Utilisateur:Edan agenor

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher



     200.png
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Aaron_Agenor
Pseudo
Edan
Prénom IRL
Alexis
Âge IRL
16 ans












Hors RolePlay :
DanhaePortrait.png
DanhaeSeparateur.png


Edan Agenor:

DanhaeMetier.png
DanhaeSeparateur.png

Aptitudes.

Grille Échelle.png Escalade.


CadenasCrochetage.png Crochetage.

Talents.

  Vif.
  Rapide.
  Malin.
  Discret.

Défauts.

  Menteur.
  Voleur.
  Prétentieux.
  Égoïste.
DanhaeApparence.png
DanhaeSeparateur.png
Lol.jpg

Description physique.

La vingtaine, plutôt musclé, il a les cheveux châtains, les yeux bruns, il fait 175cm et 60 kg.


Description moral.

Edan est amoureux de la nature, il adore tout ce qui est naturel. Il a apprécie en particulier les fleurs. Il aime faire plaisir au gens en leur offrant des fleurs. Il sait très bien grimper aux arbres sur les toits. Il vole très régulièrement. Quand il était petit on le surnommait puisqu'il montait souvent dans les arbres. Edan es très rancunier, égoïste et prétentieux

DanhaeSeparateur.png



  • Arrivée sur Esperia le 22/09/515
  • Vol de la Ferronnerie le 26/09/515
  • Perte de deux doigt le 27/09/515
  • Edan rejoint la tribut vaahva le 17/10/515
  • Edan est affranchit le 18/10/515

RolePlay :


L'histoire d'Edan:


