Compendium : Edits

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Cet écrit a été rédigé par Tiitus et se trouve sur la nouvelle Esperia.


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Edit Communautaire - De la Communauté Vaahva

Avant Propos

En ce Vingt-cinquième jour du mois de Mai 524, Le Conseil du Chapitre d'Esperia promulgue les Edits Communautaires suivants, portant sur les mœurs et traditions de la communauté Vaahva.


Article Premier - L'Oykor

Ce que vous pourrez voir comme l’honneur, l’Oykor est un code par lequel on vit.

En raison de l’Oykor, les coups bas et les trahisons ne sont pas tolérés ; les paroles données ne doivent en aucun cas être brisées. Il est du devoir d’un thrall d’aider les déchus, les sans Oykor, à le regagner.


Article Deuxième - La Justice

La justice n’est pas égalitaire au sein de notre communauté :

  • Un vaahva converti, un esclave ou un non-vaahva sera jugé rudement. Les punitions allant de l’esclavage à la mort pour un simple vol.
  • Un vaahva appartenant au culte sera jugé normalement, en fonction de la sensibilité de la tribu, et de celui qui la dirige.
  • Un chef de clan ou un chef de tribu sera jugé très sévèrement : ils sont responsables de nombreuses vies. Commettre un crime capital leur vaudra au mieux, la destitution, au pire, la mort.
  • Un thrall qui commet un crime capital se verra immédiatement déchu et sera exécuté douloureusement.


Article Troisième - Les Péchés Capitaux

Chacune de nos Sept Mères est liée à, et punie, un péché capital. Ce sont les suivants.

Le Meurtre

Le meurtre, dont Svartsjö est la juge, est un acte déshonorable lorsqu’il ne s’effectue pas en duel ou sur le champ de bataille. Un tel crime est puni par la mort, condamnant l’esprit du criminel à souffrir mille et une souffrances de la main de Svartsjö.

L'Empoisonnement

L’empoisonnement, dont Raakavann est la juge, est considéré comme un acte lâche, et pour les lâches : les vaahvas qui se sont déshonorés. Un vaahva qui utilise une telle arme contre un autre vaahva salit son Oykor, et sera donc traité comme tel. Il devient un oberorbara, un sous-homme. L’esclavage, voir la mort, ne sont des punitions que trop douces, mais ce sont celles appliquées.

La Trahison

La traîtrise, dont Lugnaröa est la juge, est un autre crime qui salit l’Oykor d’un vaahva. Donner sa parole est un acte d’une haute importance, qui ne doit pas être négligé ou prit à la légère. Cette traîtrise est de celle concernant la paix ou la guerre, concernant une trêve, ou simplement un service à rendre. La sévérité du jugement dépendra de l’importance de la parole donnée, et de l’importance de la rupture de celle-ci. Les punitions peuvent aller de simples coups, à la mise aux fers, pour, par exemple, quelqu’un rompant une promesse de paix.

L'Adultère, le Viol

L’adultère ou le viol, dont Sinine est la juge, peut entrainer la castration ou la mutilation. Un couple qui s’est engagé sur la voie de l’exclusivité, lors du mariage, doit s’y tenir à vie. Un couple qui s’est engagé sur la voie de la liberté de couche, lors du mariage, ne sera pas affecté par les problèmes d’adultère tant que la communication reste claire entre les différents partis.

Le Suicide

Le suicide, dont Huiskutta est la juge, est un acte détruisant l’honneur d’un vaahva, car considéré comme lâche. Un vaahva qui commet cet acte est considéré comme gâchant la vie qui lui a été offerte par les Sept. Dans ce cas là, il est interdit aux membres de la tribu, ou de clans, de faire montre de la moindre tristesse ou de la moindre compassion. Je, la thrall, peux cependant enquêter sur la raison du suicide, pour rendre justice au criminel, si besoin est. Tout vaahva ayant laissé l’état d’un de ses compagnons tribaux s’empirer au point du passage à l’acte, sera sanctionné, punis ou déshonoré.

Le Saccage

Le saccage, dont Kalafiskur est la juge, est l’acte de détruire un lieu appartenant à un autre vaahva. C'est un crime considéré comme mineur, qui devient capital si un objet lié au Culte est touché par ce saccage (une statue des Sept, le Luumis ou autre objet sacré). La destruction du Luumis, notre autel, est d’ailleur punis, au mieux par l’esclavage, au pire par la mort. En cas de vol et/ou de destruction des biens d’un autre vaahva, le criminel sera tenu de rembourser la victime avec ses propres biens.

L'Impiété

L’impiété, dont Vitjassa est la juge, est une affaire intime, dont le jugement se détermine à la mort du vaahva impies. Nous sommes liés aux Sept dès notre naissance, et nous devons leur dévouer notre foi jusqu’à la mort. Se convertir est un acte de trahison envers nos Mères, qui sera punis par l’esclavage. Je, la thrall, ordonnera la damnation d’un vaahva s’étant convertis. Il sera, si pas esclave de la tribu, renié et oberorbara. Tout vaahva entrant en contact avec le criminel sera châtié physiquement.



Version en vigueur au 25 mai 524.