Utilisateur:Leoplodine : Différence entre versions

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Version du 18 février 2013 à 14:18


     200.png
Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de




Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
beautifulreal
Pseudo
Leoplodine
Prénom IRL
Laurent











20


Leoplodine Dewhell


Description

Prénom : Leoplodine

Nom : Dewhell

Âge : 23 ans

Taille : 1m62

Poids : 49 kg


Description Physique : La demoiselle est dotée de cheveux longs, roux et capricieux maintenus par une queue de cheval englobée par deux mèches tombantes sur son visage. Ce dernier comporte un petit nez qu'elle juge trop discret, deux yeux bleues comme le ciel, de multiples taches de rousseur viennent orner son visage. Elle est complexée par sa petite taille et par la forme de son visage qui donne la sensation qu'elle est tout le temps étonnée.


Origine : Leoplodine est issue de l'ancienne famille des Dewhell noble du Royaume Central, plus précisément de la région d'Albunae. Fille de Comtesse, elle fut éduquer dans un milieu ne laissant guère place à la décadence et au laisser-aller. Elle pu se consacrer à de nombreux loisirs dont les pratiques culinaires qui occupaient une large partie de ces journées. La vie se déroulait paisiblement quand tout à basculer pour elle et sa famille...


Croyance : La jeune femme croit depuis toute petite au culte de l’Arbitrio de rite adaarion ( noblesse oblige). En étant enfante, elle aspirait à répandre la bonne parole dans tout le Royaume. Lors de son mystérieux enlèvement, la religion devint pour elle de second abord même si elle croit toujours au culte de l'Arbitrio.

Compétences

Grille Soupe de Champignons.png

• Sens du goût : Gourmande depuis son plus jeune âge, son palais et ces sens ce sont aiguisés avec le temps.

    • Sait reconnaitre à la première lampée, les différentes saveurs d'un plat.
    • C'est distinguer le bon du mauvais goût.


Grille Poudre de Pierre Lumineuse.png

• Créativité : Libre par sa lignée, elle fut pratiquante de moultes activités succitant sa créativité : broderie, peinture, poésie, etc...

    • Peut composer un plat à partir de peu de choses.
    • Sait se débrouiller dans quelques domaines suscitant la créativité.


Grille Cisailles.png

• Minutie : Grandissant sous une nourrice aussi sèche qu'aimable, veillant sur l'enfant de ces moindres écarts. Leoplodine fut éduquée avec une volonté de fer.

    • Perd rarement patience.
    • Prend du temps pour accomplir une tâche.


Grille Plume.png

• Alphabétisation et calcul : Instruite par un grand érudit payé gracieusement par ces parents lors de son enfance, elle lit régulièrement des œuvres plus ou moins variées.

    • Sait parler dans un langage soutenue.
    • Connait les formules de courtoisie et de politesse.


Grille Verre de Vin.png

• Œnologie : Une fois majeur, son oncle, œnologue réputé, lui fit découvrir milles et une senteurs de par l'arôme de vins délicats.

    • Sait faire la différence entre plusieurs sortes de vins.


Grille Rose.png

• Connaissance de la flore : La demoiselle a effectuée de nombreuses ballades au cours de ces petites escapades dans la forêt ( elle partageait ce secret avec son cousin, Henry). Elle connait nombres des choses qui y vit.

    • Connait une variété de plantes, d'animaux et de minéraux.

Talents

Réfléchie/Délicate/Généreuse/Ambitieuse/Adroite.

Défauts

Énigmatique/Craintive/Naïve/Paranoïaque/Distraite/Rancunière .

Intérêts culturels et goûts

-Fumer la pipe.

- Se ballader au clair de lune.

- Cuisiner.

- Aime les tons dorés, violacés, rougeâtres et les tons beiges.

- N'aime pas le bleu...

- Les animaux.

- La musique.

- Le sucré.

- La compagnie.

- La luxure.

- Les patisseries.

Proches

Appréciés

Connaissances

N'apprécie pas

Histoire

Chapitre 1 :


« Ne pas regarder, continuer, toujours continuer » J'avançais. Le trottoir s’enjambait comme une haie trop basse. Stop. Un regard à droite… Deux pas plus tard, à gauche… Rien. Je continuais ma marche. Mon regard s'attardait sur le décor :

Les rues défilaient comme une tempête. Le vent, plus silencieux qu’un murmure, s’infiltrait sous les portes comme si sa dernière intention était de déranger les vivants. La nuit se faisait plus noire que noire Les contours des immeubles formaient d’étranges personnages évoquant les fantasmes les plus saugrenus et fous de l’être humain ; bien qu’ils semblaient m’attirer, j’avançais sur mon étrange épopée.