Le voyage

Je sentais de l’agitation autour de moi durant mon sommeil, je me levai brusquement et pris peur en voyant la fenêtre ouverte. Je descendis les escaliers le plus vite possible. Ouvris la porte d’entrée et regardai autour, ce n'était que mon imagination qui me jouait des tours, comme d’habitude. Je remontai dans ma chambre et pris ma ceinture avec ma dague rangée dedans. Je décidai d’aller tourner un peu dehors pour me changer les idées. J’avançai plusieurs centaines de mètres et m’enfonçai dans la forêt. Il faisait froid, j’étais frigorifié mais je continuais à marcher quand même. Je ne sentais plus mes doigts. Je marchais en direction du cœur de la foret sans objectif précis. J’entendis une brindille craquer à ma gauche et me retournai d’un coup et vis un cerf qui me regardait droit dans les yeux. Je bougeai mon bras en direction de ma dague mais c’était inespéré. A peine après avoir agité mon bras, le cerf partit en courant et j’étais incapable de le rattraper, j’étais incapable de rattraper quoi que ce soit à vrai dire. Le soleil commença à se lever tranquillement et je pris doucement le chemin du retour. Je levai les yeux et aperçus la fumée de la cheminée qui s’envolait dans le ciel, mon père était réveillé et s’était sans doute rendu compte de mon absence. Je fis au plus vite pour rentrer chez moi et une fois arrivé, je vis mon père assis sur une chaise en bois en train de parler à un homme mystérieux. Je connaissais cet homme mais j’étais incapable de me rappeler comment je le connaissais. Mon père est marchand, c’est sans doute un vieil ami à lui. Au moment où j’arrivais dans la pièce, l’homme dit à mon père : -« On se reverra mon ami, à bientôt Edwin » Mon père me vit et me regarda dans les yeux. -« Aaron tu as seize ans maintenant, tu es bientôt un homme. Il est temps pour toi de découvrir une autre ville. » -« Mais Papa… » -« Ne discute pas surtout. Monte dans ta chambre rassembler tes affaires, je vais préparer la charrue et les provisions. Nous partons pour Krelm » Je ne discutai pas et appliquai ses ordres. Je pris le minimum pour vivre et redescendis. Mon père était déjà prêt à partir et m’attendait. -« Dépêche-toi Aaron, on a un long trajet jusqu’à Krelm» -« Combien de temps ? » Demandais-je -« Une vingtaine de jours si on est rapide » me répondit-il Je ne préférai pas répondre et finir ma nuit assis au fond de la charrue. Je me réveillai plus tard, incapable de déterminer combien de temps j’avais dormi. Il se passa une un long moment avant de quitter les paysages de montagnes et d’arriver enfin dans une civilisation. Là où on passait, les maisons étaient tristes à voir, sinistres… C'était très différents des petites maisons colorées d’Aerin. Je demandais à mon père d’accélérer. Nous nous arrêtâmes dans un petit bourg bien sympa avec de beaux paysages. Cela faisait environ 3 jours que nous étions partis. -« Papa, on est où exactementà là ? » -« Dans une auberge a une dizaine de jour de Laaksot » Laaksot, cela me disait quelque chose. Il me semble que je m’étais déjà rendu là-bas avec mon père pendant mon enfance. Le voyage se poursuivit ainsi pendant une trentaine de jours. Le voyage fut long et dur. Nous étions près de Uuvandaar, à quelques jours de Krelm. Nous nous arrêtâmes dans un petit pâté de maisons pour dormir dans une ferme. Le fermier était très accueillant, il nous faisait à manger et nous hébergeait pour quelques pièces. Nous mangeâmes rapidement pour monter nous coucher tôt et reprendre la route à l’aube. Les lits était faits de paille. Je n’arrivais pas à dormir, j’avais mal au dos et le sommeil ne venait pas jusqu’à moi. Comme si la nuit m’avait oublié. Plus tard dans la nuit j’entendis des chuchotements en bas, je me suis dis que c’était sans doute le fermier qui parlait à voix basse pour ne pas nous réveiller mais en me concentrant un peu sur ce que j’entendais, je me rendis compte qu’il y avait plusieurs voix. Je me levai sans faire de bruit, m’approchai des escaliers. « Adman m’a dit qu’il était ici, il me doit au moins trente pièces cet enfoiré ! On fouille la ferme et on le trouve. » Mon cœur se mit à battre très fort quand je compris de quoi ils parlaient, ils parlaient de mon père. J’avais peur et je ne savais comment réagir. Je me remis dans mon lit le plus discrètement possible en espérant qu’ils ne m’entendent pas. J’entendis le fermier gémir de douleur et c’est là que je compris qu’il y avait peu de chances de s’en sortir. Je réfléchis pour trouver une solution pour s’échapper. Je ne trouvais rien. J’entendis le bruit des hommes qui montaient les escaliers, je me retournai et vis les deux hommes. Ils étaient armés de deux épées de mauvaise qualité et me regardèrent droit dans les yeux. Mon père se réveilla furieux et changea de visage quand il vit les deux hommes armés. L’un deux prit mon père par l’épaule et le souleva pour le descendre en bas. L’autre homme se retourna vers moi et voulu m’attraper. Je tentais de me débattre mais ses grosses mains velues prirent le dessus. Il me prit par le cou pour descendre et me sortit de la ferme. Je voulais crier mais l’homme avait sa main sur ma bouche. Il me souleva et me mit dans une charrue, beaucoup plus grande que celle de mon père. Il m’attacha au fond et me mit un bout de corde dans la bouche pour pas que je fasse de bruit. Je tournai une dernière fois le regard vers mon père et vit l’homme poser son épée contre un arbre, sortir une petite dague et la porter à ma gorge de mon père. Je me débattais mais les cordes me faisaient mal. L’homme parlait à mon père mais j’étais trop loin pour entendre. Tout s’est passé très vite, l’autre homme me remit droit et m’interdit de regarder. J’étais désespéré, je ne savais que faire. Il m’était impossible d’aider mon père. J’entendis mon père crier pour laisser place à un long silence. J’étais trop faible pour pleurer mais j’étais en rage. Mon père était mort et je ne voulais pas l’admettre, j’étais très triste au fond de moi. Je n’arrivais pas à réaliser l’ampleur de la situation. L’homme me regarda, je devais lui faire de la peine car il me détacha et m’enleva la corde que j’avais dans la bouche. Je pouvais m’échapper, mais pour aller où ? Je n’avais nulle part où aller et je ne connaissais pas du tout l’endroit. L’homme me dit : « Nous allons à Krelm, une fois sur place tu travailleras pour nous en tant que forgeron, pas la peine d’essayer de t’échapper, on te retrouvera quoi qu’il se passe. Est-ce bien clair ? Je m’appelle Aymar.» J’avalais ma salive et hocha doucement la tête. Mon père avait sans doute raison, j’étais devenu un homme. J’allais travailler et me débrouiller tout seul.


