Utilisateur:Mamietambouille : Différence entre versions

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Version du 17 janvier 2014 à 18:31


Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

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Informations RP
Nom
Genre
Femme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
AurelTHunter






Description

  • Physique:
  • Taille:1c58
  • Poids : 50 kg
  • Corpulence : Maigre, l'air farouche. Petite main. Peau ridé .
  • Cheveux :Long , grisâtre
  • Yeux :Vert sombre

Compétences

  • Minutie: Précise dans ses gestes et dans ses préparations de repas. Elle sait aussi servir a boire sans énormément de mousse dans la choppe.
  • Créativité : Elle adore rajouté un petit truc dans ses plats, ou même en inventer. Cela lui permet de créer des beaux morceaux de musique a la harpe.
  • Alphabétisation et calcul: Elle sait lire et écrire, pour tenir les comptes, c'est mieux.

Sens du goût . Des années et des années a cuisiner, elle a quand même finit par reconnaître les bon aliments des mauvais. Les bon goûts des mauvais.

  • Oenologie: Avec un mari ivrogne, alcoolique, éthyliste. Elle a finit par connaitre les alcools.
  • Connaissance de la flore : Car il faut connaître les plantes qu'on mets dans la soupe, ou les aromates,ou savoir que c'est du tabac !

Talents

Très croyantes des 7 déesses: Elle a dédié sa vie au sept déesses, mais les autres cultes ne la dérange pas. Tout le monde a le droit de croire en ce qui lui chante
Apprécie les Nordiques ,Caroggians et Qadjarides. Déteste le reste: Elle est très xénophobes vis a vis des étrangers qu'elle n'a pas croisé souvent. C’est la vieillesse.
Adore les chiens, et leur maître: Elle aime les animaux, surtout les chiens. Et leur maître aussi. Tout ce qui lié la bête à l'homme, elle l'apprécie. Elle est gâteuse...
Adore les enfants.: Elle adore les enfants, gamines comme gamins. Elle leur offre des gâteaux souvent. Tellement gâteuse...
Persévérance: Elle est vraiment têtue, une vrai plaie des fois. Tellement tellement gâteuse....
Elle sait aussi parler le Capitalin et le Nordique. C’est préférable quand on vit a Guevrac de parler la langue du trou.
Elle a aussi la phobie des courants d’air...

Défauts

Râleuse: Elle râle tout le temps, surtout au près de son mari
Gâteuse avec les enfants: Elle les chouchoute , limite trop. Tellement tellement tellement gâteuse...
Ne support pas l'humour des autres: Elle regardera toujours une personne disant une blague comme une abomination, ou ne le remarque pas.
Elle veut toujours avoirs raison: n'essayer pas d'avoir raison, vous aurez tort. Même si vous avez raison.
Moulin a parole: Elle ne peut pas s'empêcher de jacasser, radoter. Tout pour que la parole prime.
Agaçante: Elle peut âtre très énervante, limite chiante. Elle est vieille quoi.
Roublard: Elle pourra oublier de vous rendre la monnaie. "Sa vieille caboche" elle dira.

Intérêts culturels et goûts

  • La cuisine: C'est son métier, mais elle adore cuisiner.
  • Les plantes: Elle adore étudie les plantes, surtout pour leur gout
  • Les chiens: Elle adore chien et loup, des animaux fidèles.
  • Blaise: Elle l'aime, même si elle n'en donne pas l’impression

