Hors RolePlay :
Une écriture fine, à la plume, douce, délicate et soignée.RolePlay :
Cher anonyme, chers éventuels détracteurs,Me voilà bien... surpris, de ces accusations anonymes et belliqueuses. Je suis fatigué de voir ces reflexions, ces attaques qui s'empilent les unes sur les autres... ne pouvez-vous donc point vous occuper de vos affaires un petit temps et nous laisser en paix ? N'y a-t-il vraiment rien de plus grave ou d'important à traiter que le mode de vie futile d'une famille... que ces futilités transformées en drame public ... inutilement ?
Passons à vos insinuations, puisque vous semblez y tenir.
Vous parlez de nos promesses creuses. Quand avons nous donc juré de ne porter qu'Esperia dans notre vie à bout de bras et à chaque instant ? Oui, notre famille s'investit avec amour, oui, mais nous n'avons jamais prétendu devoir agir sous la lumière et prouver que nous servons pour cela. Nous pouvons tout aussi bien agir dans l'ombre, continue de servir par de l'entraide par-ci, par-là. Nous œuvrons à notre rythme, selon nos méthodes et il reste encore de notre droit de rendre cela publique ou pas... Nous agissons, avec notre temps et c'est d'une petitesse affligeante de nous attaquer sur cela...
Vous évoquez un sorte de prestige familial ? Quel prestige ? Libre à vous d'en voir un, nous ne cherchons pas la gloire, nous souhaitons simplement établir un mode de vie qui nous convient, qui est notre ! Si vous y voyez une maison prestigieuse, merci ! Sinon, qu'importes ? Nous ne voulons pas briller autrement que par nos efforts et notre travail, mais surtout, par les yeux des membres de notre maisonnée.
Vous nous reprochez d’ouvrir des commerces et de gagner de l'argent... ? Et bien.... Oui, nous voulons travailler dans le commerce à grande échelle et nous l’assumons. Certains servent par la politique, d’autres par le combat. Nous, nous servons par le commerce. Faut-il rougir de gagner sa vie honnêtement ?
Vous affirmez que nous cherchons le pouvoir dans les intendances. Accusez, il en restera bien quelque chose, n’est-ce pas ? Nous apprécions ces fonctions, comme tout habitant qui s’y présente. Rosalie a perdu ? Ce n’est rien. Elle vivra, se relèvera, et passera à ses prochains projets. Nous n’allons pas incendier la cité pour cela. Réveillez-vous : pour qui nous prenez-vous ?
Vous répétez que nous vous prenons pour des imbéciles.... Mais .... ce n’est pas nous qui nous plaignons c’est vous qui nous attaquez, on ne fait que réagir. Pourquoi devrions-nous prouver quoi que ce soit à une affiche sans nom ? Nous voulons seulement œuvrer, vivre, avancer. Rien de plus.
Venons-en à l’élection : Rosalie a voté pour Alma, oui. Et le Praefectus a voté pour la Pro-Abbus. Ferdinand pour sa femme et sa fille. Moi-même, pour Étaïn. Pourquoi accuser uniquement Rosalie alors que d’autres ont fait de même ? Si la loi l’interdit, qu’elle le dise explicitement. Si une autorité doit intervenir, qu’elle le fasse. Mais cibler une seule personne relève de la mauvaise foi pure. Rosalie aurait mit des pression sur Arthur ? Le messire Belladone est justement venu nous voir est confirme sous écrits qu'il n'a subit aucune pression, menace ou chantage...
Vous accusez Rosalie d’« avoir frappé un esclave ». Devons-nous maintenant comprendre qu’un garde devrait s’excuser d’avoir corrigé un esclave fautif ? Depuis quand un garde est-il jugé coupable pour avoir exercé son rôle ? Vous tirez sur la moindre raison pour tenter de nous abattre. Faites-vous donc plaisir sous couvert d’anonymat, c'est triste !
Concernant mes « crises » : je ne tempête pas parce que je n’obtiens pas ce que je veux. Je réagis lorsqu’on bafoue la loi, lorsqu’on manque de respect aux règles établies. Ce n’est pas une crise mais un rappel à la justice. Encore une mouche que vous tentez de transformer en griffon.
À propos d’Henrietta : elle a été invitée par moi-même à bénéficier d’une boutique au Verdoyant, et Rosalie lui en a proposé une également. De quelle falsification parlez-vous ? Qui vous fournit ces informations distordues ? Renseignez-vous avant d’accuser.
Vous nous comparez à une mafia. Dans ce cas, nous sommes bien mauvais dans ce domaine. Cela en devient risible.
Oui, nous sommes une famille, oui nous avons nos ambitions, nos projets et même nos rêves ! Rien de plus. Laissez-nous un peu oeuvrer sans avoir sans cesse à devoir vous prouver. Aimez-vous, detestez-nous, mais faite le sans bruits. Laissez-nous œuvrer, arrêtez de nous inventer des crimes et prenez un instant pour regarder un peu plus loin que le bout de votre propre indignation.
Quant à vous, qui écrivez sans nom : votre anonymat parle pour vous.
Nul sommet n'est assez haut.
Armand Renoird et sa maisonnée.