RolePlay :


La cicatrice

Le bruit des installations du marché me réveilla de bonne heure. Cela faisait bientôt 3 ans que je vivais et travaillais à Krelm et je ne m’étais jamais baladé dans le marché. La forge ne me rapportait pas assez de pièces pour manger à ma faim à tous les repas, j’étais obligé de mendier ou de voler pour combler mes envies. Je me levai prendre ma ceinture, rangea ma dague dedans puis sorti par la porte. A peine sorti, j’étais déjà envahi par la foule. Dans cet endroit de Krelm, le marché est très populaire. J’avançais du mieux que possible dans la foule pour me rapprocher des vendeurs. Un peu plus loin dans la rue, se trouvait une vieille boutique de vêtement. Je m’y rendis et y rentrai. La boutique était très petite mais il s’y vendait des vêtements de bonne qualité mais bien sûr je n’aurais jamais eu les moyens de me payer quelque chose venant de ce genre de magasins. Je balayai la pièce du regard et mon attention fut captée par un petit éclat de lumière jaune derrière une grande armoire en bois. Je pris l’objet dans la main, c’était une boucle de ceinture en or. Je regardai à droite, puis à gauche. Personne. Je mis l’objet dans ma poche et sortis du magasin rapidement. Le marché attirait encore plus de monde que tout à l’heure, je me dépêchai d’aller jusqu’au vendeur de ceinture, je sortis l’objet et dit : -« Pour combien de pièces vous me prenez ça ? » Dis-je en brandissant la boucle… Le vendeur me regarda puis attira son regard vers l’objet puis écarquilla les yeux. -« 50 pièces. » Je lui souris et dit : -« Marché conclu » Je lui tendis l’objet, pris mon argent et repartis en direction de la forge. J’étais en retard, je devrais travailler depuis une heure. Je marchai une dizaine de minute pour arriver à mon lieu de travail. Une fois arrivé je m’attendais à ce qu’Aymar débarque en me criant dessus mais la forge était étrangement vide. Je cachai mes pièces au fond de la salle pour être sûr que personnes ne les trouve. Un des hommes qui travaillait avec moi arriva à la forge, je lui demandai : -« Tu sais où se trouve Aymar ? » -« Non, je sais juste qu’il est sur une affaire importante et qu’il sera absent toute la journée. Je venais pour te prévenir qu’on peut se reposer aujourd’hui. » -« Ça marche, merci. Ça te dirai d’aller à la taverne se boire une bière ? » Il hocha la tête en me souriant. Nous partîmes en direction de la taverne la plus proche. Sur le chemin il me dit : -« Au fait, je m’appelle Hilmar et toi c’est bien Aaron c’est ça ? » -« Oui, Aaron Agenor » Nous étions arrivés à la taverne, je rentrai en premier. Je balayai du regard tous les clients de la taverne. Beaucoup de personnes âgées ou de jeunes combattants de rue. -«C’est ma tournée aujourd’hui, je paye un coup a tout le monde ! » cria le patron Les clients s’agitèrent et levèrent leur chope en l’air. Je me retournais vers Hilmar en souriant et dit en rigolant : -« C’est notre jour de chance aujourd’hui on dirait » Je m’approchai du comptoir en bois avec Hilmar et un homme se retourna vers moi et me dit : -« Tu veux quoi gamin ? » -« Une bière » répondis-je L’homme éclata de rire et les autres hommes firent la même chose. -« Allez va voir ailleurs merdeux » Je refusai de partir, je ne comptais pas me laisser faire. C’était trop injuste. Hilmar se tourna vers moi et me dit : -« Allez viens Aaron, on y va » -« Non, je reste » Bêtement, je sortis ma dague pour impressionner l’homme. Il se retourna, leva sa main et me donna un coup violent au visage. Je m’écroulai par terre en me tenant le nez. L’homme me souleva et me balança contre la table la plus proche. Il se rapprocha vers moi, pris ma dague qui était tombée par terre. Il me mit sur le sol, approcha la dague de mon visage et m’entailla une large plaie en plein milieu du visage, je hurlai de douleur. Hilmar courut vers moi pour m’aider. L’homme s’adressa à moi et Hilmar et dit : -« Toi et ton ami, foutez le camp » Hilmar m’a aidé à me relever et nous sommes sortis de la taverne de plus vite possible. J’avais le visage en feu et j’avais énormément mal. Je mettais mes mains sur mon visage pour apaiser la douleur, mais ça ne faisait qu’empirer mes choses. Je perdis connaissance au milieu de la rue et ne me réveillai que quelques heures plus tard. Je ne savais pas où je me trouvais, mais cela faisait longtemps que je ne m’étais pas allongé sur un lit aussi confortable. Aymar parlait avec un homme dans la pièce d’à côté, je savais que c’était car je reconnaissais la voix. Il venu vers moi et en voyant sa tête, j’ai su que j’allais garder cette cicatrice toute ma vie.