Devant moi, le chemin se faisait raide, toujours plus raide. Je me demandais si je n'allais point à un moment me retourner pour flotter dans le ciel telle une poussière s'envolant dans le néant. Je trébuchais mais me rattrapais au dernier moment. Je me redressais, réajusta mon manteau, refaisant mon écharpe : il faisait frais. Je m'arrêtais deux secondes et fouillais dans mes poches pour trouver ma pipe. Le mince corps de l'instrument était entouré d'une enveloppe dorée ce qui permettait de facilement la reconnaître parmi tant d'autres. Une allumette craquait et bientôt la fumée du tabac s'emportait dans la lumière de la lanterne la plus proche. Les braises du foyer illuminaient de mieux qu'elles pouvaient ma route. Continuant, le chemin redevenait stable, les maisons s’espaçaient davantage, l’humidité devenait plus intense et on entendait comme un bruit de courant. « On est bientôt arrivé » pensais-je. Et je le vis.


Ce fameux pont, cette structure solide où tout eut commencé. Une haine suivi d'un profond dégoût m'envahissait.

- " Allez, marchons sur la tant redoutée structure ! "

Le haut du pont se voyait enfin. Je me penchais à la rambarde pour admirer la magnificence de cette boue que l'on appelait eau et de ses remous qui lui valait le nom glorieux de rivière. Je levais la tête et voyait le ciel, du moins ce que cela y ressemblait. Du haut des astres, les étoiles me regardaient de leur blancheur de neige et semblaient me tenir la main. Doucement, elles descendaient en cascade jusqu’à moi. Je voulais les attraper pour mieux les contempler. Chaque paillette se faisaient soudainement douleur, qui se faisaient remords, ce n’est pas le vent qui en était la cause, mais un froid glacial venu du fond de mon esprit. Tremblotant, je secouais la tête, chassant des pensées trop confuses, me vidant intérieurement : mon crane se faisait coquetier qui attendait son œuf.

Voulant me vider l'esprit, je m'approchais de la rambarde du pont. Une étonnante masure se dressait devant moi et me faisait barrière à la manière d'une goutte de pluie sur une vitre d'une maison. J'approchais de plus près mon visage vers ce décor. Quand par malheur, la barrière cédait. Mon corps basculait et je me voyais tomber jusqu'au moment où je sentais une main m'agripper. L'individu me remettait sur pied et me contemplait d'un regard interrogateur. Je demandais :

- " Qui êtes-vous ? "

Il répondait :

- " Te voila enfin ! Ton père va être furieux d'apprendre que tu t'es encore aventurée dans ces rues sans son accord ! "

Et ma marraine me pris fermement par l'épaule et m'obligea à rentrer dans le carrosse derrière elle.




Chapitre 2 :


Durant l'une de ces nombreuses fugues, Leoplodine arriva dans un marché fort mouvementé.

Elle fit un tour rapide des stands et des étalages pour acheter quelques provisions pour la journée. Elle s'attarda sur un banc pour déguster ces savoureuses patisseries Et la curieuse repartie dans le méandre de la foule.

Malgré sa petite taille, elle parvint à se frayer un chemin à travers la populace pour arriver là où elle souhaitait, c'est à dire au stand du vieil Orh Meo, place de la Fontaine.

Quand incita un toussotement discret et polie, un visage d'un blanc rideux fit son apparition dans le coin d'une bâche, d'abord un bref moment d'hésitation et puis un large sourire sur son visage dévoila son impressionnante mâchoire et les poils sur son visage se dressèrent d'excitation : et oui Orh Meo était un vieil homme de fort bon entrain.

- " Ma chère ! Que me vaut l'honneur de ta visite ? Passe donc derrière le comptoir "

Le stand était petit mais chaleureux, les odeurs d'épices enivraient les alentours.

- " Viens assis toi ! Que veux-tu ? Du thé ? - Avec plaisir, comme tu sais bien les faire"

Quelques minute se firent avant que les deux personnages ne furent confortablement installés.

- " Et bien raconte ! Que puis-je faire pour toi ? C'est à propos de la lettre de la dernière fois ? - Oui, ma famille ne veut pas que je pratique les arts culinaires, surtout ma mère, elle dit que ce n'est point de mon statut et que je devais donner cette tâche aux domestiques. - Donc si je synthétise ce que tu m'as dis avec le contenu de ta lettre, tu souhaiterais de quoi t'inspirer et diversifier tes futures explorations dans le monde fabuleux de la cuisine ? - Oui, la seule personne sur qui je peux compter ici, c'est toi. - Très bien, allons voir ce que je peux faire. "

Les deux compatriotes s'absentèrent du stand et entamèrent une marche décidé, la petite demoiselle suivant du mieux qu'elle put le grand homme.

Des tournants, des rues et ruelles plus loin, ils arrivèrent à un curieux étalage, un assemblage curieux d'ouvrages constituaient le stand et ne semble être retenu que par un quelconque miracle.

Un autre homme fit son éruption timidement.

Une bonne minute plus tard, de longues oreilles dépassèrent brusquement du seuil de la porte, de larges dents firent leur irruption, de grands yeux bleus les regardèrent : on aurait cru se retrouver devant une souris . Mais cette souris là était bien humaine et les regardèrent avec un intérêt soudain.

- " Oui ? fit l'homme au visage curieux. - Mon bon ami, voici une connaissance à moi qui aurait grand besoin de tes ouvrages. "

Son regarde passa vivement sur celui de l'ancien et s'arrêtèrent brusquement sur celui de la fille. Ces joues rougirent un peu, mais avant qu'il est put prononcé quoi que ce soit, Orh Meo reprit :

- " La demoiselle souhaiterait faire acquisition d'un ouvrage sur la cuisine, quelque chose de simple mais bien détaillé si tu veux ce que je veux dire.

