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"Ô, par toi, Arbitrio, accorde-moi tant la moitié de l'alliance que son cœur tout entier pour que je fasse d'elle, la femme la plus chanceuse et la plus heureuse qui soit."
 
"Ô, par toi, Arbitrio, accorde-moi tant la moitié de l'alliance que son cœur tout entier pour que je fasse d'elle, la femme la plus chanceuse et la plus heureuse qui soit."
 
Le groupe complet dévala les rues étroites qui menaient à la partie la moins accueillante du marché et de la ville: les taudis. J'étais soudain confrontée au froid d'au bas et à la pauvreté flagrante qui me rappelaient avec effroi, la mort, à ma naissance, de maman. Je rentrais abîmée, le marché était devenu morne, c'était la fin du voyage. Nous allions rentrer au pavillon de Caroggia le lendemain.  
 
Le groupe complet dévala les rues étroites qui menaient à la partie la moins accueillante du marché et de la ville: les taudis. J'étais soudain confrontée au froid d'au bas et à la pauvreté flagrante qui me rappelaient avec effroi, la mort, à ma naissance, de maman. Je rentrais abîmée, le marché était devenu morne, c'était la fin du voyage. Nous allions rentrer au pavillon de Caroggia le lendemain.  
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''Récemment, 513, Caroggia:''
 
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Je n'en avais que faire et sortis de ma chambre à vive allure, en descendant les escaliers rapidement: par la Grâce de Sinine, je voulais le voir. Ma tante disait toujours que le courage et la passion, envoyait par la déesse Huiskutta à ses disciples, étaient toujours sauvages et parfois dévastateurs. Elle n'avait pas tort, c'était spontané. Mais seule Kalafiskur décidait du dénouement. J'en oubliais que mon esclave allait être battue, enfin je mettais ma conduite loin de moi. J'arrivais au grand salon et le vit assis sur la grande banquette face à mon père. Son comportement était inconvenable et il était mal-parlant, pourtant, il demeurait attirant. Il n'était ni mauvais garçon, ni chevalier galant mais il avait ce charme différent qui aurait pu séduire n'importe quelle princesse des royaumes environnant. Mon père semblait ne pas vraiment l'apprécier, il répondait à ses blagues en faisant le pince-sans-rire et son regard divaguait. Il avait dû l'embaucher pour ses qualités de tueur. J'avoue être faible, mais ce soir-là, je ne pouvais pas. Je m'imposais entre papa et lui. Il me le fallait. J'en avais besoin. Plus que les bijoux et les Espers, il était, et aujourd'hui encore j'en suis sûre, ce qu'il m'avait toujours manqué: l'amour.
 
Je n'en avais que faire et sortis de ma chambre à vive allure, en descendant les escaliers rapidement: par la Grâce de Sinine, je voulais le voir. Ma tante disait toujours que le courage et la passion, envoyait par la déesse Huiskutta à ses disciples, étaient toujours sauvages et parfois dévastateurs. Elle n'avait pas tort, c'était spontané. Mais seule Kalafiskur décidait du dénouement. J'en oubliais que mon esclave allait être battue, enfin je mettais ma conduite loin de moi. J'arrivais au grand salon et le vit assis sur la grande banquette face à mon père. Son comportement était inconvenable et il était mal-parlant, pourtant, il demeurait attirant. Il n'était ni mauvais garçon, ni chevalier galant mais il avait ce charme différent qui aurait pu séduire n'importe quelle princesse des royaumes environnant. Mon père semblait ne pas vraiment l'apprécier, il répondait à ses blagues en faisant le pince-sans-rire et son regard divaguait. Il avait dû l'embaucher pour ses qualités de tueur. J'avoue être faible, mais ce soir-là, je ne pouvais pas. Je m'imposais entre papa et lui. Il me le fallait. J'en avais besoin. Plus que les bijoux et les Espers, il était, et aujourd'hui encore j'en suis sûre, ce qu'il m'avait toujours manqué: l'amour.
 
Bien entendu, mon père me fit renvoyer coucher et me réprimanda sévèrement le jour suivant mais cela m'importait peu. Je devais revoir cet homme et il allait devenir notre homme de garde, notre protecteur.  
 
Bien entendu, mon père me fit renvoyer coucher et me réprimanda sévèrement le jour suivant mais cela m'importait peu. Je devais revoir cet homme et il allait devenir notre homme de garde, notre protecteur.  
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Je me suis réveillée plus tard, à bord d'un bateau, Kenesha me regardait, Jaquen était là aussi, elle m'expliqua:
 
Je me suis réveillée plus tard, à bord d'un bateau, Kenesha me regardait, Jaquen était là aussi, elle m'expliqua:
 
« Nous allons être vendus à Fort Lointain, Petite sœur. »
 
« Nous allons être vendus à Fort Lointain, Petite sœur. »
Je ne paniquais pas, je réfléchissais déjà à la suite des évènements.  
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Je ne paniquais pas, je réfléchissais déjà à la suite des évènements.
  
