Utilisateur:Damyan

Informations RP

Nom

Damyan Pardil

Genre

Année de naissance

Rang

Habitant

Métier

Métier

Cuisinier

Origines

Ville d'origine

la Capitale

Région d'origine

la Capitale

Nation d'origine

Royaume Central

Informations HRP

Login Minecraft

Boindil74

Prénom IRL

Alexandre

Âge IRL

16

L'histoire de Damyan:

Damyan passa les 9 premières années de sa vie dans son petit village natal près de la Capitale. Mendiant et travaillant dans les champs pour survivre tant bien que mal depuis que sa mère était morte d'une maladie quelconque. A l'âge de ses 9 ans donc, un groupe de fermiers du village décidèrent de le chasser du village : De là où je m'était mollement assis je pouvais seulement voir la ruelle devant moi, si on peut appeler ceci une ruelle, c'était plus un petit chemin en terre battue et sèche entre deux maisons, je voyais simplement le mur blanc et froid de la maison devant moi mais je me sentait bien, personne ne viendrai m'importuner ici, du moins je l’espérai. Me sentant en sécurité je m'assoupis.

Je fût réveillé par des légers coups de pieds et quelques voix masculines. Secouant la tête je me relevai et leur demandai ce qu'il voulaient, ces quatre fermiers du village à l'air patibulaire et constamment endormis. Il paraissaient furieux. L'un deux cria en postillonnant que je devait immédiatement du village. Inquiet je demandais pourquoi, un des hommes me frappa dans le ventre avec son bâton. Le souffre coupé je tentais de reculer. Mais on me prît les cheveux et l'on me tira en avant. J'entendis hurler "Tu ose nous demander pourquoi ?! Tu à empoisonné nos champs espèce de petit fils de pute !". Choqué et terrifié je niais cette accusation en pleurant. "Part d'ici et qu'on ne te revoie jamais plus !" entendis-je tout en me prenant un gros coup de bâton sur le crâne, celui-ci me sonnant à moitié. On me lança sur le sol où je m'étalai de tout mon long. Prenant sur moi je parvînt à me lever et courût vers la sortie du village. Puis, voyant qu'on ne me suivait point je me mis à marcher en pleurant et reniflant sur la grande route. Moi qui n'était jamais sorti du village je ne savais pas où elle allais me mener mais je prît le risque, de toute façon tout était mieux que cet enfer. Je marchai, titubant à moitié le plus longtemps possible, toute la nuit et jusqu'au matin affamé et assoiffé je cherchai à tout prix un endroit ou dormir et reprendre mes forces mais en vain, seulement l'enfer désertique des plaines qui m'entouraient. Quand soudain j'entendis plusieurs voix d'hommes et des cris de femme. Les hommes riaient et la femme semblait souffrir.

Je me rapprochai discrètement, en rampant, espérant voler un petit peu de nourriture quand soudain je vît trois hommes en train de déshabiller une jeune fille. Celle-ci se débattait et hurlait mais les hommes ne semblaient pas parti pour la libérer. Mon esprit à aujourd'hui effacé la suite de cette scène d'horreur de ma mémoire mais je me rappelle avoir pleuré toute les larmes de mon corps, de concert avec la pauvre jeune fille qui fût abandonné, nues et presque morte sur la route.

Quand soudain j'entendis un homme crier "Regardez ce que j'ai trouvé!". Il me regardait de haut alors que j’étais couché par terre. Je tentais de me relever pour m'enfuir mais l'homme m'attrapât et me demanda "Bah alors on est tout seul sur la grande route ?". La voix de l'homme était étrangement affectueuse. C'était la première marque de gentillesse que l'on ne m'avait jamais donné ! L'homme me reposa et me dît de m'asseoir dans leur campement. Je racontai donc mon histoire aux trois hommes. L'un deux me dît qu'ils allaient prendre soin de moi à présent, tout en faisant un sourire glacial. Je n'avait pas l'impression de comprendre la situation mais j’acquiesçai quand il me demandèrent de les suivre jusqu'à la capitale.