- Ma foi, cela me semble fort possible. Attendez un instant. "

L'homme se retourna dans sa " caverne ludique " et réapparut quelques instants plus tard.

Elle tendit un livre à Leoplodine.

Un long moment se fit quand la fille parcouru les pages diverses et variées, s'attardant à un moment, revenant quelques pages précédemment, lisant tel ou tel notes. A un moment il pencha son visage tellement prêt d'une illsutration qu'on aurait cru qu'elle allait dévorer l'ouvrage. Elle releva sa tête et adressa un visage satisfait, voir même d'une rareté extrême sur sa propre personne et s'exclama :

" - Merci beaucoup monsieur ! Je vous le rendrai ! Veuillez m'excuser maintenant mais je dois rentrer sinon ma marraine risque de se douter de quelque chose. "

Et la jeune femme reparti en hâte dans les tumultes de la foule, non sans avoir salué milles fois les deux hommes qui se regardèrent en souriant.




Chapitre 3 :


Il était bientôt plus de minuit, la majestueuse demeure surplombait de toute sa splendeur les terres d’Albunae. Au beau milieu de la plus haute tour de la nef principale se dressait une silhouette.

Une ravissante demoiselle, d'une tendre rousseur, le visage garni de diverses tâches de rousseur et portant une robe écarlate se tenait près de la fenêtre. L'air pensive, la jeune femme se détacha du verre et se mise à entamer une ronde autour de la pièce circulaire, le chandelier au dessus d'elle luisait d'une étrange lumière rougeoyante.

Elle devait se préparer consciencieusement pour demain. Il était de devoir de se marier avec le fils du duc de cette noble famille d'Huratelon. La faillite menaçait de frapper aux portes et les ennuis et endettements ne firent que croitre depuis quelques mois. Encore quelques semaines et la famille se retrouverait sans le sou, devant se soumettre à une vie de bassesse qu'elle n'était point habituée.

La petite femme, songeait à cet arrangement qui, malgré son manque d'enthousiaste, pourrait redorer les armoiries familiales. Elle avait un plan d'attaque, mot difficile à appréhender étant donner le pacifisme de sa famille. Elle songeait à s'enfuir, tout oublier pour partir et explorer les terres et laisser sa famille derrière elle. Mais il en était d'un tout autre ressort car la frêle créature était trop attachée à ces paternels et elle ne pourrait supporter cette distance.

Songeur, la soupirante referma le fermoir de son collier qui contenait une minuscule peinture de sa maternel et le déposa dans son sac à main. Un long moment de réflexion pesa et finalement, la petite Leoplodine se décida à aller dormir : demain elle devait se mettre en route pour son étrange destination.

Le voyage se fit longuet, à l'intérieur de ce véhicule que l'on pourrait apparenter à un carrosse. Elle put contempler le paysage d'un air songeur et tenter d'oublier sa destinée. Elle s'attarda un instant sur un pinson perdu dans sa chantonnade quand tout à coup, le véhicule fit une brusque ambardée et tout paru défiler.

Des bruits retentirent, des sifflements volèrent et elle vit par la fenêtre, le cocher tomber en hurlant de sa place, deux flèches juchées dans sa poitrine. Horrifiée, elle tenta de sortir du véhicule mais son père lui attrape le bras et la remit à sa place.

- " Toi tu restes ici ! "

Empoignant la porte, il sortit et le temps d'un clignement de cils et la vitre fut remplit d'une hémoglobine rougeâtre.

Tétanisée, la demoiselle se réfugia dans les bras de sa mère, plus blanche que l'écume. Les deux protagonistes restèrent stoïque durant ce qui se passait. Tout autour d'elles, les gens mourraient, souffraient, hurlaient... Elle qui fut depuis le début isolée dans un univers doux et chaleureux où la guerre et la souffrance ne furent jamais évoquées, ce fut pour elle un choc.

Soudainement, de puissants bras entrèrent et l'agrippèrent, l'emportant de force dans l'extérieur du carrosse. Elle ne put distinguer que de sombres silhouettes avant de recevoir un violent coup sur la tête.


La demoiselle ouvra les yeux.

- " Mais... que s'est-il passé ? "

Elle regarda autour d'elle. Elle constata qu'elle était dans une cale de bateau et enchaînée.

- " Comment suis-je arrivée ici... J'ai mal au crâne, le choc a du être tellement violent que j'ai du m’évanouir. Quelle histoire... Je me sens malade et j'ai faim. "

Quelqu'un s'approcha, la grille de la cellule s'ouvra et un homme que la demoiselle apparenta à un vendeur d'esclaves parla :

- " Tiens te vl'a enfin réveillée sale garce ! Avale ça ! On arrive à Esperia estime toi heureuse d'être encore en vie ! T'es tellement faible qu'personne voudra de toi ! "

Et il ferma à double tour la grille. Qu'allait devenir la jeune demoiselle ?