 
== '''Personnes appréciées:''' ==
 
== '''Personnes appréciées:''' ==

Version du 30 mai 2013 à 10:58


     Lolaska
Informations RP
Nom
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de la famille



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Lolascah
Pseudo
Lolaska
Prénom IRL
Lola
Âge IRL
20












Description:

Lola, comme sa sœur Kenesha, est typée du Nord, elle avait le teint pâle et des yeux bleus marins d’un profond obscur. Elle était blonde couleur blé mûrissant et avait hérité des traits fins de sa mère. Elle n’était pas particulièrement petite pour son jeune âge, comme toutes les femmes de la famille elle était un peu plus grande que la moyenne. Elle aime particulier mélanger simplicité et richesse, par exemple, elle enfilait une longue robe bleu bleuet et se serrait la taille d’un ceinturon d’un cuir tanné, poli et taillé à la perfection. Ou bien elle se faisait deux tresses qu’elle faisait rejoindre à l’arrière du crâne et qu’elle piquait finalement de deux ou trois roses d’une beauté et d’une qualité sans pareille. Elle avait pour habitude de lire ou même d’écrire un petit peu, mais ce dernier passe-temps elle l’avait arrêté récemment. Elle avait tellement lu ces œuvres favorites qu’elles pouvaient en citer des passages entiers de ces livres favoris. Ce qu’on pouvait remarquer d’elle, c’était sa démarche haletante, elle balançait des bras à gauche à droite, parfois en chantonnant des airs dont elle avait oublié les paroles et elle avait le nez pointait au ciel comme si elle attendait l’apparition divine.

Compétences:

Lola sait lire, écrire, compter et en a la compétence: alphabétisation et calcul car elle a étudié à l’Ecole des Chiffres. Elle a la connaissance de la flore, de l'outillage et le sens du goût puisqu'elle a étudié le jardinage durant des vacances chez sa tante.

Talents:

Elle n'a pas énormément de talent, elle est juste douée aux arts courtois: la conversation, les écrits, la politesse. Mais ses atouts principaux restent sa ferveur pour le Culte des Déesses des Sept Mers, sa volonté de vivre malgré la séparation d'avec ses proches, la mort de sa mère et sa fausse joie permanente ainsi que son esprit de déduction et de calcul.

Défauts:

Ces derniers dévalorisent souvent Lola qui aime la lecture et la religion au point de s'y cloitrer. Sa force d'exister, elle la met de côté pour se morfondre et culpabiliser, elle repense au passé et devient nostalgique. On peut souvent la voir rêveuse ou absente momentanément. Elle demeure à la fois minutieuse mais maladroite, son travail est souvent moyen, assemblage de perfection et de rature à son image. D'ailleurs, elle est blonde aux yeux bleus et elle s'en considère comme un cliché car elle pense être vue comme une personne superficielle.

Intérêts et goûts culturels:

Comme tous les Caroggians, Lola aime les courses à bateaux, le miel, la richesse et l'exposer avec tout le monde l'accompagnant. Ce qu'elle préfère hors de a société, c'est se recueillir, se balader le jour et discuter avec ceux qui lui ont fait bon effet. Elle garde un énorme espoir de revoir sa famille un jour et porte de l’intérêt à leur recherche. Ce qu'elle préfère par dessus tout, c'est lire, elle possédait une immense bibliothèque à l'époque et ne rêve que d'ouvrir une librairie ou devenir femme de lettres plus tard.

Passages clés de la vie de Lola:

Fin Thermidor, 512, Uuroggia: Les jours chaleureux en Uuroggia menaient toute la ville dans les rues. C'est au bras d'une amie, et accompagnée par plusieurs autres encore, que nous étalions notre argent sur les allées pavés d'un marché improvisé. Dans ces temps-là, je me sentais heureuse: emportée par la foule, par les odeurs, les découvertes et mon regard qui se perdait, au milieu des étals, des tonneaux et des baquets. J'étais absorbée et rien ne pouvait me sortir de ce monde. Excepté le: "Ne m'écouteriez-vous donc pas?" De mon amie oubliée qui, s'étonnant, me ramena les pieds sur terre. Nous croisâmes ensuite ma sœur au carrefour, là où, trente ans auparavant, s'était croisé nos parents pour la première fois. Je ramenais mes cheveux en arrière comme j’avais vu ma sœur faire très souvent par le passé et repartais du bon pied après que ce souvenir m'eut traversé l'esprit. Ma tante nous avait conviées, ma sœur et moi, à découvrir la maison de l'enfance de maman. Car elle avait vécu ici, cultivant nuit et jour un grand potager pour gagner de quoi manger. Elle vendait tout au marché. Quand un jour, un vendeur qui n‘était pas encore très connu installa son commerce non loin de chez elles. Mon père était venu, jeune, fougueux et maladroit et il vit alors ma mère, jurant en même temps: "Ô, par toi, Arbitrio, accorde-moi tant la moitié de l'alliance que son cœur tout entier pour que je fasse d'elle, la femme la plus chanceuse et la plus heureuse qui soit." Le groupe complet dévala les rues étroites qui menaient à la partie la moins accueillante du marché et de la ville: les taudis. J'étais soudain confrontée au froid d'au bas et à la pauvreté flagrante qui me rappelaient avec effroi, la mort, à ma naissance, de maman. Je rentrais abîmée, le marché était devenu morne, c'était la fin du voyage. Nous allions rentrer au pavillon de Caroggia le lendemain.


