chant a été plutôt bien pensé, les rimes n'ont rien de spéciale et les paroles sont soignées, c'est un chant de qualité moyenne.

Entendu pour la première fois en Esperia: ///

cling, clang, l’entends-tu ?
L’entends-tu qui tire ses chaînes?
cling clang, l’entends-tu ?
C’est l’esclave de déveine.

Plic ploc, une larme,
L’entends-tu qui souille le sol?
Plic ploc, rouges larmes,
Son sang coule, elle devient folle.

Elle tente de fuir mais est lié à son destin,
Elle prie le Puissant mais n’aura point réponse,
Point de morale ou d’amour propre pour cette catin,
Elle ne trouve de sorties que dans l’alcool, l’ivresse.

Schlick, schlack, le vois-tu?
Le fouet s’abat dans ses chairs!
Schlick, schlack, la vois-tu?
Elle crie à l’aide, pleine de chimères!

Ouh, ouh, des sanglots..
Les ressent-tu qui souillent ton air?
Ouh, ouh, douces complaintes,
passant sur ton coeur austère…

Elle n'a plus rien d'humain.. L’a t’elle d'ailleurs jamais été ?
L'on ne revêt pas de fers pour rien, pas d'exception pour les putains.
Un esclave est un être voulant pardonner ses pêchées.
Sa seul récompense sera un quignon de pain…
Et mon poing…
Et mon poing…

Bim bam, le sent-tu ?
Mon poing qui détruit te gueule ?
Bim bam, le Sent-tu ?
Tes os craquent, et tu es seule !

Tient, tient, du silence ?
A-t-elle compris la leçon ?
Tient tient, lourd silence..
Ce fût sa dernière leçon…

Elle a fini par fuir, rejoignant le Passeur…
libérée de son devoir, elle est heureuse, plus de peurs
… Pourtant je sent la tristesse m’envahir, observant son corps sans vie…
Car cette petite pute, après tout, m’avait coûté un certain prix…




Esclaves, si votre condition vous semble... emplie de douleurs…
que vous n’y tenez plus, souhaitez mourir avec vos rancoeurs..
faites, vous n’êtes que des meubles, inefficace, ne faisant que du bruit.
épargnez mes oreilles, fuyez aussi. et sombrez dans l’oublie.


Danses:


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autre créations:


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