Je discutai avec l'homme affectueux durant le trajet il me confia qu'il se nommai Roholf et qu'il venait du nord. Le trajet prît quelques heures mais nous fûmes rapidement arrivé. La première vision que j'ai eu de la capitale restera à tout jamais gravée dans mon esprit. Celle d'une magnifique ville, la plus belle du monde ! Avec ses hauts toits bigarrés, ses habitants joviaux et souriants. Malheureusement ce n'était qu'une impression. A peine arrivés dans la grande rue que j'avais tant apprécié nous dûmes tourner à droite. La beauté des lieux diminuait de plus en plus au fur et à mesure des pas que nous faisions dans les dalles crasseuses. Dalles qui d'ailleurs disparurent au bout d'un certain moment pour faire place à une boue fangeuse qui sentait le purin. Même la lumière du soleil fît place à une ombre grasse et mauvaise.

Soudain un des hommes s'arrêta et cria "Bienvenue au Cad !". Juste devant nous se trouvai une taverne qu'éclairai quelques lanternes tristes. L'homme affectueux me poussa gentiment vers la droite et nous entrâmes dans un petit bureau enfumé. Un homme gras et avec une peau rongé par une maladie nous accueillit. "Ah, bien Roholf ! Tu nous en ramène encore un !" Il congédia ensuite Roholf d'un signe de la main et lui dit de m'expliquer ce que j'avais à faire. Roholf me dit "Bon, tu doit simplement mendier dans les rues et le soir tu viendra donner de l'argent à l'homme que tu à vu ici, d'accord ?" J’acquiesçai, tout content de pouvoir aider Roholf et partît en ville...

Choix :

CHOIX I : Cuisinier

CHOIX II : Education

CHOIX III : Connaissances, sens du goût.

Qualités:

-Affectueux.

-Plutôt avenant quand il est préparé.

-Protecteur.

-Loyal.

-Fort et musclé.

-Sans peur si ça parle de sa famille.

Défauts:

Trop gentil.

-Naïf.

-Facilement manipulable.

-Crises de violence à certain moment.

Description Physique :

Si un jour vous croisez Damyan dans la rue, vous verrez sûrement un visage jovial, souriant et invitant à la conversation. Car oui maintenant il est heureux, changé depuis son arrivée dans la ville. Ses yeux ne sont plus plissés et méfiants comme avant, maintenant ils sont ouverts et pétillants. Néanmoins souvent plissés par un grand sourire qui étire ses lèvres. Si vous observez bien ses yeux vous pouvez voir dans leurs reflets bleutés une myriade d'émotions qui passe sur ceux-ci. Les yeux de Damyan sont bel et bien le miroir de son âme. Ses traits auparavant durs sont adoucis par une expression bienveillante la plupart du temps, une barbe désormais bien taillée et propre s'affiche fièrement sur son visage. Son nez... Et bien il est toujours cassé, certain trouveront cela laid... D'autres trouveront que ça lui donne un charme. Ses cheveux sont bien coiffés en général et propres. Vous pourrez voir que Damyan se tient droit et fier mais néanmoins prompte à l'amitié et la discussion. En cela il peut remercier quelques personnes qui ont su lui redonner le sourire et la joie de vivre.

Aptitudes :

Connaissances proches:

'

Giulia Giudizio : Notre relation à peu à peu évoluée pour que quelque chose de profond s'installe. Ton absence me laisse un vide au coeur.

-Emilie : Ma nièce, ma petite tu est arrivée dans ma vie comme une fleur pour ne plus en repartir.

Amis :

Traya

Edan : Un ami, qui sait être loyal. Ne fait les mauvais choix, vient me voir je te guiderai.

Targil Groscius : Enfin un bon camarade, sans arrière pensées désireux d'aider les autres.

Intrigue, doute :

Anabelle Siniset : Tu doute, je doute. Le temps nous dira ce que je doit penser de toi, ma chère.

Connaissances:

Enio Giudizio : Merci de ta compréhension, j'espère un jour gagner entièrement ta confiance.

Victoria Silmät : Vous faîtes une bonne reine, heureux de vous savoir au pouvoir.

Aversion et ennemis en tout genre:

Lothar Roberik: Tu t'es aventuré trop loin pauvre fou, on ne touche pas à ma famille.