RolePlay :


Le receleur

Nous étions assis sur le comptoir en train de parler avec Hilmar quand Aymar rentra dans la forge. Au moment on le vit rentrer, nous avons fait place à un grand silence. Aymar dit : -« J’ai besoin de quelqu’un pour une affaire de la plus haute importance, il sera récompensé de quelques pièces. » Aymar se tourna vers nous et nous aperçu « Toi, cela fera très bien l’affaire. Suis-moi, Aaron. » Je sortis de la forge avec Aymar, laissant Hilmar tout seul. Une fois sorti, je demandai à Aymar : -« C’est quoi ton affaire, je vais devoir faire quoi au juste ? » -« Plus tard, plus tard… Suis-moi pour l’instant » Nous marchâmes environ une heure à travers Krelm. Aymar ne voulait pas me dire ou nous allions. Je ne connaissais pas cette partie de la ville. Des chiens qui gémissaient de douleur étalés par terre, des cris d’enfants malades dans la rue, ce quartier était horrible, je pressai le pas pour ne pas avoir à regarder cette misère encore plus longtemps. Aymar me dit : -« Je vais avoir besoin de toi pour crocheter le verrou d’une porte, j’ai besoin de m’introduire dans une maison. J’ai pris le matériel dont tu auras besoin dans ma sacoche. » -« Je serais récompensé ? » demandai-je. -« Contente-toi de faire ce que je te dis » répondit-il d’un ton sec. Nous marchâmes encore une dizaine de minutes avant d’arriver devant la maison. Aymar sortit le matériel. Nous montâmes les marches d’escaliers devant la porte d’entrée. Je pris ce dont j’avais besoin, je m’agenouillais. Je mis le morceau de ferraille dans la serrure, je descendai mon œil pour voir si c’était bien aligné et je tentai de la crocheter. « J’y arrive pas » dis-je a Aymar -« Oh que si tu vas y arriver » répondit Aymar en me donnant un coup dans les côtes Je réessayai une deuxième fois. Je mis toute ma force dedans et serrure céda sous le choc, je me levai et ouvrit la porte et me retourna vers Aymar et je demandai : -« Tu comptes voler quoi ? » -« Ce ne te regarde pas » répondit ’il