Histoire

Paulette est une uroggianne de naissance. Sa famille était présente depuis longtemps quand la ville est passé sous contrôle Carrogien. Mais ils ont décidé de rester, pour faciliter les liens entre le Nord et La république. Elle est née en l'an 466 dans la maison de sa famille situé à proximité du Quartier Nordique. Son père était chasseur. Sa mère était cuisinière. Depuis son plus jeune âge, elle partait en chasse avec son père le matin, puis en cuisine avec sa mère l'après midi. Elle étudiait ainsi la provenance de la nourriture et les plantes à l'extérieur avec son père. Et la cuisine, les mélanges de diffèrent produit, la minutie dans la cuisson à l'intérieur avec sa mère. La vie était simple. Sans soucis. Ce qui lui permis de vivre une enfance joyeuse. Elle apprit à lire, et à compter aussi, ce qui permis à sa mère et son père d'ouvrir une petite taverne dans le Quartier Nordique, à proximité de leur maison. Elle tenait la caisse quand sa mère faisait la cuisine. Ils étaient liés a un éthyliste du coin nommé Burt Afengi réputer pour son alcool de bonne qualité.. Sa vie était comblé. A 15 ans, elle arrêta la chasse, a cause de son père qui perdit l'usage de sa jambe droite provoqué par un piège d'un autre chasseur. Elle passa donc son temps en ville , a parcourir les échoppes du quartier Caroggien. Elle était très jolie à l'époque. Et fut tentative de séduction de Nordiques, ainsi que de quelques Caroggians malgré ses origines Nordiques. L'une de ses demandes finit en combat entre deux prétendant. Cela ne l'amusait guère. Chaque prétendant venant la voire ne comprenait pas vraiment ce quelle était, surtout attiré par son jolie minois que ce quelle était a l'intérieur. Grace au salaire quelle gagnait a la Taverne, elle appris a joué de la harpe, et se mis en scène a la taverne , ce qui lui offrit un succès fou. Elle fut connu dans toutes les rues avoisinantes comme un joueuse de talent. Mais elle s'arrêta là, gagnant un peu plus grâce au dons de son public. N'aspirant qu'a une vie tranquille. Elle avait atteint l'age de 19 ans lorsqu'elle se mit a jouer de la harpe dans la Taverne de ses parents. Lors d'un marché dans le Quartier des Caroggians. Sa mère et elle rencontrèrent un homme. Ce fut le coup de foudre direct. Les deux amoureux se virent souvent. Il était en apprentissage avec l'éthyliste qui les fournissaient en alcool ce qui permettaient des échanges réguliers. Elle le vit souvent la regarder du premier rang, à la taverne , la dévorant des yeux lorsqu'elle jouait. Tout du moins , c'est ce que son père lui disait. Un an plus tard, ils se marièrent, et fondèrent une famille. Ils cohabitèrent ensemble dans la taverne, avec ses parents. Elle aidait sa mère en cuisine. Et puis plus tard, ce fut sa mère qui l'aida en cuisine jusqu'à ses 22 ans. Lors de ses repas, elle prie l'habitude de prié la déesses Kalafiskur, espérant ainsi que son plat est un goût satisfaisant. Elle suivit son mari lorsqu'il décida de retourner dans sa contré d'origine. Et fit pour la première fois ses adieu à sa famille. Le voyage fut long. Ils partirent a pied d'Uuroggia, n'emportant que peu d'affaire avec elle. Sa Harpe et un collier incrusté d'un lapis que ses parents lui offrirent en cadeau de voyage. Elle le cache le plus souvent sous ses vêtements. Une cape lui recouvrait le visage et le corps. Habillé en voyageur lambda.
Elle paya la nourriture et le logement du couple grâce a son talent a la harpe dans les tavernes et auberge de passage. Jusqu'au marche... La plus dure étape de leur vie. Cette région hostile ne présente aucun passage sur, aucun moyen d'accès simple. Ils décidèrent de passer par la cote. Espérant de meilleur condition de passage. Chaque soir, elle priait les déesses Sinine et Vitjässä pour que le lendemain soit une journée tranquille et que rien ne leur arrivent. Ils firent connaissant de nomades Qadjarides, passant par là pour rejoindre eux aussi le sud. Un merveilleux coup du sort. Elle leur fit écoute ses morceaux de harpe, tandis que son mari boudait dans son coin, n'appréciant guère les Qadjarides. « On a besoin d'eux pour survivre ici ». Et il fut convaincu. Parfois. Les Qadjarides chantaient sur l'air de la harpe. Elle garde une bonne vision de cette communauté. Certes, différente, mais néanmoins sympathique et indépendante. Le reste du voyage de passa sans encombre. Et elle découvrit la famille de son bien aimé. Ils passèrent des années a Guevrac , tenant une auberge. Elle au fourneaux. Son mari dans la cave. Leur relation mis au monde trois enfant. Deux Garçon, et une fille. Ils réussirent même a ouvrir une filière de leur taverne à la capitale. Leur vie était comblé. Jusqu’au jour ou Blaise alla au port de la Capitale...