Récemment, 513, Caroggia: Quand les rumeurs concernant notre famille commencèrent à s'abattre, père instaura un couvre-feu puis employa un mercenaire pour protéger ma sœur et moi du danger qui s'élevait. Un soir que j'étais au balcon de ma chambre et que je priais nos déesses, il est arrivé. Grand, mince et à cheval, il est apparu sombre et mystérieux à la lueur des étoiles. Je dois avouer avoir été intriguée par lui au point de harceler l'esclave qui me servait de gouvernante depuis le décès de maman. Je lui posais mille-et-une questions pour mieux pouvoir le connaître. Elle me répondit simplement: « Cet homme s'appelle Jaquen. Mais je vous en conjure, prenez garde, au nom de Lugnaròa, soyez sage, c'est un brigand! » Je n'en avais que faire et sortis de ma chambre à vive allure, en descendant les escaliers rapidement: par la Grâce de Sinine, je voulais le voir. Ma tante disait toujours que le courage et la passion, envoyait par la déesse Huiskutta à ses disciples, étaient toujours sauvages et parfois dévastateurs. Elle n'avait pas tort, c'était spontané. Mais seule Kalafiskur décidait du dénouement. J'en oubliais que mon esclave allait être battue, enfin je mettais ma conduite loin de moi. J'arrivais au grand salon et le vit assis sur la grande banquette face à mon père. Son comportement était inconvenable et il était mal-parlant, pourtant, il demeurait attirant. Il n'était ni mauvais garçon, ni chevalier galant mais il avait ce charme différent qui aurait pu séduire n'importe quelle princesse des royaumes environnant. Mon père semblait ne pas vraiment l'apprécier, il répondait à ses blagues en faisant le pince-sans-rire et son regard divaguait. Il avait dû l'embaucher pour ses qualités de tueur. J'avoue être faible, mais ce soir-là, je ne pouvais pas. Je m'imposais entre papa et lui. Il me le fallait. J'en avais besoin. Plus que les bijoux et les Espers, il était, et aujourd'hui encore j'en suis sûre, ce qu'il m'avait toujours manqué: l'amour. Bien entendu, mon père me fit renvoyer coucher et me réprimanda sévèrement le jour suivant mais cela m'importait peu. Je devais revoir cet homme et il allait devenir notre homme de garde, notre protecteur.


