Utilisateur:Hasta : Différence entre versions
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Version du 4 janvier 2013 à 01:06
Sommaire
Hasta
Description
Hasta est une jeune fille de 19 ans, née à Caroggia elle ignore tout de sa mère mais à appris bien des choses sur son père grâce aux esperiens. Sa mere étant morte à la naissance et son père disparu sans savoir qu'il avait une fille, Hasta grandit dans un pensionnat de Caroggia. Hasta à la peau claire, les cheveux rouges foncés et longs. Ses yeux sont bleus.
Histoire
Partie 1 : Hasta
"Il est bientôt minuit. Bientôt la fin de mon service..." me dis-je, plaquée contre une poutre, la plateau sur les hanches, les yeux rivés sur l'horloge de la taverne. Quelle belle invention tout de même ! Un tel bijou de technologie permettant de savoir la fin de son service ! C’était pour moi une des meilleures choses qui existait en ce bas monde...Sa et mon lit.
L'horloge m'inspirait, je ressentait chaque tic et chaque tac au creux de mon crâne. J'arrivais même a-
"HEY !" "Que..quoi ? hein ?!" Dis-je en me secouant la tête. "Tu dors ou quoi ?! Et cette pinte, elle arrive oui ou non ?!"
Pas le temps de penser au foyer, j'ai des clients. Les clients habituels avec leurs manies habituelles, prenant leurs boissons habituelles...
Passant à l’arrière de la taverne, le gérant ne m'adressa pas l'ombre d'un regard. A croire que je fais bien mon travail et que je n'ai pas besoin de remontrances ! Ou du moins c'est ce que je me dis pour me sentir fière dans ce boui-boui crasseux.
Une fois le grincheux servi, et toute sa troupe partie il ne restait que moi et le patron, faisant je ne sais-quoi à l’arrière. Je pose mon plateau avec les autres puis je m'en vais, en prenant ma maigre paye du jour sur le comptoir. Puis comme à mon habitude lorsque le chef travaille derrière, je cherche quelques pièces par terre...
"Sois béni, Arbitrio !" 6 pièces en bronze. De quoi m'acheter un pain ! J'ai aussi remarqué une sorte de bille de bois que je ne ramasse pas. Sans doute un jouet de gamin. Je glisse un léger "Au revoir !" en passant la porte, comme si j'en attendais une réponse. Puis je me dirige chez moi. Ou plutôt vers le foyer-refuge-machin dans lequel je suis depuis toute petite. Je n'ai pas connue mes parents et je considère cet endroit comme mon chez-moi. Même si j'ai espoir de retrouver mon véritable foyer un jour.
Arrivant au foyer, je donne un sourire à la gérante, madame Defoiseau, avant de gagner l'étage, puis ma chambre.
Il doit être minuit et demie, je m'efforce à ne surtout pas faire de bruit qui risquerait de réveiller les 3 garçons qui partagent ma chambre...des gamins pervers, tous les trois. Étant fatiguée et perplexe à l'idée du lendemain, je me glisse dans mon lit et m'endors. Toujours avec ma tenue de serveuse de taverne.
Partie 2 : Bille de bois, horloge et potiron
Je me réveillais le lendemain, seule dans la chambre. Ouf ! A peine le temps d’être rassurée que je remarque que mes draps sont repliés à mes pieds. "Encore eux." me dis-je. Je pousse un long soupir avant de me décider à parler à Defoiseau pour de bon du comportement de ces gamins.
Mais pas le temps pour sa, je suis au service de midi. Étant déjà habillée, je me passe de l'eau sur le visage pour me réveiller, je me coiffe comme je peux, puis je descend les escaliers.
Je passe devant le comptoir pour sortir. "Tiens ? Defoiseau n'est pas la ?" C'est bizarre, elle est toujours à l'accueil, collée à sa chaise. Je fouille ma poche et dépose mon "pourboire" d'hier sur le comptoir pour elle. Je lui dois bien sa.
J'ouvre la porte...il pleut. "Pas possible..." me dis-je en me tapant le front. Pas grave, je cours sous le torrent. Les pluies aussi violentes sont plutôt rares, j'ai du avoir la guigne ce jour-la. Et sa allait se confirmer...
J'arrive en retard, m'étant un peu perdue en chemin dans la brume de l'averse mais même pas le temps de l'ouvrir pour m'expliquer, je remarque des gardes, entourant une table. Un gros homme vêtu de violet est assis, seul.
Je me retourne, voyant le patron devant moi. Il me chuchote à l'oreille "Tu est en retard ! Il attend depuis dix minutes !" "Je sais, je suis désolée, je me suis un peu égarée..." dis-je en essorant mes cheveux.
Il grimace puis me sors : "Bon. Plus de bêtises, c'est un homme politique riche !". J'ai toujours trouvé les hommes bêtes mais a ce point la, j'ai une vraie perle. Sa ira, ce n'est pas la première fois qu'une personne influente se fait servir par moi.
Je passe à l’arrière, chercher le repas de notre invité. Un repas comme on voit rarement ici : Vin de qualité, assiette de charcuterie, pommes de terres, soupe au potiron et un dessert que je n'avais jamais vu auparavant. Sa va être difficile mais je tente de mettre tout sur le plateau. Je case les plats du mieux que je peux sur mon support puis m'engage difficilement vers lui, me regardant avec impatience au travers du rempart de gardes.