Leur rencontre

C'était un jour de pluie comme on les connaît dans le nord en période de Nivôse. Il faisait froid, comme à son habitude, dans les rues d'Uuroggia. Seul un endroit était chauffé par l'ambiance, la convivialité. C'était le marché hebdomadaire. Des fruits de Nivôse aux esclaves les plus robustes, le marché était une mine d'or question produit en tout genre. Il rassemblait autant les Caroggians qui achetaient tout et n'importe quoi que les Nordiques, à la recherche de produit de leur contré, surtout certaine herbe à fumer comme de la « Longue Kylmate ». C'est lors de ce marché que sa mère et elle, parcourant les différentes étales, rencontrèrent un beau brun souriant. Celui ci s'adressa a sa mère : “Bonjour gentes Dames, je vends un fort fameux alcool, cela vous intéresse t-il ?
Elle répondit : “Hé , mais vous ne seriez pas l’apprenti de ce chère Burt Afengi. Il s’est enfin décidé à transmettre son savoir?
-“’est cela même Dame, je suis son apprenti, il m’a engagé car je ne suis pas de la région.
-”Bonjour Messer.” Dit Polette.
-“Bonjour damoi....selle” dit Blaise, étourdit par tant de beauté, bavant sur le un fut qu’il transportait.
-“Hum... Messer.. votre... hum... bouche...” répondit Polette en remarquant la bave , un sourire au coin du visage.
Blaise s'essuyant la bouche, lâchant son tonneau par terre, se brisant en écrasant la pied de Blaise au passage. Polette éclata de rire, puis aida le bougre qui se massait le pied.
“Maman, je vais accompagné notre vendeur de bière à la Taverne. Son pied n’a pas l’air d’aller bien." Elle émit un petit rire et accompagna Blaise à la taverne. Ils y passèrent des heures à parler. Lui à boire. Elle à parler, puis à jouer de la harpe. La taverne se rempli autour d’eux, sans même qu’ils s’en rendent compte. Elle continuait à jouer, et lui l'écoutait dans sa folle ivresse. La nuit passa et la taverne se vida. Elle s’arrêta et regarda dehors: “Par les déesses... Déja si tard? Vous savez ou loger Blaise?”.
“Ne vous inquiétez pas Polette. Je vais rentrez a l’éthylerie de mon...
Polette embrassa alors Blaise dans un ultime espoir que la soirée ne se finisse jamais.
L’aube naissant les baignant de ses rayons couleur orange. La journée ne fut que plus difficile le lendemain, après la nuit qu’ils avaient vécu.

Leur départ

C’est dans l’auberge de Guevrac qu’elle vit un jour Blaise ramener des ivrognes de la Capitale. Des amis qu’il disait... Ils vendaient son alcool grâce à ses amis! La moitié de l’ancien Monde quoi... Lors de leur discutions, le couple entendirent “Esperia”. Ce nom ne leur était pas familier. Polette se souvenait l’avoir entendu dans sa jeunesse, mais sans vraiment s’en souvenir. Peut être au marché? bref. “Espequoi?” Chuchota Blaise. “Va donc leur servir a boire et tape la conversation comme tu sais le faire, gros nigot!” lui répondit Polette. Elle regarda son mari faire pendant qu’elle prépara un plat pour les clients, qui resterait sans doute dormir là le soir venu, vu la quantité d’alcool que son ivrogne de conjoint leur faisait boire. Après quelque temps, Blaise revint la voir et lui dit :” C’est une belle île avec une belle ville plein de pognon! On serai riche si on y allait!
Polette soupira. “Et pourquoi pas en devenir les maîtres tant qu’on y est? Tu veux quitter une affaire stable pour partir a l’aventure? On est pas un peu vieux? T’as pensé au enfants? Si ils ont besoin d’aide? Hein? T’y a penser? Ils vont faire quoi sans nous?
“ Les enfants sont grands, puis mon frère s’occupera de la taverne. Et on gagnera plein de sous!!!” dit il en se lissant son horrible moustache.
“Où cette folie va encore nous mener... On vit confortablement et tu veux partir? Par les déesses.... Tes envies d’aventures vont nous tuer...” lâcha t’elle.
“Mais t’inquiète pas ma vieille, on fera comme quand on était jeune” dit il, un sourire taquin aux lèvres
“Sauf qu’on ne l’est plus. PAPI!!!!!!” . Polette prit un balai à coté d’elle et tapa sans grande force la tête de son mari avec la brosse en paille.
“On est vieux, espèce d’ivrogne!” dit elle, puis retapa sur la tête de son mari de la même manière.
“Et on …” commença Polette
Blaise attrapa Polette dans une étreinte pleine d’amour et de tendresse et l’embrassa puis il dit
“Alors?”
Polette dit dans un souffle audible seulement de Blaise:“Oui...” puis ajouta avec sa voix de mégère : “Frog!!!!! Ferme cette putain de porte!!!! Ça fait des courants d’air!!!!!Sac a bièrre!!!!!”
Blaise se retourna un instant et vit toutes la clientèle qui les regardaient parler depuis le début.
“On s’aime!” termina t’il.
Polette emballa ses affaires, son collier en argent incrusté d’un lapis, sa harpe, quelque bric et broc ainsi que son rouleau a pâtisserie et de quoi payer le voyage. Puis ils partirent pour le port de la Capitale. Et ainsi, peut être cette ville nommé Esperia...