Utilisatrice:Diana
Sommaire
Diana
Description
Diana a environ 22 ans. Elle a appris à lire et écrire quand elle était jeune et est devenue libraire. Elle a la chevelure de couleur brune et les yeux d'un éclat cobalt. Elle est de taille moyenne, à peu près 1m72 et fait 63 kilos. Ce qui concerne son caractère, elle est plutôt réservée mais quand elle connaît assez la personne, elle se révèle commère. Elle reste quand même discrète avec les gens qu'elle ne fréquente pas, elle semble aussi altruiste quand elle n’a pas le nez sous les bouquins et se montre parfois étourdie. Et ce qui concerne le calcul, elle sait rendre la monnaie et calculer un petit prix mais rien de plus. Elle n’est jamais sûre d’elle et réfléchis trois mille fois avant de faire quelque chose et s’imagine toujours le pire de ce qui peut lui arriver. Diana est frêle et n’a aucune technique pour se défendre contre un homme.
Aptitudes
Alphabétisation : Diana sait lire depuis son enfance. Elle l'apprit grâce à sa mère.
Talents
Défauts
Préférences
Ce qu'elle déteste
Ses phobies
Diana a horreur des poupées. Elle ne supporte pas ces objets.
Diana déteste la violence et a une peur bleue des armes.
L'ancien monde
Mon triste sort d'esclave
J'allais comme d'habitude au travail. Le ciel était encore sombre car c'était le matin. Je me levais toujours tôt pour aller travailler , c'est la meilleure façon de gagner de l'argent et prendre soin de mes livres chéris. Quand je fus à mon poste , je vis mon patron qui avait l'air assez furieux.
« - Mademoiselle ! Je tiens à vous parler... Au niveau de votre fraude. Je déglutis et une boule se formait dans ma gorge.
- Ah...Euh... Monsieur... Je peux tout vous expliquer.. , dis-je rapidement
- J'attends des explications claires, oui, en tout cas, si vous me remboursez pas votre dette, vous serez réduite en esclavage. »
Quand j'entendis ces paroles cruciales, le sang ne fit qu'un tour dans mes veines. J'étais ... perdue. J'avais cette peur aussi au fond de moi mais à la fois cette question :
Cette question se répétait sans cesse au fond de moi tandis que j'étais figée devant mon gérant.
« - Monsieur .. Certes j'ai dépensé de l'argent et que j'ai fraudé alors qu'il m'était interdit mais pardonnez-moi et ayez pitié de mon sort. Je n'ai pas voulu mais j'ai dû opter pour cette proposition. J'ai une vie misérable et solitaire et je devais absolument financer seule ma maison. Avant le décès de ma mère, je me débrouillais car elle m'aidait à financer tout ce qui me manquait. Je vous prie encore une fois, cher monsieur, de pardonner mes erreurs, je vous jure de ne plus refaire la même chose , ripostais-je
- Mademoiselle, on ne pardonne pas d'un claquement de doigt et à ce que je sache, je n'ai aucune pitié pour vous, misérable. Au contraire, je me réjouis sur votre sort, votre punition vous montrera le bon chemin et vous devrez, selon mon avis, en tirer des leçons. Je ne suis guerre mesquin mais je dois, moi aussi, vivre et j'ai besoin, tout comme vous, d'un salaire. Comprenez mon choix. Mais, je vous laisserais garder un petit bien qui vous rendra nostalgique et qui vous fera regretter cette aventure périlleuse. Je voudrais aussi les clefs de votre demeure car vous partirez sur un bateau demain, à l'aube » , fit-il d'un air calme mais à la fois sadique.
Après une nuit nerveuse, je devais me lever pour être prête pour mon départ. J’étais vêtue de la plus simple robe que j’avais dans mon armoire et me dirigeait vers le port où un bateau m’attendait.