Récemment, 513, Caroggia: Père convoqua, ma sœur et moi, dans le grand hall du pavillon comme si de rien n'était alors que la veille il m'avait grondée et punie pour m'être interposé entre Jaquen et lui. Il nous expliqua alors: « Cet homme, Jaquen, sera votre garde du corps pendant quelques temps. Vous serez bien gentilles de ne sortir qu’avec lui et tous les trois ensembles ! » Il ne m'annonça rien de neuf, ma sœur qui n'était pas au courant s'était empourprée d'un rouge vif et serrait les poings. Je regardais la scène en restant en arrière. « Ne vous affolez pas, ce n’est que temporaire, certaines… Hum… rumeurs circulent en ville et il vaut mieux se protéger. Allez donc au marché cet après-midi ! Ma petite Lola, ton libraire préféré est revenu en ville et l’on m’a rapporté qu’il avait de nouvelles lectures à te faire découvrir ! » Il avait dit cela comme si c'était évident, je devais me soumettre, du moins, faire semblant. Et puis je me réjouissais de sortir avec Kenesha et notre nouveau garde du corps. Je me mis à sauter de joie sur place en souriant, puis j'attrapais ma sœur par le bras, et l'entraînais tout en déclarant: « Allons-y s’il te plait, j’ai vraiment envie d’y aller avec toi ! Allons nous promener au marché, achetons ces superbes livres et pourquoi pas quelques nouveaux bijoux ! » « J’ai des choses à faire Petite sœur, et je n’ai pas le temps à perdre au marché ! » Je me penchais devant ma sœur et fis la moue pour la persuader. J'avais parfaitement conscience qu'elle n'y résistait pas et j'en jouais. « D’accord, d’accord, d’accord, allons au marché et Par la Grâce de Sinine, arrête avec ces yeux là ! » Je suis remontée en courant mettre une longue robe cousue de fils dorés sur des étoffes d'un jaune clinquant, fauve, il tirait sur le roux flamboyant du soleil. Arrivée sur le marché, ma sœur et moi nous tenions par le bras et avancions dans les rues, suivies de Jaquen. Il était très discret et presque invisible, ses habits se fondaient dans la masse et il prenait des attitudes régionales: l'accent, la gestuelle etc. Je ne pouvais m'empêcher de le regarder. Même la librairie ne m'avait pas plus. Les nouveaux livres ne me paraissaient pas avoir un style très poussé et, plus tard, je retournerai à ma lecture de Deae Lunae de Kemelvor Kamaltar. Je me forçais tout de même à rire pour faire plaisir et seul la vue d'un singe très intelligent attira mon attention. C'est à ce moment que la situation se corsa. La foule se dispersa autour de nous et Jaquen nous conseilla de partir en courant en indiquant la puissante colonne de fumée noire qui s'élevait de notre demeure. Deux colosses s'abattirent sur notre garde-du-corps, ce qui fit fuir ma sœur et moi. Nous allions à travers les ruelles, les étals, les enseignes et tentions de rejoindre la partie basse de Caroggia. Nous avons finalement réussi à nous cacher, à vendre nos bijoux dont la parure d'or et d'émeraude que je tenais de maman et à trouver un hôtel dans lequel nous pourrions passer la nuit. Je m'accommodais difficilement au lieu mais je prenais sur moi car c'était une solution temporaire. Je supposais que nous devions quitter la ville ou peut être retrouvé Jaquen d'abord. Où pouvait-il bien être? C'est la question qui me trotta dans la tête durant les deux jours que nous restâmes à l'auberge. Il fallait rejoindre notre tante dans le Nord à Uurogia et donc prendre un bateau au port. Nous nous sommes décidées à y aller. Cependant, ce fut une grave erreur, les deux filles ressemblaient, non plus à des bourgeoises, mais à des demi-mondaines, elles étaient confuses dans l'espace et le temps, la nuit tombaient déjà et il pleuvait fort alors qu'elles étaient en Thermidaire. Elles avançaient vers le port et se sentaient misérables quand soudain trois hommes vinrent, les attrapèrent et les ligotèrent. J'eus le temps de voir, juste au moment où ma sœur prit un coup ardu au cou, Jaquen qui était caché derrière un fût de bière, observant la scène. Il disparut lorsque je reçus un coup à mon tour. Je me suis réveillée plus tard, à bord d'un bateau, Kenesha me regardait, Jaquen était là aussi, elle m'expliqua: « Nous allons être vendus à Fort Lointain, Petite sœur. » Je ne paniquais pas, je réfléchissais déjà à la suite des évènements.

Personnes appréciées:

Quirby: Dès le début cette femme semble avoir porté de l'attention sur Lolaska ce qui ne lui a pas déplu, elle lui parait très belle bien qu'un peu insouciante.


Leoplodine Eleonore Elisabeth Linden Dewhell: Elle a été très accueillante et souriante et a mis Lolaska en confiance dès leur première rencontre. Leo' est toujours en train d'aider et c'est appréciable. Elle a donné son premier travail à Lolaska et l'a soutenue durant cette épreuve.


Kraw Vanmoïren: Il a été extrêmement gentil et Lolaska pense qu'elle ne pourrait pas avoir meilleur maître que lui, il était charmant, aimable et prenait soin d'elle au possible. Louana est sa soeur et l'a prévenue de son côté légèrement coureur de jupon.


Louana: Elle a été très aimable avec Lolaska et elles se sont fortement rapprochées car elles ont longuement discuté Lolaska l'aime beaucoup. Et espère pouvoir donner plus d'ampleur à cette personne dans sa vie à l'avenir.


Dragotrix: Il a aidé Lolaska au début et lui a montré de beaux paysages, bien que cela cache de certains sentiments, il en reste quelqu'un d'honorable et de serviable.

Personnes détestées:

Asfir:Il a été très désagréable dès l'arrivée de Lolaska allant jusqu'à lui faire remarquer qu'elle parassait à une catin, ce que cette dernière n'a pas apprécié.


Lyor: On l'a mise en garde contre lui, elle est méfiante à son égard.

Personnes rencontrées:

Fardop Reeves:

Il a été sympathique mais elle ne le connait pas encore assez pour dire quoi que ce soit.


Stranh: agréable et gentleman, pour le moment elle ne le connait que très peu.