« C’est grâce à moi que t’es rentré à l’intérieur donc j’ai quand même le droit de savoir ce que tu comptes voler » Aymar soupira, et me dit : -« Une dague, une dague en or. » Une dague. Je frissonnais en entendant ce mot et touchai la cicatrice que j’avais sur le visage. Je me demandais ce qu’il comptait bien faire avec une dague en or. Ce n’était pas mes affaires de toute façon. Il rentra à l’intérieur et m’ordonne de rester dehors pour surveiller. Il ressortit une dizaine de minutes après. Je lui demandai : -« T’as eu la dague ? » Aymar ne me répondit pas. Nous fîmes chemin du retour en silence, une fois arrivé Aymar me dit : -« Va te reposer, demain on aura une grosse journée » Je hochais la tête puis rentra me reposer. Je m’allongeais sur la paille puis je m’endormis rapidement, j’étais vraiment très fatigué. Aymar est venu me réveiller à l’aube. Je me dépêchai de me préparer et sortis dehors dans la rue. C’était aujourd’hui que j’allais me faire quelques pièces en concluant l’affaire dont Aymar m’avait parlé. Aymar m’expliqua ce que je devais faire. Je devais faire le garde du corps et surveiller un échange entre un client et un receleur. Aymar m’emmena jusqu’à la rue où aller se passer l’échange. Aymar m’ordonna d’aller jusqu’au bout de la rue, là où se passera l’échange. Aymar me dit avant que je parte : -« Aaron. Surtout, pas un mot, l’échange doit se passer dans le silence. » Je hochai la tête et continuai à marcher jusqu’à bout de la rue. Une fois arrivé au lieu de l’échange, je constatai que le client était déjà là. Il y avait un autre garde du corps. Je me suis posté à droite du client en silence. Nous attendions le receleur. Environ cinq minutes après, le receleur arriva. Il avait un visage fin avec un bouc bien soigné et des traits aristocratiques bien prononcés. J’avais un peu peur, c’était la première fois que je faisais ce genre de choses. Le receleur et l’homme commençèrent à parler et négocier pour le prix, qui s’avérait être moins que prévu. Les deux hommes commencèrent à hausser le ton et le receleur pris peur et recula d’un pas. Il cria : -« Maintenant ! » Des gardes venus de nulle part, déboulèrent dans la rue. Le receleur fut tué par le client d’un coup d’épée. Je me retournais et grimpais sur la maison qui était derrière moi. Une fois en haut, je regardais le combat du dessus, je vis l’autre garde du corps qui tenta de s’enfuir mais il fut stoppé par un garde qui lui rentra son épée dans l’épaule. Je pris le chemin de la fuite mais j’entendis une voix derrière moi : -« Où vas-tu comme ça ? » Un garde était posté sur le toit de cette maison. Il sortit son épée et s’approcha. Je portai ma main à ma ceinture pour sortir ma dague mais elle avait disparu. Un autre garde arriva par derrière. -« C’est ça que tu cherches gamin ? » dit-il en brandissant ma dague. L’autre garde me donna un coup d’épée et me transperça le bras. Je criai de douleur et l’autre garde me plaqua au sol pour que je me taise. Il me donna un coup derrière la tête puis je perdis connaissance. Quand je repris connaissance, j’étais enfermé dans une prison, mes blessures avaient cicatrisées et je n’avais plus mal. Je ne savais pas combien de temps cela faisais que j’étais enfermé là. Des jours, peut-être des mois. Tout ça me paraissait si lointain. Durant les mois qui suivirent, ma vie ne représentait plus rien. Ma vie était un cauchemar sans fin. Mais un beau jour, un homme vint me voir dans la cellule, il me releva et m'ordonna de le suivre. Il prétendait qu’un esclavagiste venu d’ailleurs avait besoin d’esclaves. L'homme m’emmena directement jusqu’au port. Au port. Il n'y a pas de port a Krelm. Mais ou m'avaient t-ils enmmené ? Il m'accompagna là où se trouvait un grand bateau. Il me fit monter jusqu’à l’endroit où j’allais passer le voyage. Je ne savais pas exactement où j’allais mais je savais que j’allais être un esclave. Le bateau démarra et nous voguîmes pendant plusieurs semaines. Pendant le voyage, je reconnus un visage parmi les autres esclaves. Il y avait l’autre garde du corps qui était là aussi, il avait survécu jusque-là. Je me demandais bien ce qu’il devenu après le combat. La dernière image que j’avais eu de lui, c’est qu’il s’est fait perforé l’épaule par un garde. Plus tard, j'entendu dire que nos faisions voile pour Esperia...