Je passe devant l'horloge qui me fait je ne sais quel effet hypnotisant lorsque j'y jette un coup d’œil. Ce que je n'aurais pas du faire. Ayant les yeux sur les aiguilles et la tête calculant l'heure, je sens mon pied se poser sur un objet. Je me crispe. Un objet rond. Je resserre tout mes muscles mais mon pied me fait souffrir. Impossible de me rattraper et je chute vers la table fatidique.
Je ne savais pas que les gardes avaient autant de réflexes ! La plupart se sont écartés à temps pour ne rien recevoir, l'un d'entre eux à rattrapé le dessert, intact, et un autre m'a agrippée avant que je ne touche le sol. Quand au client violet...il à viré au orange. Lui n'a pu rien éviter de la soupe de potiron.
"E-Espèce de- !" Il se lève puis me gifle. J'ai pu apercevoir le fameux objet, la bille de bois coupable de ma chute. "Emmenez la !" Ordonne l'homme-citrouille.
Le chef arrive et se confond en excuse. J'assiste aux réprimandes de cet homme et au silence de mon patron, impuissant. D’après ce que j'ai pu entendre, je vais être jugée demain.
Partie 3 : Espe-quoi ?
Rien de tel qu'une nuit dans une petite cellule pour vous changer les idées ! Surtout lorsque le réveil se fait à petits coups de bottes en fer...
"Hé ! Debout ! C'est bientôt ton heure de passer devant le juge." Je ne répond rien et me relève doucement.
Le reste est allé très vite.
Deux gardes sont venus me chercher, me tenant chacun par les bras ils ne se rendent même pas compte que mes pieds ne touchent plus le sol. Le plus drôle est que je trouve la situation plutôt drôle...Je dois vraiment avoir un problème. Il m’emmènent donc devant un juge, habillé de noir et avec un petit rond de verre sur son œil gauche.
"Savez-vous pourquoi vous êtes ici, mademoiselle ?" J'allais répondre lorsque une voix retentit dans mon dos. "Elle m'a agressée ! Je suis brulé au visage ! Qu'on la jette au cachot !" Je n'ai même pas tourné la tête vers lui, j'ai reconnu ma "victime"... "J'ai seulement perdu l'équilibre et, contre ma volonté, le contenu de mon plateau s'est renversé..." Je fais mine d’être désemparée. "J'ai glissé sur une bille de bois..." " Une bille de bois ?" répète le juge. "Oui, elle était à mes pieds et je ne l'ai pas vue avec l'abondance du repas placé sur mon plateau...je ne voyais plus mes pieds !" "Pourtant, nos gardes ont scrutés l'endroit et n'ont retrouvés aucun objet de se type."
J'entend l'homme glousser derrière moi. Je décide de l'ignorer puis me défend : Je vous jure qu'il y avait bel et bien un petit objet rond par terre lorsque j'ai servi messieurs !" "Le seul objet que nous avons retenus de l’enquête pour ce procès, c'est un dessert. Intercepté au moment des faits. C'est d'ailleurs tout ce qui reste du repas de notre consul ici présent. A noter qu'il n'a pas été remboursé et qu'il à du subir des soins à ses frais." "Je-je le rembourserais." "Et avec quoi ? Nous connaissons vos revenus et votre vie ici !" crie la victime avant de poursuivre : "Votre honneur, je requiert une sentence juste à la gravité de l'incident d'hier. Je requiert la peine d'esclavage." Je n'en croyais pas mes yeux. " Je posais mon regard sur le consul avant d'entendre le juge déclarer "Accordé."
S'ensuivit mes vaines tentatives de défense mais...quand j'appris que le consul en question était celui de la justice...je perdis espoir. Me fessant trainer dans les cellules une nouvelles fois, j'ai pu croiser ce même consul, en train de faire rouler une bille de bois dans le creux de sa main.
Je me tût le reste de la journée. On m'amena au port, puis sur un bateau. "Prenom ?" demanda un membre d'equipage. "Hasta..." "Nom de famille ?" Je tourne la tête. Il marque un silence puis déclare : "Bon, tans pis. Après tout les gens comme toi n’ont plus besoin de nom. Hahaha !" Très drôle, moussaillon. On me lia les pieds et les mains avant de me jeter dans une grande cave sombre à l’intérieur du bateau.
Peu de temps après, j'entendis quelqu'un crier depuis le pont : "En route pour Esperia !" Je me tournais vers les quelques personnes qui partageaient mon sort. "Espe-quoi ?"
Généalogie
Aime
- Le vin
- Les amis
- Les jeux de hasard
- Faire la sieste au soleil
- La musique
N'aime pas
- Les couards
- Les vantards
- La pluie
- Le poisson et les fruits de mer
- Faire les choses à moitié
Compétences
- Alphabétisation et calcul
- Minutie
- Créativité
- Navigation
- Agilité
Qualités
- polie
- honnête
- maline
Défauts
- impulsive
- maladroite
Amis déclarés
Lily : Hasta est devenue amie avec Lily peu apres son arrivée. C'est elle qui lui à fait visiter les lieux et qui lui dit tout ce qu'il y a a savoir sur Esperia. Elle est précieuse pour Hasta.
Nazo : Nazo était le meilleur ami du père d'Hasta. Elle la considère comme quelqu'un d'humble et de bon en qui elle a confiance.
Lynni Lindén : Hasta avait de l'admiration pour Lynni mais elle est recemment descendue dans son estime...Elle reste son amie malgré tout. Hasta tient à elle.
Utilisateur:Peredïn : Hasta à de la considération envers Peredïn. Elle pense qu'il l'aime.
Ennemis déclarés
Dooby, dit "Du Village" : Hasta trouve cet homme détestable depuis la première fois qu'ils se sont parlés.
A été achetée par
Scholwitz